Wontaek

#26

On admirait la vue en silence depuis un moment, bien que la mienne était bien meilleure au moins dans mon esprit. Sans regarder, il pourrait d'une manière ou d'une autre sentir mon prochain contact alors que je me dirigeais vers cette manifestation de la perfection masculine devant moi.

« Tu sais qu'en touchant mon corps, tu me donnes le tien, n'est-ce pas ?» Me rappelait-il sans ménagement, alors que mes doigts n'étaient qu'à quelques centimètres de sa peau rougeoyante. À ce stade, je ne m'en souciais plus vraiment : je devais simplement confirmer son existence par une connexion physique.

Au moment où ma main était entrée en contact avec son bras, il avait immédiatement sauté comme un prédateur à l'affût. Avant que mon esprit ne puisse comprendre ce qui se passait, la partie inférieure de mon corps avait été coincé sous le sien contre la surface en bois dure de la jetée. Je pouvais sentir un type différent de bois dur se frayer un chemin rapidement à l'intérieur de moi et les premiers coups de bassin impitoyable rendait curieux mes fesses sur ce qu'il allait recevoir.

« Je t'ai prévenu. Mais aussi, j'attendais ton arrivée », avait-il grogné avec passion en commençant sa poussée. Même en considérant son physique musclé, il était incroyablement fort et pouvait me lancer et me plier dans n'importe quelle forme, comme une stupide poupée de chiffon stupide. Je ne savais pas si je couchais avec un homme ou une créature mythique, mais je m'étais rapidement rendu à tout ce qu'il avait à offrir.

Bien que je ne sois certainement pas vierge, son énorme organe avait rendu mon trou aussi étroit que lors de ma première fois. Tout ce que je pouvais faire, c'était crier de la combinaison délirante de plaisir et de douleur tout en endurant ses poussées fortes qui, j'en étais certain, allaient briser les planches branlantes sous nous. En fin de compte, le temps et même l'espace avaient perdu tout sens pour moi : il n'y avait que sa magnifique queue qui me procurait les sensations les plus profondes que j'ai jamais ressenties dans ma vie.

La seule chose qui m'avait fait sortir de mon état d'extase était le sentiment inconcevable d'être encore plus rempli quand il avait commencé à tirer sa charge collante au fond de mon corps misérable. Il laissait échapper un rugissement bestial, signe de son apogée, tandis que jet après jet de son foutre chaud pompait dans mon corps. Je m'étais presque échappé de la joie que m'avait procuré l'honneur de servir de réceptacle à sa précieuse semence.

Avant d'avoir le temps de reprendre mes repères, il se levait et me prenait dans ses bras. Sans aucune force dans toute ma chair, je m'étais rapidement enfoncée dans sa poitrine et je m'étais endormie. Mes dernières pensées avant que l'obscurité ne m'envahisse étaient que je l'aime et que j'ai besoin de lui à mes côtés, pour toujours.