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Nous ne sommes que
de simple camarade de classe.

<<ռօʊs ռɛ sօʍʍɛs զʊɛ ɖɛ sɨʍքʟɛ ċʟassɛ,ɛռʄɨռ ça ç'étaɨt aʋaռt.>>

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18/09.

O M N I S C I E N T


____Alors t'as aimée?demande Sanaa à Riad en commençant à s'habiller.

____Tu veux que j'te disquette comme c'que j'ai fait à toute les putes que j'ai baiser ou pas?demande Riad en souriant pendant que son sourcil gauche se hausse.

____T'insinue que j'suis une pute ç'est ça?s'écrit la jeune femme.

____Ç'est une bonne façon de résumer les choses,lui répond le garçon en mettant une main sous son menton,faisant mine de réfléchir.

____Mais...

Elle se fait couper par le rire singulier du jeune-homme.Qui semble s'étouffer de rire tant il a du mal à respirer.

____Pourquoi tu fais la qué-cho Sanaa?W'Allah que j'te comprends pas.T'est une pute,wesh assume.

____Azy toi,ta gueule.

____Mdr,t'est vexée tu vas m'dire?Au moins j'suis honnête hein,tu me sers juste de vide-couilles.dit Riad en ayant toujours le même sourire en coin.

Sanaa se dirige vers la porte,une fois la poignée en main elle se retourne afin de faire face à cette homme.

____Tu ç'qu'elle te dit ton vide-couilles?demande t-elle au jeune homme en levant à son tour un sourcil.

____Elle m'dit quoi mon vide-couilles?

____Qu'elle t'emmerde!dit-elle en refermant la porte se dirigeant à présent vers son lycée.

____AH BEH DOMMAGE PARCE QUE MOI,MON VIDE-COUILLES J'L'ENCULE.J'LA BAISE ET J'LA FAIT HURLER COMME JAJA,crie Riad de manière assez forte pour que Sanaa l'entende.

Malia,faisait plus du <<stop>> qu'autre chose,elle n'avait ni l'envie,ni la foi d'aller au lycée.Elle avait passér une journée hier qui lui était restée en travers de la gorge.Une journée de merde.

Malheureusement elle était obligée d'y aller pour faire plaisir à sa famille...

<<Oh et zut!Pourquoi je ferais plaisir à des gens qui n'en n'ont rien à foutre de moi!>> – pensa la jeune fille,qui courait à présent vers un endroit dont elle seule connaissait l'existence.



I N C O N N U (E)





____ALLER L'OM IL FAUT GAGNERRR,criais-je au milieu de tous ses gens qui comme moi se bourraient la gueule à la recherche du bonheur.

Entre Renois et Rebeux.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant