Eco logique !

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Manifeste pour l'éveil écologique

 20 618. Vous savez ce que ce nombre signifie ? C'est le nombre, relevé par weather.com le 2 novembre 2018, d'étudiants de grandes écoles qui ont signé le « Manifeste pour un éveil écologique ». Et c'est quoi, ça ?

Une pétition dans laquelle les signataires s'engagent pour une cause immense et importante : l'écologie ! En effet, ils prennent l'engagement de ne pas travailler pour des entreprises qui fragilisent notre environnement.

En fait, ce sont juste les premiers à prendre enfin des mesures pour changer la direction dans laquelle nous courrons, c'est-à-dire tout droit vers la catastrophe !

Ah, mais non, en fait, ça sert à rien de faire ça, le réchauffement climatique, c'est une invention des scientifiques ! (Notez l'ironie) Ce cher Trump !

Mais au fait, ces étudiants ont déclarés ne pas vouloir travailler dans des entreprises polluantes, quels sont les endroits qu'ils éviteront ? Nous n'allons faire que le podium français des entreprises qui avaient le plus d'émissions de CO2, d'après un article sur hastamag.net qui date de 2009. Je ne vous garantis donc pas le fait que les informations que je fais donner sont exactes actuellement, mais quelque chose me dit que ça n'ira pas en s'améliorant.

Nous avons donc, en troisième place du podium avec la médaille de bronze, l'entreprise TOTAL. Ceci est bien étonnant, puisqu'elle est la plus grande fournitrice d'essence française. Je ne m'attendais à la voir dépassée par le premier.

Émission de CO2 en millions de tonnes : 13,6.

Sur la deuxième place de ce podium, EDF, le géant de l'électricité, à qui l'on accorde la médaille d'argent. À partir du moment où produire de l'électricité pollue plus que produire de l'essence, pourquoi ils veulent que tout le monde ait une voiture électrique ? Il faudrait d'abord songer à des moyens plus écologiques pour produire de l'électricité que le nucléaire.

Emission de CO2 en millions de tonnes : 19,5.

Et, le grand « vainqueur » de l'émission de CO2 en France, avec une médaille tout en or, j'ai nommé (roulement de tambour)... ArcelorMittal !! Vous connaissiez ? Moi non ! Alors, je me suis renseignée et voilà ce que j'ai trouvé : c'est le plus gros émetteur français d'acier. J'ai donc appris que produire de l'acier polluait plus que de produire de l'essence. C'est étonnant que je n'avais jamais entendu cela avant aujourd'hui, et pour vous ?

Ces entreprises-là risquent d'avoir du mal à embaucher dans les prochaines années, vu le nombre d'étudiants ayant signé ce manifeste, ça les fera peut-être réfléchir. Nous l'espérons tous.

Allez, petit bonus, la médaille en chocolat est attribuée à Lafarge, qui produit du ciment.

Sources : weather.com, positivr.fr, bastamag.net

Roro



Des bouteilles 100 % végétales

Les bouteilles en plastique pollue énormément la planète : seule 10 a 20 % des bouteilles sont recyclé, les autres finissent dans les océan ou dans des sites d'enfouissement où elle mettent plus de 700 ans à ce décomposer. Des chiffres plutôt affolent il faut l'avouer. Le mieux serais donc de les remplacer, mais par quoi ? C'est Nicolas Moufflet le directeur de l'entreprise Lys Packaging en Charente Maritime qui a trouver une réponse à cette question. En effet, il a inventer des bouteilles 100 % végétale, biodégradable et compostable ! Il tient a garder le secret de fabrication mais a quand même dit de quoi étaient composées ces bouteilles. Elle sont fabriquées à partir de déchets de canne à sucre, de noyaux d'olive de roseau ou de pépins de raisin. Rien que cette année plus de deux millions de bouteilles végétales ont été produites dans son entreprise. Pour l'instant l'entrepris produit encore des bouteilles en plastique, mais Nicolas Moufflet projette de ne produire plus que des bouteilles végétal d'ici deux ans. Pour l'instant les bouteille végétales sont encore 30 % plus cher à l'achat, mais Lys Packaging espère pouvoir changer ça très vite !

Source : positivr.fr

La mésange

Des fermes en villes

Dans cet article, on va parler agriculture

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Dans cet article, on va parler agriculture. Mais pas champs de maïs ou de blé à la campagne non, mais plutôt fermes urbaines. C'est un concept assez récent qui consiste a installé des « fermes » en ville, sur les toits des immeubles ou dans les parkings désaffecter.

Concept récent, mais nécessaire. En effet plus de 60 % de la population mondial habite en ville et d'ici 2050 cela augmentera peut être jusqu'à 80 %, or l'agriculture traditionnelle a ses limites, les soles s'épuisent et deviennent stériles a cause de la pollution et de l'agriculture intensive, pourtant ce qui est produit ne suffira pas à nourrir tout le monde. Il faut donc trouver d'autres méthodes pour produire de la nourriture. D'autres méthodes, et d'autres endroits. C'est ainsi que de plus en plus de fermes sont apparu en ville. Évidement, on ne peut pas élever des vaches ou des cochons sur le toit d'un immeuble, mais cultivé des salades, si !! Pour l'instant les fermes urbaines ne permettent de produire que 10 % de la population des villes, mais avec de nouvelles méthode ce chiffre pourrait considérablement augmenter.

Les fermes urbaines peuvent prendre plusieurs visages, par exemple des cultures sur les toits dans des bac, ou des cultures intérieures ou les légumes pousses à l'aides d'ampoules LED qui consomme très peu d'énergie et imite la lumière du soleil, ou encore des culture de champignons dans les sous sol puisque ces plantes on besoin d'humidité et de peu de lumière.

En plus de permettre de produire de la nourriture, les fermes urbaines ont de nombreux autres avantages, les légumes produits en campagne doivent parfois faire de long trajets avants d'arriver en villes, dans les fermes urbaine, on peut dire que c'est du produit sur place, ainsi les aliments sont aussi de meilleure qualité et les fermes crées de l'emploie en ville et améliore la qualité de l'aire en absorbant du CO2 et en rejetant de l'O2. Cette méthode nécessite certes d'être amélioré, mais elle promet d'avoir un belle avenirs devant elle.

Sources : le monde science et vie

La mésange

Le Joyeux Journal Wattpadien (édition novembre 2018)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant