Chapitre 27

104 7 0
                                    

Nous étions présentement assis à une table dans un restaurant vide. Azazel m'avais tirer la chaise tel un gentleman et avait tenu à payer le diner.

-Alors que faisiez-vous dans le mondes des humains?

-Rien d'extraordinaire. Tu sais comme la plupart des humains, je croyais que me vie ne menait à rien et que mon destin se résumait à vivre.

-Pathétique. Les humains sont tellement faible...Ils se croient les plus fort alors qu'en réalité ils ne sont rien.

Son ton remplis de mépris me blessa. Je suis ne suis peut être pas totalement humain mais j'ai toujours vécu ainsi.

-As tu déjà connu un humain?

-Quoi!? Non. Je ne désire pas entrer en contact avec eux. Je t'ai dit que je ne les portait pas dans mon coeur.

-Alors comment sais-tu que les humains sont faible? J'en suis pourtant une et je ne le suis pas.

-Toi c'est différent! Tu n'est pas totalement humaine. Et pourquoi dont je m'intéresserait à une race inférieur à moi?

-Pourtant dans leur monde, ils sont supérieur à tous être vivant. Ici c'est les princes et Satan. Au cieux les dieux. Chaque monde accueille des gens faibles et forts, la question est si nous savons les protéger. Seul les personnes qui utilise sa force pour protéger un faible est puissant. Voici ainsi que je vois la vie, j'ai peur être tort mais j'y crois.

Il sembla dans une grosse réflexion. Soudain, son regard étincelant se posa sur moi.

-Tu as raison. De plus, les humaines ont l'air beaucoup plus sexy que nos femmes.

Un regard que je ne connais que trop bien se forma dans ses yeux. Il contourna la table après s'être lever et vint se mettre à côté de moi. Il m'attrapa les poignets et me tira vers lui faisant grincer la chaise au passage.

-Voilà pourquoi je dit que vous êtes faible, vous autres humains. Vous ne pouvez vous défendre contre ceci.

Avant que j'ai le temps de crier, sa bouche se posa presque délicatement sur la mienne. Je me débattait sans que sa prise ne s'affaiblissent.

-Laisse toi faire Odyssée.

Comme si on m'avait ensorcelé, mon corps se figea. Je n'avais aucune emprise sur moi.

-Regarde juste le spectacle ma belle.

Sa bouche s'attarda quelques instants sur mon cou. Il fit un succession me créant ainsi un énorme suçon.

-Pour que les hommes voient que tu m'appartient maintenant.

Soudain, mon coeur manqua un battement lorsque sa main se dirigea vers la boucle de sa ceinture. Malgré l'emprise que je crois magique, un cri sortis de mes lèvres.

-Maria!

En vain, elle était trop loin pour m'entendre. Un claque féroce sur ma joue me ramèna à Azazel.

-Ta gueule!

L'enfant Du PurgatoireOù les histoires vivent. Découvrez maintenant