/18+\ Shoto & Shinso

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! DISCLAIMER !

Attention, le texte qui va suivre contient des propos à caractère sexuel explicite.

Vous êtes prévenus. Si je suis responsable de ce que j'écris, vous êtes responsable de ce que vous lisez. Je déconseille aux personnes mineurs de lire ce texte.

Pour tous les autres, bonne lectures 8D

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Quand est ce que se retrouver dans cette gigantesque salle de bain était devenu une habitude ? Shinso ne s'en était pas vraiment rendu compte. Mais cette routine s'était petit à petit installée. Shoto Todoroki l'attendait tous les soirs, vers vingt-deux heures dans la salle de bain des préfets. Il était toujours à moitié assoupit lorsque Shinso arrivait.

Au bout d'un moment, Shinso avait arrêté de s'excuser pour ses intrusions... C'était peut-être de là que tout était partit.

Ce tableau était innocent et le seul témoin de ce qui se passait ensuite n'était autre que le regard vague de la sirène du vitrail. Dehors, la lune presque ronde était haute dans le ciel et laissait sa douce et froide lumière éclairer la pièce pourtant emplie de vapeur. Cette ambiance était simple et pourtant, Shinso la trouvait féerique.

— J'ai vu que des Gryffondors t'avait bousculé au dîner... Encore... Tout vas bien ? Demanda finalement Shoto après quelques minutes de silence.

Shinso entrait dans l'eau chaud tout en soupirant d'aise. L'eau chaude était toujours un véritable ravissement pour ses muscles et sa peau.

— Je suis habitué, ne t'en fait pas pour ça. Souffla le jeune homme à la crinière violette tout en cachant un petit sourire.

Shinso était toujours aussi touché de constater que son camarade se souciait vraiment de son sort, prêtait attention à son quotidien fait de brimades.

— Est-ce que c'est eux qui t'on fait ces bleus ? Questionna à nouveau le vert et argent.

Le poufsouffle se sentit rougir et se laissa glisser dans l'eau jusqu'au menton. Si Shoto avait pu voir les bleus qui lui couvrait le torse et le ventre, c'était qu'il avait posé ses yeux à cet endroit. Sentir le regard de son homologue sur lui le perturbait toujours autant, toujours dans le bon sens, même si c'était gênant...

— Non... Il ne faut pas que tu t'inquiète. Balbutia Shinso, tentant toujours aussi maladroitement de camoufler son début d'érection.

Le regard que Shoto posait sur lui avait finit par avoir ce pouvoir. Le jeune jaune et or ne savait pas comment ils en étaient arrivé là. Cela l'effrayait autant qu'il aurait refusé tout retour en arrière.

Shoto avait soupiré devant son refus de discuter. Mais une chose était certaine, c'était qu'il ne lâcherait pas l'affaire. Shinso le connaissait assez maintenant pour savoir que Shoto était têtu. Déjà, le blanc et roux s'avançait vers lui.

Il lui prit la main, l'encourageant à se relever avant de poser une mains brûlante sur son torse douloureux. Shinso ne pu retenir un gémissement de douleur lorsque le serpentard passa malicieusement ses doigts sur ses blessures. C'était douloureux mais excitant.

— Shoto... S'entendit-il gémir.

— Il faudra que tu en parles à un professeur. Ça ne peut plus durer. Les retenues que je donne passent pour de l'acharnement maintenant et on m'a bien fait comprendre que je devais me calmer de ce point de vue. Je ne peux plus te défendre comme je le voudrais. Expliqua Shoto de sa voix la plus grave.

— Je sais... Je suis vraiment désolé de te causer autant de soucis. Souffla le garçon à la chevelure maintenant sans volume.

Shoto avait toujours ses mains sur le corps du poufsouffle. Il avait cependant arrêter de toucher les bleus douloureux, se contentant de caresser les portions de peau intactes avant de s'approcher encore de et lier leur lèvres en un baiser tendre.

Il n'en fallut pas plus pour que la virilité de Shinso soit parfaitement réveillée maintenant. Lourdement, elle frôlait la hanche de son camarade. Camarade qui en sentant son membre se pressa d'avantage contre son corps.

Si le baiser avait été tendre au départ, il était rapidement devenu fougueux. Les deux langues étaient parties dans une véritable danse lascive, laissant parfois échapper quelques gémissements.

Shinso ne pu faire autrement que de soupirer de plaisir lorsqu'il sentit la main experte de Shoto s'enrouler autour de sa verge en demande de caresse. Il soupçonnait parfois Shoto d'être dans sa tête pour savoir à quel moment précis et à quel endroit tout aussi précis il avait besoin d'être touché.

Lorsque leur regard se croisaient, quand ils devaient reprendre leur souffle, Shinso voyait les prunelles bicolore de son amant être enflammées de désir. Ce regard suffisait à le faire fondre. être ainsi désiré était beaucoup plus qu'il n'aurait pu espérer.

Après de longues minutes de caresses préliminaires, Shinso croyait atteindre les rebord de la folie et de l'extase. Son souffle était totalement erratique, ses jambes tremblaient, ses doigts se perdaient dans la chevelure blanche et rouge de Shoto, l'attirant contre lui encore et encore. Il frottait son bassin contre celui du vert et argent, l'appelant silencieusement à ce qu'il désirait sur l'instant.

— Shoto... s'il te plait... fait-moi l'amour. Je t'en supplie. Gémit-il.

Le Poufsouffle se retrouvait maintenant sur le sol de la salle de bain, les cuisses écarté, son intimité offerte à la fière de son amant. Il le voulait maintenant, il voulait sentir au plus profond de lui-même que quelqu'un pouvait l'aimer.

Shoto finit par se glisser lentement en lui, arrachant à Shinso à profond gémissement de plaisir et de soulagement. L'autre préfet se trouvait au dessus de lui et ne le quittait pas des yeux tandis qu'il commençait de lent mais profond va et viens.

Combien de fois murmura-t-il le prénom de son amant ? Shinso ne s'en souvenait pas. Il se souvint seulement de l'avoir hurlé tandis que l'orgasme le parcourait, juste avant d'en avoir le souffle coupé. Shoto s'éloigna de lui après quelques instants de fusion extrêmement intime. Puis, ils se retrouvèrent à nouveau dans la baignoire, terminant de se laver avec application. Scellant la fin de leur ébat quotidien de quelques baisers sans pour autant briser le silence de la nuit.

Shinso finissait souvent seul dans cette salle de bain, mais il ne se sentait plus insolé. Il profitait de la paix que cela lui apportait après avoir fait l'amour avec son amant secret. La salle de bain des préfets était devenue, sans qu'il ne s'en rende compte, son endroit préféré de tout Poudlard. 


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Et c'est la fin de ce recueil.

Je sais que certains lecteurs auraient voulu une suite... La chose est que je ne suis vraiment pas à l'aise avec la fanfiction et que je n'ai pas du tout d'idée de scénario >.> Je veux dire, l'oeuvre originale est quand même super sympa ! (sans parler des HP qui ont été déjà beaucoup trop revisité.)

Du coup, je suis désolée de vous décevoir, mais il n'y aura pas de suite T^T Merci tout de même de m'avoir suivit jusque là !

Je profite de cette fin de recueil pour rappeler que j'ai un livre de préférence MHA et DGM et que j'ai écrit un one shot sur mon personnage original de MHA. (pour ceux qui chercheraient de la lecture 8D) 

En fait, mine de rien, j'ai écrit pas mal de truc en rapport avec des univers déjà existants xD seulement, interpréter des personnages qui ne sont pas les miens me bloque énormément ! 


Voilà ! Véritable fin de ce recueil ! Merci de m'être resté fidèle tout le long ;) à très bientôt ailleurs sur d'autres de mes oeuvres ;)

Il était une fois à PoudlardOù les histoires vivent. Découvrez maintenant