Dans une semaine les cours commençaient, le lendemain de mon arrivé j'avais bâclé se que je devais dire en cour et à qui je devais le dire, maintenant je m'ennuyer. J'avais trouvé une occupation, lancer une balle sur mon plafond, je faisais la même chose quand j'étais petite. Sauf que ça ne suffisait pas, l'ennui était toujours là, m'avait t-il déjà quitté de toute façon. Je mettais mise à lire, à dessiner, j'avais même essayer de faire une sortie mais seul ou à plusieurs ça n'avait pas de sens pour moi. Alors je restais là, dans ma chambre à écouter le silence de la maison en lançant ma balle au plafond. Le midi je me faisais un repas complet et le soir je grignoter vite fait, je dormais dans mon lit ou sur le canapé mais je ne rentrais pas dans les autres chambres. J'allumais la télé pour l'éteindre quelques secondes après, je me demandais pourquoi et comment j'en était arrivé là, mais au fond je savais. J'avais peur, peur du rejet, de l'abandon, je préférais me dire que c'est moi qui les avais abandonné plutôt que l'inverse. En même temps, je n'allais pas allé frapper à leur porte en leur disant : "Salut, c'est moi je suis de retour." Alors que je ne pouvait rien leur expliquer sur pourquoi j'étais partie. J'avais soufflé, soupiré puis je m'étais lève du canapé et j'avais attrapé ma casserole et un paquet de pâte. Toutes cette réflexion m'avait fatigué, et surtout elle m'avait affamé, j'ai mangé puis j'étais partie dormir.
Mais pendant ma réflexion une chose n'avait pas changé, le pâle sourire qui refusait de quitter mon esprit et qui prenait de plus en plus de place dans mes souvenirs.
J'aime bien ce chapitre, même si il est un peu cour.
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Après cinq ans d'absence. /T1/
Novela JuvenilJ'étais partis, lâchement, pathétiquement. J'avais fuis, par peur, par honte. Je ne leur avais rien dit, ils ne devaient pas souffrir. Alors aujourd'hui je reviens, après cinq ans d'absence je dois les regarder dans les yeux, mais j'ai changé. J'ai...
