A mon amie qui me soutien sans relâche.
Les cours commençaient aujourd'hui, hier c'était la rentrée des profs, ma rentré, j'avais envoyé un mémo pour leur dire que je n'irai pas. Je m'étais levée vers deux heures du matin, bonjour l'insomnie, et j'avais passé plusieurs heures à lancer ma balle au plafond. Après je mettais fait un café, et j'avais grignoté les deux cookies qui me restait de la veille. A sept heures, j'ai sauté dans ma voiture mettant la musique à fond et je suis parti pour ce lieu maudits. Arrivé devant le grand portail qui ne s'ouvrait qu'à ceux qui avaient la clef j'ai jeté un regard autour de moi. Des arbres, une route, des voitures, du bruit, ça me changeaient du silence que j'avais eu dans la semaine. J'ai pas cherché midi à quatorze heures et je me suis élancé dans le couloir, et en quelques pas j'étais devant la porte de la salle des profs. J'ai ouvert la porte et je suis entrée, aucun regard ne c'est tourné vers moi et temps mieux. Je me suis installé sur une table ou il n'y avait personne et j'ai attendu quatre heures. Premier jour signifie pour ceux qui ne sont pas prof principal, un ennui mortel. Durant c'est quatres heures personne ne m'a adressé la parole, je n'étais même pas sur qu'il m'ai vu. Une fois les autres profs arrivés ils se sont mis à parler, à manger et à rire, j'ai fais de même de mon côté, je veux dire mangeais mais en silence. Je suis allée marché dans les couloirs du première étage pour échapper à tout ce bruit, les murs avaient changé et l'emplacement des classes aussi. Je n'étais même pas sur de trouver une seul chose qui aurait pu rester indemne. Je n'ai pas croisé qui que ce soit, juste le silence du bâtiment puis une heure à sonné. J'ai attrapé mes clefs et j'ai ouvert la porte de ma salle de classe, après avoir déposé mes affaires j'ai descendu les escaliers pour allé chercher mes premiers élèves.
Mais dans la matinée une chose n'avait pas changé, le pâle sourire qui refusait de quitter mon esprit venait de s'incruster dans mon passé.
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Après cinq ans d'absence. /T1/
Fiksi RemajaJ'étais partis, lâchement, pathétiquement. J'avais fuis, par peur, par honte. Je ne leur avais rien dit, ils ne devaient pas souffrir. Alors aujourd'hui je reviens, après cinq ans d'absence je dois les regarder dans les yeux, mais j'ai changé. J'ai...