Chapitre 4: La Rencontre

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Pdv Kiday

Cela fais maintenant près de deux semaines que je ne suis pas sortit dehors ou que je n'ai pas parler à mes proches, je n'ai plus goût à rien, que je n'ai plus envie de penser, de rire, de pleurer, je suis devenu qu'une coquille vide, j'ai perdu l'une des personnes qui m'étais chère, j'ai perdu de mon teint légèrement bronzé, j'ai perdu énormément de poids, je suis bourré à longueur de journée, les bouteilles d'alcool recouvre le sol de ma chambre, des mégots de cigarette écraser sur le rebord de ma fenêtre qui ne laissait qu'un fin filet de lumière de l'extérieur, je suis devenu un misérable, j'ai fuit mes problèmes tel un lâche, assis sur le sol, dos adossé contre le mur de ma chambre, avec la boîte en mains, la regardant avec incrédulité, me remémorant les instants passés avec mon aïeul, je n'en peux plus de vivre ainsi, je ne sais pas il est quel heure aujourd'hui mais je sais que ma grand mère n'est pas à la maison, je me lève et part prendre mon carnet de dessin et mon matériel, c'est à dire un simple crayon, une gomme et un taille crayon, je prend une simple veste noir et la met, je dépose la boîte sur mon lit et sort de ma chambre, la lumière du couloir m'aveugle mais je m'y habitue vite, je regarde au sol pour ne pas écraser le plateau repas que grand-mère tente de me faire manger, l'odeur du plat me prend les narines et j'en salive, cela fait plus de quatre jour que je n'ai rien avalé, je prend le plateau et me met dans la cuisine en regardant bien si il n'y a personne, quand je m'en suis assuré, je me met à manger le plat et j'en pleure, c'est tellement bon, je le finis en un rien de temps et met le plateau à la vaisselle, je me dirige vers la porte d'entrée et avant de sortir, je me regarde dans le miroir, je ne reconnais pas cette personne que je vois, elle a des cernes monstrueuse sous les yeux, le teint pâle, les cheveux en bataille et des yeux ne reflétant rien, ni d'émotion, ni de vie, même si ses yeux si particulier donne de la couleur au reste, ce visage ne reflète que la déchéance qu'a subit cette personne, je detourne le regard et met ma capuche avant de sortir dans le monde qui m'a fait souffrir... JE DÉTESTE CE MONDE ET SES HABITANTS.

Je marche dans les rues de la ville, en longeant les murs ancien de ce trou pommé mais qui regorge de secrets, je ne le sait pas comment, mais quelque chose dans cette ville là rend spécial, je le sens, mais je n'arrive pas à savoir cela.

Quinze minutes plus tard, j'arrive à l'entrée de la forêt, qui maintenant, a bien perdu de ces couleurs d'été, pour adopté des couleurs d'un ton chaud mais glacial, quand je m'approche, je m'aperçois que l'accès principale est bloqué par les policiers, je me souviens de ce que mes amis m'avaient dit quand à la découverte d'un champs de cadavre dans la forêt par les gardes forestier, je prend un autre chemin qui n'est pas connus des autres, je rentre par cette accès restreint et m'enfonce dans la forêt jusqu'à atteindre une clairière que j'ai découverte il y a longtemps en me promenant dans la forêt, c'est le seul endroit dans lequel je peux me ressourcer et me détendre, je m'assoit sur un tronc d'arbre mort et commence à dessiner sur mon carnet, en ne pensant qu'à une chose, la désolation.

Je dessinais tranquillement ce qui me passait par la tête, le dessin me permet de m'évader un moment de ce monde, alors que je terminais mon œuvre, j'entends un bruit de branche craquer et je regarde autour de moi paniquer, "Oh merde! Ils m'ont suivis jusqu'ici ?!" me disais-je dans ma tête, alors que je regardait partout, une odeur enivrante me vient au narines, oh Dios mio! C'est la meilleure odeur que j'ai jamais senti de toute ma vie, ça sentais la sève de pin et la mangue, je regarde un peu partout er quand tout a coup, ma mâchoire c'est décrocher en voyant un loup devant moi, oui ! Un vrai loup ! J'en revient pas, en plus il est trop beau ! Je pose mon œuvre à côté et je descend de l'arbre en regardant le loup avec le sourire au lèvres, d'un coup, tout mes problèmes se sont envolé en voyant cette magnifique créature.

Il est trop beau ! J'adore la couleur de ses yeux, je vois qu'il s'approche de moi, je retire ma capuche et me recoiffe pour être un peu plus présentable, quand je le regarde dans les yeux, je sens mon cœur battre violemment dans ma poitrine, qu'est-ce qu'il ce passe ? Je me sens attiré par ce loup, c'est bizarre... J'approche ma main de lui pour qu'il la sente et que je lui montre que je ne suis pas un danger pour lui, je sort même une friandise de ma poche, j'en ai toujours sur moi pour que je nourrisse un chien abandonné quand j'en croise un, je les fait moi même, j'ai pas confiance envers les industriels. Quand je lui donne la friandises, je le vois remuer sa queue et il vient vers moi pour me léche le visage, j'en rigole quand il le fait.

"Arrête petit loup ! Tu me chatouille !" lui disais-je en rigolant, je vois qu'il se calme un peu et s'assoit devant moi en haletant, comme tout les canidés quoi, je regarde ses yeux bleu qui me plonge dans une admiration sans pareille et quand je lui caresse la tête, je ressent dans tout mon corps une sorte de choque électrique qui... Était divin à ressentir, mais comment ? Je ne sais pas mais mes yeux on commencé à me brûlé et je cri de douleur, je met une main sur le pendentif métallique de mon grand père et une autre main sur mes yeux, j'entends le loup japper nerveusement, je sent qu'il me léche la main pour m'aider et l'écarte gentiment pour voir ce que j'ai et là... Je le vois choqué, ce loup est... Étrange...

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A SUIVRE...

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