Changement

Chapitre 6: Les Révélations

(Ocean eyes de Bilie Eilish)

Pdv Kiday

Mes yeux...
Mes yeux me brûle...
Et tout mon corps semble être aussi en feu...
C'est horrible, je veux que ça s'arrête !! J'ai mal !! Pourquoi moi !!?

Je hurle, j'en pleur tellement car la douleur est insoutenable, je me roule au sol comme pour éteindre un feu qui se propage dans mes veines, j'ai l'impression que mon crâne va explosé, ma poitrine est serré comme dans un éteau, mon corps tout entier semble être aussi lourd qu'un rocher, je tente de me relever mais rien n'y fais, je tend mes bras vers l'animal avec grande difficulté car ces derniers semblent être fais de verre brisé, je commence à perdre connaissance à cause de toute cette souffrance en moi, quand je tend l'oreille pour écouter si quelqu'un venait, je n'entendais rien à part ce pauvre loup qui couine, mais pas uniquement un couinement de tristesse, d'inquiétude mais aussi de douleur, je tente de lui tendre une main pour le caressé et le calmer mais je tombe dans l'inconscience.

Tout est noir autour de moi...
Il n'y a personne...
J'ai l'impression... De flotter dans une sorte de lac... L'eau autour de moi est visqueuse et graisseuse, comme de l'huile... C'est chaud... C'est tellement agréable... Je ne sent plus aucune douleur comparé à tout à l'heure.. Je me sens en paix... Au loin, je vois une douce lumière qui ne fait que de croître... Mais contrairement au lac d'huile... Cette lumière dégage un air glaciale... Mais tellement attirante... Je me sens poussé vers cette lumière et je me sens la traversée puis...

Plus rien.

Je réouvre mes yeux et je me rend compte que je suis toujours dans la clairière, je suis allongé sur le sol, la tête posé sur quelque chose de doux, de chaud et qui sent bon la sève de pin et la mangue, quand je me lève et que je regarde ce qui me servait d'oreiller, qui je dois l'avouer est beaucoup plus comfortable que mes oreillers actuels, je me rend compte que c'était le loup de toute a l'heure, je sourit en le voyant dormir et vient lui caressé sont merveilleux pelage noir ébène, je glisse mes doigts en les poils soyeux et m'amuse avec, je me sens tellement calme et reposer en la présence de cette merveilleux animal.

Mais mes pensées négative me remonte à l'esprit et me mettent une claque, me ramenant à la réalité, à cette réalité à laquelle, j'avais réussi à m'en échapper pour quelques instants, je me lève et vient à m'installer sur le tronc arbre, sur laquelle se trouvait mon dessin et mon matériel, je ne regarde pas le dessin et je viens prendre de ma poche, mon paquet de cigarette et vient à m'en allumer une, j'avale une bouffés de cette dernière et recrache la fumée avec silence, je regarde la fumée sortant du tube avec convoitises, "J'aimerais tellement être comme la fumée... Au moins elle est libre, personne de peut l'attraper de ses mains et elle est aussi fluide et gracieuse que l'eau... Tout le contraire de moi quoi..." dis-je d'un ton mélancolique, j'avale d'autres bouffées de fumée venant du tube de tabac et les recrache, tel les volcans solennel, je regarde le ciel avec attention, je regarde chaque nuages qui passent au dessus de la forêt, je memorise leur formes et leurs couleurs quand une pensée me vient à l'esprit, je repense à la lettre de mon grand-père et je prend le médaillon en fer dans ma main, je l'examine longtemps avant de remarquer, que ce n'était pas un médaillon banale, c'est une flasque !

(Nda: Une flasque est comme une sorte de gourde mais en version plus petite pour pouvoir êtres transporter plus facilement, elle est assez petite pour être mis dans une poche !)

Je dévisse le haut de la flasque, porte le goulot à mon nez et j'hume l'odeur, elle est semblable à l'odeur du saké, mais je ne savait pas, que ce n'était pas de l'alcool, alors je bus le contenu de la flasque et tout ce que je peux noter, est ce goût métallique, semblable... A celui du sang.