Chapitre 2

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Les vacances au club c'était juste génial, j'ai même appris le galop mais aussi le trot en équilibre et le galop en équilibre pour aboutir aux obstacles à la fin.

Je m'en souviens d'ailleurs très bien de mon premier obstacle.

C'était avec Fanny une double ponette devenue ma chouchoute.

Ça robe était spécial tous comme son caractère, elle avait un mélange de blanc, de marron et de noir. On pense que c'était Rouan sa robe, mais on en a jamais eu le coeur nette.

Cette jument détestait avoir quelqu'un derrière elle et mon moniteur acceptait son choix bien que des fois on tenter quand même le coup.

Arrivé sur l'obstacle elle sauta et je me retrouvais sur son encolure comme une idiote et je n'eus pas d'autre choix que de descendre.

Je n'avais pas compris pourquoi je m'étais retrouvé la. En observant les autres je me rendis compte d'un petit détail qui avait toute son importance, j'avais oublié de me lever.

Oui je sais c'est très bête.

Je partie donc sur une deuxième tentative mais cette fois la jument a comment dire ... Passé à côté.

Je suis donc repassé cette fois en regardant bien droit devant et en tendant mes rênes comme le moniteur me l'avait dit.

Après toutes ses péripéties au club et mes adieux temporaires à Fanny et aux filles aussi, ainsi qu'à Monsieur Riquiet le moniteur et propriétaire du centre je rentrais chez moi car je devais préparer ma rentrée pour le lycée.

La veille ma valise n'était toujours pas finit et j'allais oublier le plus important, mes affaires d'équitation.

Une fois la valise bouclée je partis me coucher en pensant aux gens que j'aurais dans ma classe et les filles que j'aurai dans ma chambre.

Seraient elles sympas ou non ?

Est ce que je me sentirais bien la bas ?

J'avais du mal à dormir avec le stresse et il était déjà une heure.

J'entendais les voisins se gueuler après comme des abrutit.

En pensant aux animaux des fois je me dit pourquoi si Dieu existait aurait il créé une espèce comme la notre aussi égoïste, immoral et bête pour créé sa propre destruction.

Les Hommes sont vraiment bizarre des fois.

Je me faisait souvent des réflexion comme celle la le soir avant de dormir ou bien quand j'étais énervée.

Enfin bref j'avais trouvé mon sommeil vers 2h du matin.

Ce fut donc très dur de me lever à 6h30 mais l'excitation me réveilla quelques minutes plus tard.

Je m'habillais en Jean avec pull grise et me maquillais mais pas trop pour ne pas ressemblé à un pot de peinture.

Mon père travailler encore, se fut donc ma mère qui m'emmena au lycée à une bonne heure de là.

C'était magnifique, en plaine nature, un château de 17ème siècle en brique claire se dressé devant nous.

Devant, un jardin de gazon et sur les côtés se trouvaient des bâtiments du même style.

Les premières années nous faisaient do c la visite du château, du self, du foyer de vie ainsi que les internats.

Les internats étaient des pavillons ,les uns face aux autres et pour centre un terrain de basket.

Il y en avaient 7 dont seulement 2 de filles.

Je sentais que j'allais adorer se lycée. Déjà par ça beauté mais aussi parce que contrairement aux établissements des villes, il n'y avait pas de barrière et des champs et des forêts à perte de vue.

Les Crins au VentOù les histoires vivent. Découvrez maintenant