Chapitre 1

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A toi Choyun

Notre histoire est magnifique. Dans ce monde sans coeur toi et moi avons réussi à prouver le contraire. Elle a fait le tour du monde et pour cause elle transporte avec elle un amour incertain et éternel.

Je vais vous la raconter.

Tous commence banalement, j'ai toujours rêvé de faire de l'équitation et à mon 14 ème anniversaire mes parents m'ont inscrit à un centre d'équitation pas très long de chez moi.

"Les Cateliers"

Mon premier cour a eu lieu un soir avec Farceuse , une petite jument de robe marron foncé avec des crins noirs dite bai dans le jargon équin.

J'avais appris les bases tel que brosser sont cheval, lui mètre la selle et le filet mais aussi le sangler. J'avais eu beaucoup de mal à vrai dire et c'est le moniteur qui à tous fait pour me montrer.

Je mis donc ma bombe et partie avec cette jolie Farceuse pour le manège.

Une fois montée dessus, le moniteur ma montré comment tenir les rênes et avancer.

J'ai commençais le pas.

Après avoir était à gauche, a droite et avoir appris à m'arrêter, il se faisait déjà tard et la ration avait était distribué vu l'inquiétude qu'affichait farceuse quand on s'approchait des autres chevaux.

Je descendit donc de cette jolie demoiselle et la ramena dans son box où elle savoura déjà sa ration avec le mors encore dans la bouche.

Je lui enlevais donc le filet puis la selle avec le tapis et l'amortisseur que je remis à leurs places.

Un petit coup de brosse et quelques caresses affectueuses puis je repartis chez moi avec ma mère dans la voiture.

Ma mère était ni trop grosse, ni trop fine pour environ 1m60.

Elle avait les cheveux court brun et des yeux vert.

Mon père quant à lui faisait 1m80 lui aussi ni trop gros, ni trop maigre et avait aussi les cheveux bruns avec des yeux marron clair.

Quant à moi j'avais les yeux vert de ma mère ainsi que sa taille, en revanche mes cheveux était blond étrangement.

D'après mes parents cela venait de mes origines lointaines et qu'ils deviendront de plus en plus foncé avec le temps.

Arrivé à la maison mon père me demanda si j'avais aimer.

Évidemment ! qu'elle question.

Un mercredi j'allais donc rejoindre le cour avec toutes les autres cavalières.

Le moniteur me donna encore Farceuse que je brossais quand une voix m'interpella.

-Salut.

Je me retournais et vie une jeune fille de quelques années de moins que moi avec des lunettes me regarder avec sa jument grise accroché en face du box de Farceuse.

-Salut.

-Moi c'est Léa et toi ?

-Moi c'est Sarah.

-Si tu as besoins d'aide n'hésite pas à m'appelait surtout.

-D'accord, merci.

Il se trouvait en effet que j'avais besoin d'aide car je n'arrivais pas à mètre le filet.

Je m'avançais donc vers elle qui était en train de faire les sabot de sa jument.

-Euh excuse moi mais je ne sais pas mètre le filet.

J'avais un peu peur qu'elle ne rigole et se moque de moi, au lieu de quoi elle me détailla comment le mètre puis l'enleva à fin que je puisse essayer.

Ce n'était pas encore sa mais bon avec de l'entrainement j'y arriverais.

Je finis donc de préparer Farceuse et je me dirigea vers le manège.

Tous le monde était en train de régler les étriers et de resangler.

Je me mis donc à côté de Léa qui était déjà à cheval.

Je fis de même en sentant beaucoup de regard sur moi.

On commença au pas où l'on se suivait tous.

Après 10minutes de pas on commença le trot enlevé.

Catastrophe, je n'avait jamais troté et encore moins enlevé.

Farceuse suivit sans que je lui demande et il me fallait faire comme les autres.

Le moniteur pour m'aider me donné le temps

-Un,deux. Un,deux.

J'avais vraiment du mal mais Léa m'avait dit que c'était normal et que je m'ameliorerais avec le temps.

Le cour finit la soeur jumelle de Léa se présenta aussi.C'était les même sauf que Léa avait des lunettes et Chloé non, c'est d'ailleurs comme sa que l'on faisait la différence Léa Lunette.

****

Je jonglé donc avec mes cours au collège et l'équitation le mercredi.

Plus ça aller et plus j'aimais aller au club. La joie et l'ambiance était toujours au rendez vous. J'aprennais pas à pas l'équitation.

Pendant les vacances je venais même le matin avec les filles et on faisait les box, on graisser les cuirs et entre deux quelques batailles d'eau, quelques fou rire et autre jovialité.

C'était comme une famille, je me souvient même le jour de la fête du clud où j'avais monté un cheval de trait de race Cob Normand, il s'appelait Hot mais je vous rassure il n'a pas le comportement qui va avec son nom.

Ce jour la on avait fait un Jeu plaine air dans le pré avec des parcours et des challenges en équipe. Le soir on avait fini avec un barbecue auquel les parents étaient conviés.

Nous on a passé la nuit dans une tante au milieu des chevaux dans leurs pré. C'était génial.

Au petit matin on voyait les chevaux couché dans le pré avec le soleil levant.

Je passais donc mes mercredis puis mes samedis et vacances aussi la bas au grand désespoir de mon amie Louise qui elle n'aimait pas les chevaux.

Ma meilleure amie Garance elle aimait les chevaux et quand elle venait à la maison on allait au club.

Ma meilleure amie avait 2 ans de moins que moi mais je m'en moquais. C'était comme une soeur pour moi, je passais pas mal de week end chez elle quand mes parents travailler et elle pas mal de vacance avec moi. On était comme les 5 doigts de la main.

La fin de l'année toucha à sa fin et l'arrivé du brevet avec, ainsi que la demande dans un autre lycée à trouver.

Pour ma part j'avais choisis un lycée agricole pour un bac technologique dans les animaux avec option hippologie évidemment, comment se passer de l'équitation maintenant, surtout que je serais en internat.

C'est donc avec le brevet des collèges en poche que je fus acceptée dans ce lycée en pleine campagne Normande.

Les Crins au VentOù les histoires vivent. Découvrez maintenant