Chapitre 3

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Je suis donc rentré et sur le chemin j'ai repassé les photos pour les regarder, le camping n'était plus très loin et je sentais déjà l'odeur des barbecue allumés. Ce soir c'était la fête au camping, il y avait une soirée dansante.

- C'est à cette heure la que tu rentre Sarah !? Dit ma mère

-Maman j'ai 18 ans alors épargne moi les couvres feux surtout qu'il n'est que 20 heure. Repondis -je exaspérée.

-Bon qu'a tu fait alors dit mon père, tout en mettant la table.

- je suis allée en forêt prendre des photos comme d'habitude.

Ma mère soupira. Puis on commença le dîner.

- viens-tu avec nous à la soirée ? Demanda ma mère.

- je ne pense pas, j'aimerais ranger mes photos dans mon ordinateur.

Je pris la décision de débarrasser la table, en entrant dans la caravane j'entendis ma mère parler avec mon père dehors.

"

-je m'inquiète pour Sarah, elle n'arrive jamais à se faire des amis, elles ne profite pas de la vie ni de sa jeunesse à part les photos.

- C'est ça passion, c'est normal chérie et puis elle en a des amis chez nous. Ne tant fait pas. "

Ma mère pensait donc que j'étais insociable. N'importe quoi j'en ai des amis quant même. C'est juste que je ne suis pas aussi extravertie qu'elle était à l'époque.

-Bon on y va Sarah. Dit mon père.

-Tu est sur que tu ne veut pas nous rejoindre ? Demanda dans une dernière tentative ma mère.

-Je verrais. Répondis-je la tête dans mon ordi.

Sur ce ils partirent à la fête.

**

J'avais finit de classer mes photos qui emplissaient ma carte mémoire et la fête battait son plein.

Les paroles de ma mère revenaient en mon esprit. Je pris donc la décision d'y aller pour lui faire plaisir.

Je mis un gilet en laine car en short et t-shirt il faisait un peu froid.

J'étais à même pas cinq minutes de marche que la musique résonnait dans mes oreilles.

J'étais arrivée à la fête et tout le monde étaient en train de danser.

Je repairais mes parents dans la petite foule d'une quinzaines de personnes et leurs tables ou ils avaient posés leurs affaires et mis installa.

J'observais les danseurs et aperçu un garçon de mon âge danser avec une petite fille, le garçon m'appercut et je détournais donc le regarde mais trop tard.

- Euh salut ?

Je levé ma tête pour lui faire face, je me sentis rougir et me dit

"je suis vraiment pitoyable"

-Euh salut. Répondis je.

-Tu ne viens pas danser ?

-Ce n'est pas trop mon truc...je ne ....

-Tu n'est pas venue juste pour regarder quand même ? Me demanda t'il avec un air amusé.

-A vrai dire je suis venu parce que ma mère pense que je suis en train de rater mon adolescence, enfin se qu'il en reste. Ajoutais-je avec une dose d'humour.

Il rit.

-Quoi ? Demandais je.

-Je n'ai jamais rencontré quelqu'un comme toi et je dois dire que je suis amusé.

-Ah...
(Soit il me prend pour une débile soit c'est un compliment)

On finit donc par parler un petit bout de temps à la table où il c'était assit à côté de moi.

J'appris donc qu'il venait d'ici et que ses parents tenaient le camping.

-Bon si tu n'aime pas danser, je peux te proposer une balade nocturne au bord de la rivière quand même ?

-Avec plaisir Hugo.

On partit donc en direction de la rivière tous en continuant les récits de notre vie, ce garçon n'était pas comme les autres, il était intriguant et pensait comme moi.
(Peut être bien qui me plait.
Non Sarah arrête de penser ça !!)

-Alors comme sa tu aime la photographie ? Demanda t'il.

-Oui, je dirais même que j'adore!!

-Et tu photographie quoi ?

-De tous mais je préfère la nature et les animaux. Ce sont les sujet les plus passionnant, je trouve.

-Je trouve aussi, je pense que l'on a beaucoup à apprendre d'eux.

-Oui c'est exactement se que je pense.

On débattit donc un petit moment sur le comportement des animaux et celui des humains puis le silence fut, il silence lourd de réflexions et vide en même temps. Cela me gêner car je sentais que se garçons me perturber.

Il vent chaud carreca ma peau et souffla dans mes cheveux se qui me donna un frisson.

Je sentis alors qu'il me regardait et je jetta un coup d'œil aussi. Nos regards se croisèrent.

-Bon je vais rentrer. Dis je pour casser le silence. (Et avant que cela dérape)

-Attend je te raconpagne.

-Je ne suis pas très loin tu sais.

-Si, j'y tiens.

Aucun mots ne sortaient de nos bouches.

Au bout de la route on échangea nos numéros puis il me quitta devant la caravane. Je partie me coucher.

Les Crins au VentOù les histoires vivent. Découvrez maintenant