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«POUR AIDER MA MÈRE, JE SUIS DEVENUE UNE PUTE ! »

@Manousaid

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Mounir  attrape ma nuque et me fais rapprocher ma tête de la sienne avant de poser ses lèvres contre mes lèvres.

Au début, je répondais pas mais je lui laisser l'accès à ma bouche, je rapprocher mon corps du sien.

j'ai ensuite répondu à son baiser en suivant son rythme. Lorsqu'il aller se  séparer de mes lèvres, je lui ai mordiller sa lèvre supérieure avant de l'embrasser a nouveau.. je me sépare de ses lèvres et il m'attrape les cuisses. Je pose ma main sur son torse et il me regarde avant de me faire basculer a ce qu'il soit sur moi.

Mounir : Ça va?

Moi : Oui.

Il commence a me faire des bisous sur le cou. Je regarde le plafond, il y'avais une tâche qui avait la forme d'un chevalier sur son cheval, C'est la première fois que je le vois !

Je sens les mains de Mounir caresser mes cuisses tout en commençant a me retirer ma culotte.

Mounir : Soulève tes fesses.

Je soulève un peu mes fesses et il enlève complètement ma culotte. Il me regarde et je le regarde aussi.

Et puis on l'a fait, fin c'était plutôt lui qui prenait du plaisir, je le regarder juste faire tout en simulant alors que j'étais plus dégoûter que autre chose. En plus , on l'avait fait plus de trois fois, c'était douloureux je l'avoue.

Après qu'il ait fini, il c'est allonger sur mon sein. Je voulais juste une chose, qu'il parte maintenant qu'il a fini.

Moi : J'ai besoin d'aller au toilette.

Il se détache de moi, je me lève et je commence a chercher ma culotte  j'avais trop du mal à marcher mais j'avais honte de le lui montrer.

Mounir : Tu cherches quoi?

Moi : Ma culotte.

Je regarde et touche partout.

Moi : C'est toi qui l'avais tout à l'heure.

Mounir : Je l'ai balancer je ne sais où.

Je le regarde agacée, vraiment.

Moi :*Souffle d'agacement*..

Il c'est levée d'un bond et m'attrape la mâchoire.

Mounir :*Rire nerveux* Refait plus ça Layra, je suis pas ton pote pour que tu me montre et m'exprime ton agacement.

Voilà, ce gars jamais je le comprendrai, d'un coup il est bien avec moi et d'un seul coup, il devient désagrément a en être violent.

Je le regarde et lui aussi, Mdr deux personnes debout et nus se scarface là ! Alors qu'il y'a une minute, on était en train de baisé ensemble Ptdr ! On aurai tout vu.

Suite à ses pensées, je mets ma main sur mes  seins et l'autre sur mon intimité. Il détourne son regard sur mon corps.

Mounir : T'es aussi impoli que ton corps.

[1]«POUR AIDER MA MÈRE, JE SUIS DEVENUE UNE PUTE !  »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant