[1]«POUR AIDER MA MÈRE, JE SUIS DEVENUE UNE PUTE ! »

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«POUR AIDER MA MÈRE, JE SUIS DEVENUE UNE PUTE!»

@Manousaid

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Yemma : Je vais t'en servir une autre.

Fafona : Non, ma tante, c'est bon,je suis rassasié.

Yemma : Non, je sais que tu as encore faim.. Mange à ta faim mon fils..

Ma mère lui sert à nouveau une autre assiette.

Fafona : Merci ma tante.

Yemma : Comment va ta mama Fafona ? , j'ai entendu dire qu'elle était malade.

Fafona : Elle se rétabli petit à petit ma tante.

Je caresse tout doucement la paume de ma main.. Les mères du quartier, ce connaissent vraiment très bien.. Ma mère et les mères de petits sont des amies depuis l'arrivée de ma mère ici.. De temps en temps, elles nous aident en nous donnons des petits courses ou même des fois la mère de Fafona m'appelle pour aller chez elle, pour parler même des fois, elle me tresse mes cheveux.

Mama : Layra tu iras la voir tout à l'heure d'accord ?

Moi : Oui.

Elle a continuer à parler avec Fafona, je la regarde sourire, grimacer et rire.. Ma mère ? C'est mon pilier.. Elle a toujours était là pour moi alhamdoulilah.

Après que Fofana, fini de manger, je prends la vaisselle qu'il a utiliser, je les lave et je les range, ma mère me donne une grosse assiette de plat  pour la mère de Fafona.

Je la prends, je pars mettre mes chaussures et moi et Fofana, on sort de la maison.

Moi : T'inquiète pas pour Sissoko il va vite revenir te reparler.

Fofana : Hum..

J'attrape son épaule et on part prendre l'ascenseur, arriver en bas, en descend avant de sortir de mon bâtiment, on part vers le bâtiment de la mère de Fafona.. Arriver devant chez elle Fafona ouvre la porte.

Fafona : C'est nous..

On enleve nous chaussure et On part directement au salon, y'avais la mère de Fafona et son père.

Moi : Salam aleykoum.

Eux : Aleykoum Salam.

Tonton Abdou : Entre ma fille, viens t'asseoir à côté de nous.

Moi : Je vais d'abord poser le plat dans la cuisine et je reviens.

Je pars la pose dans la cuisine sur la table puis je repars au salon.

Tante Mary : Toi, tu ne viens presque plus, nous voir.

Moi : Désolée, j'étais occupé avec mes cours.

Tonton Abdou : Tu sais, on te le dit tellement souvent que maintenant, c'est devenue une chanson.. Si t'as besoin d'aide pour   révisais, viens à la maison, Gibril prendra du temps pour toi.