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«POUR AIDER MA MÈRE, JE SUIS DEVENUE UNE PUTE!»

@Manousaid

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Ça faisait une heure que Karim, m'a emmener de force dans cette appartement.

J'étais assise au bout du canapé et lui était assis à l'opposé et il manipuler son téléphone.

Je prends mon téléphone et je commence à regarder des vidéos sur Facebook.

Je regarde l'heure et il était 14h..

Moi : Je veux rentrer chez moi.

Karim : On m'a dit de t'emmener ici.

Je fronce mes sourcils et je le regarde.

Moi : Je veux rentrer chez moi.

Karim : Dis le à Mounir pas à moi.

Je regarde sans rien dire, cette situation commence à mériter vraiment. D'abord le gars me chasse carrément de sa voiture et après il demande à son pote de venir me récupérer.

Je continue à manipuler mon téléphone tout en étant énervée et j'ai fini par m'endormir à cause de la fatigue, vu qu'hier soir je n'ai dormi que 2h à cause du stress de la rentrée.

À un moment, j'entends des voix et je me sens porter. Je sais déjà qui sait juste en sentant l'odeur de son parfum mélanger a l'odeur de sa cigarette.

Je suis trop fatiguée pour me réveiller. Je me replonge dans mon sommeil.

Mounir : Layra?

Moi :..

Il me dépose sur quelque chose  de moelleux, puis il m'enlève mes bas, j'ouvre mes yeux.

Moi : J'ai pas envie Mounir.

Mounir : Mais moi, si !

Il s'allonge sur moi et me fait des bisous en m' écartant les cuisses. J'étais pas du tout de cette humeur. Le fait qu'il était sur moi m'énerve encore plus, car je n'ai pas encore digérer le fait qu'il m'ai crier dessus et chasser de sa voiture juste par ce que j'avais tousser

Il sort mon sein de mon débardeur et s'empresse de la mettre dans sa bouche.

Je regarde le plafond, j'entends sa respiration devenir encore plus fort.

Moi :..

Mounir : Applique toi Layra, je ne te paie pas pour rester immobile comme une planche.

Je ferme tout doucement mes yeux et je les ouvre, j'attrape sa tête et je l'embrasse, il me réponds, je soulève un peu mon bassin il m'attrape mes cuisses en insérant ses onglets dans ma peau. Je gémis de douleur.

Aaah... Sérieusement, je n'ai pas envie de faire ça. Je caresse légèrement son dos, il frotte son sexe contre la mienne tout doucement.

Moi :*Souffle* Mounir?

Mounir : Hum?

Moi : Non, rien!

Il me pénètre et commence à faire des vas-et-viens et moi, il m'agrippe encore plus la cuisse avant de remonter ses mains vers ma hanche. Il pose délicatement sa tête entre le creux de mon cou.

Je ne sentais rien, je regarde le plafond à nouveau.
Après qu'il a fini, il se détache hors de moi, je m'assois et je le regarde se rhabiller.

Mounir : Refais plus ça !

[1]«POUR AIDER MA MÈRE, JE SUIS DEVENUE UNE PUTE !  »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant