{ Natsu x Reader } Cœur De Dragon🔥

•Chapitre 1• Là où tout à commencé

Pdv: (T/p)

Je marchais tranquillement dans la forêt. Les arbres et les plantes présents autour de moi se mirent à bouger. Je ne les écouta pas. Trop perdu dans mes pensées. Je pensais au fait d'être seul. Sans personnes à mes côtés. Sans personnes à aimer. Plus j'avancais et plus le cliquetis des feuilles se frappant augmentait. Je le savais, je les entendait, mais je n'y faisais toujours pas attention. Comme emporter dans une sorte de transe. Un transe noir et grise.

Je pensais à mes frères et sœurs disparu. Enfin, je dis frère et sœur, mais ils ne le sont pas vraiment. Seulement moi qui les considérais comme telle. Ce qui n'était même pas réciproque puisqu'ils m'ont abandonné du jour au lendemain dans ma clairière de naissance. La où je suis née, et là où j'ai vécu toute ma vie. Mais en cette journée où le ciel était caché par un amas de nuage gris, je me suis perdu. Perdu dans ma propre forêt. Je n'aurais jamais cru que ça arriverait. Mais disons que j'étais trop perdu dans mes propres pensées pour remarquer l'embûche dans laquelle je me trouvais.

Pathétique, n'est-ce pas? Aussi pathétique qu'au rêve à laquelle je m'accroche désespérément. Je grimaça et souris. Oui. Je suis pathétique.

CRACK!
Un craquement retentit derrière moi. Je m'arrêta et regarda du coin de l'œil. Pensant que c'était un animal, je continua mon chemin. M'enfonçant plus profondément dans la forêt Noir, l'endroit qui m'a toujours été interdit d'aller. Les arbres rémuèrent leurs branches de plus en plus vite et fort. Leurs chuchotements me transperça, mais toujours entrain de penser à mes chers êtres perdu, je continua d'avancer, malgré leurs avertissements.

Puis, soudainement, plus aucun bruit. Seule ma respiration trompait le fait de la présence d'un être humain dans les alentours. Je fronça les sourcils, mon sourire formant plutôt une grimace. Ce n'est pas normal! Les arbres ne parlait plus, les bruits d'animaux ne se faisait plus, plus rien. Je fis un pas, et une bande d'oiseau s'envola en vitesse vers le nord en lâchant leurs croassements, me faisant sursauter. Nous sommes en pleine été, donc c'est impossible que les oiseaux migrent, et encore moins vers le nord! J'essaya de voir au travers d'un épais feuillage d'un chêne, pour voir ce qui aurais pu effrayer les oiseaux. Mais je ne vis rien, c'est peine perdu avec un telle feuillus.

CRACK! CRACK! CRAAAACK....
Des craquements de branches se firent entendre autour de moi. Comme si que quelqu'un courrait. Ou peut être plusieurs personnes...? Les cliquetis des arbres reprirent en même temps, et cette fois-ci je les écouta.

FUIS!

Étaient-ils entrant de me dire depuis plusieurs heures déjà. Sans attendre, je partis au pas de course dans le chemin inverse que je prenait maintenant, essayant tant bien que mal de retrouver mon chemin. Essayant d'échapper à ce danger, qui pourtant semblait me rattraper. Je paniqua et me mis à zig-zaguer dans tous les sens. Puis, des hommes sortirent de leur cachette. Sans que je ne puisse esquisser un mouvement, ils m'entourèrent et sautèrent sur moi. Les arbres essayèrent de m'aider, mais ils ne réussirent à rien faire.

Je voulais utilisé mon pouvoir. Mais, le pouvais-je? Ce pouvoir n'est-il pas trop grand pour que mon corps puisse le supporter? Et la forêt? Survivra t-elle a une telle décharge? Et ces gens? Je ne veux pas les tuer! La forêt fut secouer de remous.

NON!

Pouvais-je les entendre hurler. Écraser sous le poids des hommes qui me tenait, je me débattait comme une folle. Mais, ils étaient trop fort pour moi. J'entendis quelqu'uns m'insulter, d'autres me crachèrent en pleine figure. Ils répétaient tous le même mot : sorcière. Je ne pu m'empêcher de pleurer. Comment peut-on traitait une simple fille comme moi, possédant de la magie, de sorcière, alors que tout le monde en possédait? Qu'avais-je dont fait? Les arbres Continuèrent leur assaut sur les hommes. Certains finirent en brochette. Je pouvais voir le sang qui coula le long des troncs, pour continuer leur route vers ses compagnons qui brulèrent de rage.