Je t'aime Bubus

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Bonjour à tout.e.s !
J'aimerais vous prévenir qu'il n'y à aucun spoil des crimes de Grindelwald dans cette fanfic ! Il s'agit de ma première publication et je m'excuse d'avance pour l'orthographe qui pique les yeux ( dites moi que je puisse corriger ) car ce n'est pas un de mes points forts ... Les personnages appartiennent à la Jk Rowling et seule l'histoire m'appartient. Cette fanfiction se déroule en 1943 soit 2 ans ( ou presque ) avant la chute de Gellert ( Grindelwald ). Sur ce je vous souhaite une bonne lecture et à bientôt sur d'autres fanfics !

Ps : Il y a du lemon dans cette fic

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Gellert était en train de regarder avec mépris son dernier achat qui était encorr posé sur son bureau. Il avait encore craqué, comme à chaque fois qu'il voyait un objet susceptible de lui faire plaisir d'ailleurs. Il soupira en fixant de nouveau son achat, combien avait-il payé pour ça ?

Le blond prit la boite dans ses mains tout en la regardant d'un air interdit, il mit un sort réfrigérant sur le paquet de sorbet au citron et soupira de nouveau. Pourquoi tout lui rappelait toujours Albus ? Du matin au soir, des actions minimes et sans importances le tiraillaient et lui serraient le cœur car elles lui rappelaient sans cesse Albus.

Quand il mettait une chaussette il pensait a lui.

Quand il sentait une odeur de quelconque agrume il pensait a lui.

Quand il s'allongeait dans son lit deux places vide ... Il pensait encore et toujours à lui.

Pourtant Gellert savait que les sentiments - aussi forts soient-ils - qu'il éprouvait pour lui le freinaient, et même considérablement.

C'est pour ça qu'une part de lui voulait sa mort. Le mage noir serait alors délivré de ses sentiments et pourrait accomplir se qu'il pensait juste. Mais son cœur lui hurlait qu'il ne s'en remettrait jamais, et, bien que ça l'énerve au plus haut point, il savait que celui-ci avait raison. Puis s'il y avait bien une seule personne qui méritait de vivre sur Terre, c'était bien Albus, songeât le blond aux yeux vairons.

Il soupira encore une fois, mais cette fois-ci, son soupir fut teinté d'une peine prononcée. Le blond se leva et alla ouvrir la porte du placard proche de son bureau. Devant lui s'étendaient parchemins vierges et encre de différentes couleurs, ce qui lui fît penser à Albus une fois de plus.

- Revelio. dit simplement Gellert en pointant le placard de sa baguette. Le décors changea alors une fois de plus sous ses yeux, des dizaines et des dizaines d'objets plus ou moins colorés apparurent à la place des parchemins, passant de livre à des sucreries. D'objets marqués de runes anciennes à des chaussettes - souvent rouges quand on y prêtait attention. Le blond posa alors le paquet réfrigéré dans un coin de libre et regarda l'ensemble avec peine.

Oui, tout cela plairait énormément à Albus et le blond sentit une fois de plus son cœur se serrer en imaginant le sourire qu'aurait son amant en ouvrant tout ça. Il serait splendide comme toujours, ses yeux bleus plus pétillants que jamais et les oreilles légèrement rosies par tant d'attention. Gellert soupira une nouvelle fois en remettant en place le sort qui cachait la réserve de présents avant de retourner à son bureau. De toute façon avec le temps Albus avait du l'oublier, ne plus l'aimer ou même ... Le remplacer...

Non.

Gellert Grindelwald était irremplaçable et Albus était bien assez brillant pour s'en rendre compte.

Ou assez brillant pour être heureux avec quelqu'un d'autre, souffla une voix désagréable dans l'esprit de Gellert.

Non.

Je t'aime Bubus - Os GrindeldoreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant