l envers de la guerre

chapitre 21

Je reste allongé et continue de tiré... Je tente de me reculer grâce a mes jambes.
Celui qui a l'arme automatique est un soldat...
Mon arme est vide...
Je suis dos au mur... Le soldat viens de rechargé...
Il dirige son arme vers moi.
Un coup de feu retentit...
Tout est ralenti, limite figé...

Je tourne la tête et je vois le jeune homme avec l'arme dirigé vers le soldat.
De la fumée sort du canon de son arme.
Je tourne a nouveau la tête vers le soldat, celui ci s'écroule au sol.

...:" Tu n'as rien ?"

Moi:" ça va grâce a toi, merci de m'avoir sauvé."

...:" Tu ne te serais pas jetté sur moi comme sa, on serai tout les 2 morts."

Moi:" et tu m'aurais abattu directement, tu aurais pu partir."

...:" Tu étais de dos, je ne suis pas un lâche."

Je tente de me relevé mais une douleur me bloque la cheville et je perd l'équilibre...

...:" Il t'arrive quoi ?"

Moi:" rien."

Je retente de me levé en forçant sur ma cheville...
Je gémit de douleur et m'appuis contre le mur...

...:" Fait moi voir ta cheville."

Moi:" ce n'est rien."

...:" Tu ne peux plus marché."

Moi:" j'arriverai a marché."

...:" Pas tout seul, reste la."

Moi:" tu va faire quoi ?"

...:" Je vais te faire une attelle."

Moi:" merci, je m'appel Aurélien"

...:" Je m'appel Florian"

Moi:" merci d'être resté."

Florian:" on est quitte."

Moi:"tu fous quoi ici ?"

Florian :" je survis, comme toi je pense."

Moi:" je cherche de la bouffe pour mon groupe."

Florian :" serre les dents"

Moi:" pour..."

Pendant que l'on parlais, il avait saisie 2 morceaux de bois et a arraché des morceaux de tissus sur les rideaux...
Il vient de faire un noeud pour maintenir les morceaux de bois autour de ma cheville...
Il utilise un autre morceau de tissu pour que le tout sois correctement tenu.

Florian :" je t'avais dit de serré les dents."

On entend du bruit venant de la porte...

Florian m'aide à me relevé, il nous rapproche du corps pour récupérer l'arme du soldats...
Au moment de ce penché, nous entendons un truc roulé...
Nous levons la tête, une... une grenade... Je prend appuis sur la bonne jambes pour nous éloigné de la grenade...
Florian suis le mouvement instinctivement...

La grenade explose...
Nous sommes projeté par le souffle de l'explosion...
Nous traversons la fenêtre...
Nous sommes sonné...
Florian ce relève avant moi. Je le vois s'éloigner...

Je commence a me relevé.

Florian :" bouge pas."

Je relève la tête et je le vous récupérer un sac dans les décombres.