23 décembre 1914
Aujourd'hui, ceux qui partent chez eux, partent en fin d'après midi. Je prendrai le carnet et le complèterait la bas également, vu que je serai en vacances. Comme nous partons dans moins de six heures, nous devons nous rendre au combat ce matin.
Je vous en dirais des nouvelles dans le train.
6 heure après
Ce matin c'était horrible ! Comme la plus part du temps.
Bref. Nous sommes en route pour aller chez notre famille. Personnellement et je pense que tous le reste des soldats on le même avis, j'ai trop hâte de les revoir et je n'ai as du tout envie de retourné au combat. Mais si je n'y retourne pas, je serais mort. Mais ne tuerais plus personne... Je pense que je vais rester la bas, peut être qu'ils ne s'apercevront pas de l'absence d'une personne, ils ne vont pas faire attention à moi.
Mes paupières commençaient à se fermer une à une. Le soleil couchant dans les plaine me rappel mais plusieurs souvenir. J'étais qu'à quelques minutes de chez moi. Mon cœur commençais à accélérer, je rongeais de plus en plus mes ongles, déjà cours. Je n'étais pas du tous présentable, de la boue était resté sur mon uniforme, et sur mes bottes. Nos commandant avais gardé nos armes.
Mon estomac me faisait comprendre qu'il était temps de manger et de boire. Enfin le retour de la bonne nourriture et du vin !
Le train avait plusieurs arrêt, j'étais l'un des dernier, la plus part des autres soldats étaient déjà chez eux.
Quelques minutes après je me retrouvai à la gare, j'étais à 15 minutes de mon domicile. Alors je commençai à marchait, dans un froid glacial. Le soleil avait prit congé et avait laissé la place à la lune.
Lorsque je suis arrivé devant chez moi, mon cœur battait à cent à l'heure. J'avais hâte de revoir ma fille et ma bien-aimée.
J'étais décidais à ouvrir la porte d'entré, elle fut fermé.
Je frappais donc.Puis en un instant je me demanda ce qu'elles diraient vu que je ne leurs est pas beaucoup écrit... Je n'ai pas dis à ma femme que j'étais à la guerre.
Peu à peu la porte s'ouvrit. C'était ma fille ! Lorsque je voulu la prendre dans les bras, elle poussa un bruit d'horreurs, par la suite sa mère venu à la porte. Elle se jeta dans mes bras. Je la serra de même.
Après quelque minutes de réflexion la petite Lise, s'approcha de moi et me fis un câlin, comme si un souvenir lui été revenu. Je la pris également dans mes bras :Rose nous a dit de rentrer car il faisait assez froid dehors, et elle a continué par dire qu'elles avaient déjà mangé mais qu'elle aller me faire les restes du soir.
Lise monta dans sa chambre car il était tard, et elle était fatigués.
Après avoir repris des forces, de longues explications et de larmes coulés, nous sommes allés au lit.
Cette journée fut très longue.
J'ai hâte d'être demain pour prendre tout mon temps dans la journée.
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La vie d'un poilu [TERMINÉ]
Short StoryAprès avoir lu un journal qui est un témoignage des conditions de vie durant la première guerre mondiale, Cloé, une jeune fille va mener des enquêtes sur l'auteur du livre. Que va elle découvrir ?