Regret

Chapitre 7

Homme blond aux yeux bleus:
" Te voici, agenouillé à terre. Le corps recouvert de terre. La peau saillante sur tes os te va à ravir. On aurait dit un vagabond qui navigue dans les ordures. "

Les cinq personnes ricanèrent, pour ma part je ne trouvais rien de drôle dans ses paroles. J'avais honte de moi à ce moment là.

Homme blond aux yeux bleus:
" Nous devrons te garder. Tu ne dois t'échapper. Tu nous servira durant ce temps-là. "

Harrison :
" Je ne peux...!"

L'homme tapa sur le meuble

Homme blond aux yeux bleus :
" Je ne t'ais pas donné la parole ! "

Il se frotta le front. Et de sa main me désigna.

" Tu le peux "

Harrison :
" v-Vous n'avez aucun droit de me traiter de la sorte... j-Je ne peux pas vivre de la sorte. "

Homme blond aux yeux bleus :
" Tu n'es pas en position pour me contredire. Fais attention à qui tu t'adresses. Tu feras ce qu'on te dira. Ça a été décidé. Tous le monde le sait. "

Quiquonque entendrait sa voix monotone, se plierait devant le ton inflexible.

Il leva la main.

Harrison :
" v-Vous n'allez rien gagner à me traiter comme un esclave. Je vous serais inutile. Je ne sais pas faire grand chose. De plus, dans l'état où je suis actuellement, je ne ferais que vous gêner. "

Homme blond aux yeux bleus :
" Et c'est pour cela qu'à compter de ce jour, tu te leveras le matin dans la niche que l'ont t'a préparé. Tu useras de la force dont tu as repris pour nous servir. "

Harrison :
" ...je ne peux pas "

Homme blond aux yeux bleus :
" De quoi parles-tu ? "

Harrison :
" Me consentir à votre dictature "

Femme rousse aux yeux gris :
" C'est de la reconnaissance que tu devrais ressentir. Nous ne t'avons pas tué. Ce sera des dettes que tu paieras en nature ."

Harrison :
" J'ai une vie. J'ai de la famille, des amis qui m'attendent. Je ne deviendrais pas votre chien. J'ai attendu des journées coincé dans ce trou de merd-"

Homme blond aux yeux bleus :
" Ne sois pas insolent ! Nous t'avons recueillis ! Tu n'es pas en droit de nous manquer de respect ! "

Femme rousse aux yeux gris :
" Tu seras attaché, lié, enchaîné par nos soins. Tu te soumettras à nos besoins. Mets- toi bien ça dans le crâne ! "

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La nuit était fraîche,
La niche inconfortable.
Je devais porter des menottes,
On me les avait installé,
En empoignant mes poignets.
La clochette à ma cheville, sonnait,
Sûrement pour me surveiller.
Après m'avoir placé dans cette penderies.
L'un des hommes, Rochak.
M'a demandé de lui faire une gâterie...
Il a vu couler de mes manteaux de neiges,
Des larmes que mes yeux ne pouvait retenir,
Sur moi, il se déchaîne.
La douleur de ma gorge desséchée,
S'est amplifiée.
Et me voici,
Désemparé, à la recherche d'une source de sécurité.

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Homme blond aux yeux bleus :
" Crosby, tu devras avec Francesco fabriquer des bombes. On les posera à l'intérieur des toilettes. "

La voix de l'Homme était plus froide de quelques degrés que son air ne pouvait le suggérer.

Crosby, le brun aux bleus :
" Me donne pas d'ordre Dylan, je ne suis pas ton chien. Je sais "