Chapitre 7 : J'insiste à mes propres funérail

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Je ne suis pas allée au bar, je n'en avais pas envie, je sais qu'on ne pouvais pas rater ces réunions mais je n'avais pas la tête à penser à tout ça, je voulais juste essayer de réfléchir, trouver des solutions pour essayer d'aller voir mes amis, ma famille, pour leur parler et établir un contacte, je ne veux pas les perdre, rester loin d'eux, ne pas les connaître, je ne peut pas le supporter ça, je sais qu'un jour il le faudra, je ne vieillirais pas ce qui risque de poser problème, mais je ne m'en soucis pas pour l'instant. 

Nous somme fin juin, cela fait deux semaine que je suis morte (enfin logiquement), Max me laisse à délais d'un mois avant de commencer mon travail de gardian, il pense que d'ici là je m'en serais remis, que j'aurais oublié, mais non ce n'est pas possible surtout après ce que j'ai ressenti hier au lycée. 

Je passe dans ma rue aujourd'hui, enfaîte j'y passe tous les jours. Mon frère n'est pas souvent à la maison et il rentre très tard, je ne sais pas où il va mais il est rentré le point en sang l'autre soir et je compte bien savoir pourquoi. Mais il y a autres chose qui me préocupe en ce moment. Il y a beaucoup de monde à la maison, des oncles, tantes, mes grands parents et même. Fly et sa famille avec qui je m'entandais très bien, ils étaient comme une deuxième famille, le seul que je ne voyait pas était Jo, ce qui ne m'étonne pas. 

Des picotements me prirent je pus donc me mettre devant la fenétre du salon. Tous le monde étaient habillé en noir. Ma mère assise sur le canapé, tenais une photo de famille dans les mains, beaucoup sont venu leur parler mais pas une seul fois elle n'a levé la tête. Fly était la, ainsi qu'Hicham. Hicham c'est mon plus vielle ami d'enfance, toujours la a aider les autres c'est comme ça que je les connus d'ailleur. Un jour à l'écolé primaire des enfants s'amusaient a jeter mes affaires dans l'eau, à se moquer de moi et le seul qui est venu m'aider c'étais lui, le petit garçon assez timide qu'on ne voyait presque jamais avec les autres, voilà comment je les connu, nous somme devenu inséparable et il n'a pas fini de me protéger, une fois il s'est même battu pour moi. Comme toujours il tentais de réconforter Fly, sûrement en lui disant une histoire drôle, Hicham avait le don de remonter le moral à tout le monde, mais aujourd'hui il ne le réussi même pas sur lui même. Au fond de la pièce il y avait un homme et une femme en costume sombre qui parlait à mon père, je ne sais pas du tout qui ils sont, je ne les ai jamais vu. J'essais avec difficulté de lire sur leur lèvres,  quand j'attendis la porte d'entré claqué. Jo était arrivé, en voyant le monde il ressortie de la maison suivi par mon oncle James.

-Jérémy ! Jérémy reviens, James le pris par le bras, dis moi qu'est ce qui ne vas pas chez toi hein ? Tes parents on besoins de toi, toutes ta famille et tes amis ce sont réunnis ici pour te soutenir. Je sais que c'est dure Jo mais ne fais pas ça, ne part pas une fois de plus. 

Jo ne répondit pas.

-PARLE MOI !

-Laisse moi tranquille!, Jo ne le regardait pas mais je savais qu'il avait les larmes aux yeux ce qui ne lui ressemble pas.

 -Jo sil te plais, parle moi tu en a besoin pourquoi tu es ressortis de la maison, tu savais qu'aujourd'hui allait être une journée difficile pourtant.

-Des funérails ? Il n'ont même pas retrouvé son...corps. Et si elle n'étais pas morte, peut être qu'elle est toujours là, échoué quelque part.

-Tu sais bien que j'aimerais penser comme ça, mais tu sas bien que ce n'est pas vrai, c'est impossible.

-Non je refuse dis croire ! Alyzée n'est pas morte ! Elle ne peut pas !

Jérémy craqua, mon oncle le pris dans les bras et lui dit quelque chose dans l'oreille. Il lui fis signe de rentrer mais mon frère partis, je ne l'avais jamais vu comme ça avant ma mort, jamais il n'aurait pleuré devant quelqu'un et encore moins devant la famille, je ne savais pas que je comptait attents pour lui, même si on était toujours la pour le moindre soucis on se disputait souvent, mais j'adorais mon petit frère, je détestais le voir comme ça. J'ai voulu le suivre, mais ça bougeait à la maison. Les personnes avec qui parlait mon père demandèrent à tous de sortir sûrement pour aller à l'endrois que je ne veux pas croire. Ma mère était encore sur le canapé à regarder la photo, mon père s'accroupis à côté d'elle, mais elle ne le regarda toujours pas. Après un signe de la main, que fessais ma mère quand elle nous disait qu'elle arrivait dans quelques instant, mon père monta dans la voiture et l'attenda. Elle essuya ses yeux, et pour la première fois elle leva la tête dans ma direction, elle s'avança et fini par arrivé à la fenêtre, je me leva, nous étions yeux dans les yeux, je mis ma main sur la vitre et ma mère fit de même. Comment pouvait-elle, j'étais pourtant invisible à ce moment la. A la télé on voyait des gens dirent qu'ils s'entaient des présences, avec mon frère on se moquaient souvent d'eux, mais aujourd'hui je crois en ça, car c'est la deuxième fois que ça m'arrive. Quelques minutes après elle sortie et entra dans la voiture en suivant la camionnette noir. Je n'arrivais pas a bouger, le regard de ma mère, ses yeux tellement triste sans aucun espoir, comme si ça vie n'avais plus aucun sens. Depuis deux semaine ce fut la première fois que j'était à quelque centimètre d'elle

Les gardiens {en pause}Où les histoires vivent. Découvrez maintenant