Chapitre 8 : L'oeuvre d'une histoire

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Dell n'est pas encore rentré à la maison, je n'avais jamais remarqué combien celle-ci était immense. Un étage aurait suffis pour faire vivre une grande famille, mais la maison en comptais deux, ainsi qu'un grenier et un sous sol. Je ne sais pas comment Dell fessait pour vivre ici tout seul, en plus de ça, j'ai remarqué qu'il n'y avait aucune photo. Comment se fait-il qu'il n'y ai pas un seul souvenir? Je dis ça mais, je le comprends, pourquoi s'embeter à se rappeller, alors que l'on devra un jour tout oublier, et laisser le passer derier nous ? Personne n'aurais envis de ça et encore moi une fille qui est morte il n'y a même pas un mois. 

La chambre que Dell m'a donné est bien plus grandre que celle que j'avais dans ma veritable maison, si j'avais été vivante j'aurais sauté dans tous les sens, pour la décoré, je n'aurais plus jamais voulus en sortir. Mais aujourd'hui c'est diffèrent. Dell m'a dit de décorer ma chambre comme j'en avais envie, qu'on pourait même acheter d'autre meuble, mais je n'en ai pas envie. La seule chose que j'ai ce trouve sous mon oreillé, plusieurs photos de mon ancienne vie, une avec ma famille en vacance, une autre avec Fly et une avec Jo et moi à la reserve maritime, chez mon oncle. C'est la seul chose que je compte garder. Je m'allonge sur le fauteil de la fenêtre, je regarde les vagues, il y en a beaucoup aujourd'hui, parfait pour aller surfer. Je deteste rester là, à l'interieur, sans rien faire, j'ai toujours eu bessoin de sortir à l'exterieur, c'est nottamnet pour ça que j'ai commencé à surfer.  

Je suis sortie de la maison et est décendu vers la plage. La maison a un accès direct à une superbe petite crique de sable fin, entouré par des rochers qui forme quelques grottes. Je m'installe sur l'un d'entre eux et regarda alors les vagues. Le bruit des vagues, l'odeur de la mer, le vent, j'adorais tout ça mais aujourd'hui ça me donna les larmes aux yeux, je ne sais pas exactement pourquoi. Je repensais à cette journée, à tous ses gens pleurant, parlant de moi,  à Jo, à l'accidents. Je n'ai pas vu le temps passer, mais le soleil commençait à se coucher quand quelqu'un vient sasoir à coter de moi.

-C'est beau pas vrai ?

Je ne le regarda pas mais je savais qu'il s'agissait de Dell.

-Comment ça va toi ? Tu tiens le coup ?

Je ne lui répondit pas, je savais qu'au moindre mot que je dirais, je me metterais à pleurer. Dell soupira

-Max m'a dit qu'il te laissait du temps avant de commencer ton travail ... Alyzée ? Qu'est ce que tu fais de toutes tes journées hein ? Tu ne reste tout de même pas la sans rien faire?

Je commençais à sentir les larmes me monter de plus en plus, je ne veux pas pleurer devant lui.

-Alyzée, je sais que c'est dure, tu sais on pourrais faire des choses ensemble, je sais pas tu veux aller au parc zoologique ? Je sais que tu aimes y aller ... ou bien juste aller prendre une glace ... Ecoute Alyzée, je ne pense pas que se soit une bonne idée de te laisser toutes seule durant la journée, je n'ai pas envi que tu t'isole et que tu finiisses par nous faire une dépression. C'est dure pour tout le monde au début, je le sais mais ne reste pas ici toute seule ok ?

-Je ne reste pas ici, je tourne la tête vers Dell les yeux plein de larmes. Tu veux que je te dise...que je te dises ce que je fais tous les jours, tu veux que je t'explique ce que j'ai vécu aujourd'hui ?! 

Je me mis à pleurer.

-Aly...

-J'ai vu mes amis me regarder sans savoir que c'était moi, j'ai vu ma meilleurs amie en pleur, j'ai vu le regard de ma mère, j'ai vu mon frere complètement seul ne pouvant parler à personnes ... j'ai vu mon cercuilles.

Dell essaya de poser sa main sur mon épaule mais je partis courant. La chose qui me fessait le plus mal aujourd'hui étais de savoir mon frère seul. Jérémy ne parle jamais, il desteste que les gens prennent soit de lui. Je suis la seul à pouvoir le prendre dans mes bras, même mes parents ne peuvent pas, Jo est très sensible et je sais que si il reste longtemps comme je les vu aujourd'hui, il va faire une bétise.

Je suis dans ma rue, toutes les lumières de la maison sont éteintes sauf celle de la chambre à Jérémy, je me demande bien ce qu'il fait. Je commence à m'avancer, quand la lumière s'éteinds et je vois une ombre passer par la fenetre et monter dans l'arbre. Avec mon frère, on avait l'habitude de sortir de la maison par la quand les parents ne voulais pas nous laisser aller voir nos amis, cette arbres était pour moi et Jéremy quelque chose très important, on y avait même contruit une cabane. Je suivis Jérémy discrétement, car aller savoir pourquoi aucun picottements. Jo allas dans un coins du quartier, peu fréquenté, il rentra dans un lieu, où l'on mettait les vielles voitures ou de vieux objets. Je me cacha dérière une vielle armoire. Jéremy s'arrêta devant un vieux bus, il ouvrit son sac et en sortie des bombes de peintutes, il commença à taguer. Je ne savais pas qu'il fessait ça, mais ça devait faire longtemps car ce qu'il fut était magnifique. Il avait presque fini quand deux gars arrive pour l'empécher de terminer.

-Et toi ! Qu'est ce que tu viens faire chez nous ! Tiens tiens, mais c'est le petit bébé, tu n'ens à pas eu assez la dernière fois ?!

Jo les regardais avec des yeux noirs, je me souviens l'avoir vu revenir à la maison complétement ammocher et les poings en sang l'autre jours.

-Ce n'est pas chez vous, j'ai le droit d'être ici attends que vous. Je viens tagguer ça et je m'envais.

-Oh il vient faire une peinture pour sa maman, que c'est mignion. Haha. Oh non c'est vrais ce n'est pas pour ta maman, mais pour ta soeur morte ! Haha ! Oh le petit bébé va pleurer, ta vu ca Alex, regarde, qu'il est chou, on devrait faire quelque chose pour lui. 

-Ouai ta raison, ta soeur c'était la surfeuse, elle était plutôt mignionne dommage qu'elle soit morte.

-Laisse ma soeur tranquille, jo s'avança devant lui les poings sérré

-Oh j'ai peur son fantome va venir nous hanté. Aller frappe moi, vas y fais toi plaisir.

Le gars le poussa contre le bus. Jérémy ne se laissa pas faire et le frappa. Alex le pris par derrière le frappa au ventre et l'evoya s'écrasser par terre.

-Aller viens, on va pas perdre notre temps avec se minable.

-Je te préviens si je te revois dans les parages, je te donnerais la chance d'aller rejoindre ta soeur.

-Vas y je t'en pris, tu me rendra un grand service.

-Non ptit, tu en vaux pas le coup, attends te laisser souffir.

Les gars partirents, Jo se leva avec difficulté, puis se mis à frapper de toutes ses forces contre les voitures. Il avait les mains en sang mais il ne s'arrêtais pas, je ne pouvais pas le laisser faire. Je me suis avancer vers lui.

-Hey ! Spot arrête, Je les tourner vers moi.

-Qu'est ce que tu me veux toi ! Laisse moi ! Et pourquoi t'es la d'ailleur ?

-J'ai attendu du bruit alors je suis venu voir, je pris ses mains, tu saignes viens je vais te faire un bandage.

-J'ai pas besoin de ton aide! Vas t'en !

-Non ! 

-Je t'ai dis de me laisser !!!

Jéremy me poussa et s'en alla. Je ne le suivis pas, il a tellement changer, son regard, son attitudes, je ne le reconnais plus. Je me retourna et vu de plus près son oeuvre. A gauche il y avait des vagues se brissant sur des rochers, une planche de surf cassé en deux, en continuant je vis un visage triste, puis une surfeuse dans un tube. Son tag était un faite une cronologie. Il restait une bombe de peinture, je la pris et rajouta une petite touche sur son tag; Sur la planche de la surfeuse je rejouta un petit détail qui se trouvait sur ma planche fétiche. Peut être que sa rendrais de l'époir à mon frere.

Je suis aller à la maison voir si mon frere était rentré, je vis une lumière dans la cabane, je m'assis dans l'herbe toute la nuit pou veiller sur lui.

Les gardiens {en pause}Où les histoires vivent. Découvrez maintenant