Attendre, foncer, foncer, attendre, attendre, foncer.
Alors, que faire ? J'ai peur, tellement peur,
Taché par une marque noir en plein milieu du cœur,
Tout est relatif.
Et, suis- je amoureuse ?
Naïve, j'ai voulu t'aimer, et sentir ta main prendre la mienne.
Dès le début, mon cœur n'a cessé de battre pour ton regard profond, pour tes cheveux des plus doux, pour ton visage d'ange, pour ton sourire, et ton rire qui me font craquer.
Raide comme un bâton, j'ose à peine te toucher de mes doigts.
Echec des plus totals, je tente de garder la tête haute.
Fait fait fait,
On attend trop souvent.
Navigant dans mon cœur et dans mes pensées,
Cœur de pierre à jamais oublié, je fond à chaque regard que tu m'accordes.
Ebranlée par tes gestes douteux envers moi,
Rien ne m'empêche à présent de t'aimer.
Douceur. Et Andersone.
