Amour cruel...

Un outil à son idéal ?

Pdv William:

Le réveil a été compliqué ce matin, je sent déjà une migraine... Tout cela à cause d'une certaine personne. Je me suis donc doucher, changer... Et quand je descend il n'y a que Albert qui est levé.

William:"Bonjour grand frère"

Albert:"Bonjour William, bien dormi?"

À cette question je fit la grimace et cela le fit sourire. 

Albert:"Qu'est-ce qui ne va pas? Aurait tu eu de la visite?"

William:"Je ne veut même pas en parler. Je vais juste te dire qu'il a dit être amoureux de moi."

Albert:"Il faut en profiter!"

William:"Pardon? C'est le travail d'Irène, pas le mien."

Albert:"Petit frère, n'est-ce pas toi qui est prêt à tout pour ton idéal? En manipulant ses sentiments, tu auras du pouvoir sur lui."

William:"...."

Albert:"Ton corp doit aussi devenir un outil à ton idéal."

William:"Tu a raison grand frère... Je devrais en profiter."

Albert:"Je savais que tu serait raisonnable."

Je suis aller boire mon thé dans la bibliothèque en lisant des livres sur la médecine, puis je me suis mis a admiré le ciel qui s'est dégagé et a laissé place à un magnifique soleil. Les rayons du soleil caressant ma peau sont agréables et  finalement j'ai abandonné ma lecture et j'ai fermé les yeux pour mieux en profiter. Je sentis doucement un souffle chaud s'échouer sur ma nuque, je sentis aussi une légère odeur de café en émaner.

William:"Bonjour Mr.Holmes."

Sherlock:"Yo! Bien fait dodo?"

William:"Non, à cause d'une certaine personne."

Sherlock:"Fallait dormir avec moi! Je t'aurais fait un gros câlin pour te réchauffer."

William:"Vous ne m'auriez vraiment fait qu'un gros câlin?"

Sherlock:"Je suis un homme... Donc, non je ne pense pas. Quand je suis avec toi, je ressens le besoin de satisfaire certaines pulsions."

William:"Mais vous devez savoir que pour me plaire, il faut être plus subtil et moin direct. Je suis un homme moi aussi ne l'oubliez pas, je ressens donc aussi le besoin d'avoir du contrôle sous les autres, et pas de subir vos pulsions."

Pdv extérieur:

Sherlock n'eut pas le temp de répondre que William l'embrassa en l'allongeant sur le bureau de la bibliothèque. Le détective apprécia cette initiative et profita de ce baiser langoureux, il pu aussi savourer la sensation du corp du professeur sur le sien. Ensuite, William embrassa le cou du détective avec avidité, tout en passant sa main sous sa chemise pour tracer les lignes de ses abdo. 

Vous vous doutez bien que ce moment fut un pur délice pour Sherlock, pourtant William y mit fin brutalement et sans dire un mot quitta la pièce. Juste avant de sortir il lui adressa un sourire malicieux comme pour le narguer. Sherlock resta là, sur la table en jurant de le lui faire payer, il va devoir régler son petit problème tout seul au toilette à cause de ce professeur.