Combien font 1+1?

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221B Baker street:

Pdv Sherlock:

          William me manque... J'ai laissé tombé mes recherches sur Irène pour aujourd'hui, je ne suis pas en état. J'ai tellement envie de lui conter l'étendue de mes sentiments, lui dire à quel point je brûle d'amour pour lui. J'ai envie de le faire frissonner, de le voir gémir et surtout de le voir se tordre de plaisir sous mes caresses. Il m'a jouer un sale coup dans la bibliothèque, il sait pas que c'est un supplice d'être frustré sexuellement par la personne que l'on convoite? La prochaine fois, il ne m'échapperas pas! Je me demande ce qu'il fait en ce moment...

À Durham, chez les Moriarty:

Pdv extérieur:

               Pendant que Sherlock se languit de son Amant, ce dernier se trouve dans sa Chambre qui ne cesse de monter en chaleur. Moran embrasse le cou de William avec avidité sans lui laisser de répit. Le message était passé dans son esprit: William le voulais sauvage. Il ne se fit donc pas prier, il arracha presque la serviette qui le couvrait, et parcourait son torse tout en y déposant des baisers papillon. Leurs peau entraits en contact, leurs lèvres s'unissaient, ils découvrent le corp de l'autre. L'un possède un corp musclé, caré, une peau mat, parsemée de nombreuses cicatrices et plutôt rugueux, tandis que l'autre possède un corp fin, frêle, doux, une peau blanche et dénué d'imperfections. Ils appréciaient tout deux ce moment de chaleur, ils en avaient besoin pour se réconforter, ils avaient besoins de quelqu'un qui s'occupe de l'autre. 

           William commença à caresser doucement le membre excité de son partenaire, puis voyant qu'il y prenait plaisir, il accéléra ses vas-et-viens. Le colonel n'en pouvais plus de toute cette tension, jouit dans la douce main de son amant. Moran, essoufflé pris un temp pour respirer à plein poumons, mais la vision de son amant en train de se lécher couverte de sperme, acheva de l'excités à nouveau. Il positionna le professeur sur le dos pendant que Moran, avait sa tête entre ses jambes, ainsi, il commença à léché son entrée et y glissa sa langue par moment. Cela surpris William qui rougissait à vue d'œil, il ne put retenir ses gémissements lorsqu'il sentit une langue s'immiscer en lui. Moran se stoppa net, et s'allongea presque sur William, mais pas de tout son poids en s'appuyant sur ses coudes. Puis, il pressa son membre contre l'entrée du professeur, mais ne fit rien de plus, pour taquiner son amant. 

William:"Dépêche-toi, je n'en peux plus d'attendre...." 

Moran:"À tes ordres."

Et il s'enfonça d'un coup sec dans le corp de son amant, qui poussa un cris étouffer par sa main à cause de la douleur. Mais Moran ne ralentit pas pour autant, il continua ses violents coups de butoir, encourager par les gémissements du professeur.

Moran:"Alors prof, combien font 1+1?"

Le professeur en question n'eu pas la force de répondre dans l'immédiat, déboussolé et désorienté.

William:"Hah... De-deux... "

Moran:"Mauvaise réponse, puisque nos corps ne font qu'un..."

Leurs corps continuèrent de s'unir pendant un long moment, car aucun des deux ne voulait se détacher de l'autre et arrêter ce doux moment...

Quelques heures plus tard....

William:"Non, c'est tout, laisse-moi dormir je suis fatiguer. En plus j'ai déjà mal partout, je ne veux pas empirer mon état."

Moran:"Bon... Ok, on verra demain matin."


Amour cruel...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant