Phase 2

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?????

Pdv Guisburn:

       Tout se passe à merveille! Ce soir j'embarque dans mon navire, puis je vendrais mes esclaves dans toute l'Europe. Cette tournée promet d'être fortement enrichissante. Mais avant de partir, j'ai un client spécial qui veut m'acheter des esclaves, un noble apparemment, un élu comme moi. Je me dirige donc vers mon bureau où se trouve déjà mes clients, deux hommes sont assis en face de moi tandis que deux autres encapuchonnés et tout de noir vêtus se trouvent derrière leurs sièges. 

Comte Guisburn:"Bonsoir messieurs, puis-je savoir à qui ai-je l'honneur?"

Albert:"Bonsoir comte, je suis le comte Alber James Moriarty et voici à mes côtés mon jeune frère Louis James Moriarty et derrière nous deux hommes de mains." 

Comte:"Mmh... Je vois, ravi de vous rencontrer comte Moriarty! J'ai beaucoup entendu parler de vous et de votre autre frère, William c'est bien cela?"

Albert:"Oui tout à fait, il aurait aimé m'accompagner mais il doit préparer son prochain cours."

Comte Guisburn:"Je vois... C'est bien dommage, j'aurais aimé le rencontrer. Bref! Nous sommes là pour les affaires n'est-ce pas? Quel genre d'esclave vous faut-il? Pour les tâches quotidienne? Pour des choses votre plaisir? Ou bien pour le plaisir de torturer? J'en ai de toute sorte, des hommes, des femme, des plus jeunes...etc. Alors?"

Albert:"Eh bien, ce serait pour les tâches ménagères, nous n'avons aucun domestique et ce serait encore mieux de ne pas avoir à les payer."

Comte Guisburn:"Oui je comprend, combien en voulez-vous?"

Albert:"Deux suffiront amplement."

Comte Guisburn:"Vous êtes sûr? Ce sera tout? Car j'ai vraiment de magnifique esclaves pour s'occuper de certaines frustrations bien courantes chez les hommes, et puis, vous êtes jeune vous pouvez en profiter, de plus-!"

pdv extérieur 

     À cet instant, des cris se firent entendre partout dans le bâtiment. On entendait des gens qui couraient de partout, le compte se figea, se demandant ce qu'il se passait dans son établissement. Il entrouvrit donc la porte pour y comprendre la raison de tout se raffut, et là ce fut un grand choc pour lui. Les esclaves couraient de partout, les gardiens les poursuivaient, mais surtout: les "esclaves" étaient armées. 

Comte Guisburn (paniquer):"C'est un cauchemar! Que se passe-t-il?!"

Albert:"Eh bien, que vou arrive t-il?"

Comte Guisburn:"Je vous en prie aidez-moi ! Mes esclaves tentent de s'échapper!"

Albert:"Vous connaissez mon frère William, n'est-ce pas?"

Comte Guisburn:"Oui, mais ce n'est pas le moment d'en parler!"

Albert:"Mais si justement, si vous le connaissiez vraiment, vous sauriez aussi qu'il est consultant privé du crime..."

Le comte ne compris pas tout de suite le sens des paroles d'Albert, mais lorsque l'un des hommes de main enleva sa capuche, qui laissa place à un visage fin, entouré de fines mèches blondes et dons les yeux étaient aussi rouge que le sang, le comte commença à trembler de stupeurs, comprenant à présent les paroles d'Albert. William s'avança doucement vers lui, et fit un signe de main vers l'autre hommes encapuchonné, qui à ce signal, sortit une armes à feu de sa poche et la dirigea vers le comte. 

William:"Il est maintenant l'heure pour vous de recevoir votre châtiment."


Amour cruel...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant