Chapitre 2.

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Je suis arrivée en terre brésilienne, c'est splendide. Je sors de l'avion et voit des drapeaux du Brésil partout, sur les fenêtres, les métros, les panneaux. C'est donc vrai, le football est une religion au Brésil! Je navigue, les yeux qui brillent quand un jeune homme, 25ans s'approche de moi.

- Bom dia! Mademoiselle Julien?

- Euh oui, vous êtes?

- Brésilien bien sûr et accessoirement chauffeur de taxi! C'est la seleçao qui m'envoie! Acceptez vous de monter Bella?

- Bien sûr!

Le trajet passe rapidement Julian, il m'a dit son prénom une fois rentré dans son taxi, est très bavard! Neymar par si, Neymar par là, j'aimerais bien savoir qui est ce jeune homme mais à peine le temps de réfléchir je me trouve devant un immense camp d'entraînement, deux hommes m'attendent devant ce "temple".

- Mr Courtois, ami du sélectionneur français! Et voici Luiz Felipe Scolari, entraîneur de l'équipe!

- Enchanté!

- Nous allons vous montrer votre chambre, suivez-nous!

Je les suis ils me guident, c'est vraiment immense! Je croise quelques femmes de ménages, secrétaires, cuisiners.. Nous arrivons au 4eme étage quand une grenouille, oui une grenouille, enfin un homme-grenouille nous bouscule!

- Marcelo, Hulk, Bernard vous êtes où les copains, dis une voix niaise.

Mr Scolari attrape la "chose" enlève le masque et hurle!

- Oups je me suis trompé , dis la "chose" ou plutôt la magnifique "chose".

- Tu te ballade souvent comme ça Neymar, ou c'est occasionnel?

- P..p..pardon Monsieur, c'est juste un pari.

- Soite, je te présente Neymar, jeune immature, et joueur.

- Ravi de te rencontrer, souriais-je.

- De même, ma belle.

Il ne manque pas d'air! Sur ce nous le laissons seul, avec son déguisement. Direction ma chambre, j'ouvre ce n'est pas une chambre, c'est un appartement de luxe. Les deux dirigeants me laisse seul, et me donne rendez-vous pour le dinner. Je profite de ce court instant pour ranger mes affaires et profiter de l'instant présent. Le décalage horaire me fatigue, je décide donc de mettre le réveil à 17h30, ce qui me laisse quatres heures de repos, suffisant. Sans même me rendre compte, je tombe endormie, rêvant du bel homme-grenouille...

Tu m'avais promis. (Neymar fiction)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant