Un jour, je marchais, les écouteurs dans les oreilles. je marchais, tête baissée vers un avenir incertain. J'avais froid, je me sentais seul et incompris. Ce jour là, mon jean frottait contre mes cicatrices encore ouvertes de la veille. Un chef d'oeuvre pour moi. Une connerie pour les autres. Un mal satisfaisant. Je me suis assis sur un muret de pierres et là, j'ai regardé le ciel. Un pincement au cœur, je me suis dit: "c'est là que je veux être". J'avais trouvé ma place.
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Quand le cœur s'exprime
PoésieQuelques textes qui sortent de ma tête et de mon coeur quand je ressens le besoin d'écrire.