Contagieuse

il était une fois...

C'était la soirée d'anniversaire de Fred, avec Meg on avait commencé à boire , mais doucement car elle devait me ramener après.
Meg venait d'avoir son permis, elle en était fière et moi j'étais fière d'elle .

On c'était rencontré en 6 ème, une histoire comme une autre entre deux filles qui se prenaient pour les meilleurs amies du monde et qui pensaient au jour le jour, essentiellement à propos de garçons, de ragots et de fêtes.

Donc je disais, c'était une soirée comme beaucoup d'autres avant elle .on avaient rie ,chanté, dansé  et vers 3 heures on avaient finie par se décider à rentrer ,puisque je devais être chez moi  avant 4 heures donc de toute façon, on ne serait pas rester bien plus longtemps.

Sur la route tout était calme ,les lampadaires clignotaient , les écriteaux sur les enseignes des magasins éclairaient la rue . l'atmosphère était paisible et mes paupières lourdes elles ne demandées qu'à se fermer .   
On arriva à la sortie de la ville .  je vivais un peu plus loin dans une ruelle à peine éclairée à la périphérie ,une de ces ruelles dont on ne mentionne jamais le nom pour deux raisons, d'abord personne ne connaît alors, l'évoquer serait une perte de temps puis ensuite, puisqu'il ne s'y passe jamais rien , il n'y a pas de raison pour que l'on est besoin d'en parler.

 
Il faisait sombre , noir . puis des taches rouges apparurent entre mes paupières presque closent , de plus en plus grosse . inquiété j'ouvris les yeux, ce n'était pas des taches mais des flammes .

on commença à percevoir le bruit de la sirène des pompiers , celle de la police et d'autres que je ne pu identifiée , on continua de s'approcher. le feu venait de ma rue. les véhicules de secours barraient la route , on du s'arrêter ,j'eu soudain peur , je reconnaissait que trop bien ces lieux .

C'était ma maison . je sortie de la voiture en gardant mon regard figé sur l'incendie qui ravagé ma maison ,je me mis à courir vers elle , il fallait que je les voient . 

Un agent m'interpella mais je l'ignorait et accélérerait  . je franchie les barrières une à une .  j'appelait leur nom , je hurlai . On les avaient peut-être emmenés à l'hôpital ? oui c'était certainement ça mais au fond  ce n'était pas à ça que je pensait ,le pire m'était venu à l'esprit

J'avais terriblement  peur . devant moi deux agents étaient à genoux sur le sol et refermés un long sac noire .mes yeux se brouillèrent . ce n'était pas possible , il devait il y avoir une explication .

CE N'ÉTAIT PAS POSSIBLE ...
Les larmes coulait violemment le long de mon visage. J'avait le tournis,Une douleur saisie soudainement ma poitrine l'oppressant comme pour m'empêcher de respirer .

Après ça j'ai perdu connaissance.