Contagieuse

1: posons les bases

" D comme douleur chaque chose ayant de l'importance provoque d'une certaine manière de la douleur .

C'est toujours comme ça, rare sont les exeptions à la règle.

Tu m'excusera si je n'arrive pas à te dire tout ça en face mais comme tu le sais je pence, la communication orale n'est pas mon fort et ma confiance en moi à ses limites .
En faite quand on y réfléchit,je suis comme un virus, je m'attaque aux gens sans forcément le vouloir mais je les attaque quand même.
Et le truc avec les virus c'est que certain y résistent et sans sorte sans dommage, c'est même comme ça dans la majorité des cas ; mais certaines fois ça se passe différemment.

Certaines fois les personnes avec lesquelles je rentre en contacte n'étaient pas préparées, elles ne savent pas comment réagir .
Et si elles ne se protègent pas alors j'entre , je me fais une place dans un petit coin de leur être où je me niche avant de me multiplier pour qu'au finale j'occupe toutes leurs pensées.

Et j'ai beau te raconter ça comme une métaphore ce n'est pas si loin de la réalitée.

Je suis un monstre ,une maladie,un virus auquel il faux vite trouver un antidote,un remède, un vaccin;
Avant qu'il ne soit trop tard.

H. "

Je doit sortir de l'hôpital. Je range mon carnet dans mon sac et réunis le reste de mes affaires.
Ma psy m'attend à la porte . Elle sourie, c'est un faut sourire elle veut juste que je parte au plus vite pour ne plus m'avoir sur le dos.

On marcha jusqu'à la gare deux pas plus loin. Là je devais prendre un train vers un nouveau départ. ..".tu parle..comme si je pouvais tourner le dos au passer." me dis-je .

Je suis monté dans le train et je l'ai vu s'éloigner au téléphone. Bon débarras. J'étais en colère. En colère car je ne savait pas où j'allais ,seulement qu'il s'agissait de la seule famille qu'il me rester et que l'on m'avait expédier la-bas sans demander mon avis .

En colère aussi  car je devais quitter mes amis,mes habitudes mais surtout...que je devais les quittés eux.
Après tous c'était le but de tout ça. Ils voulaient que j'oublie mais c'était impossible.