MasuGaku [En Pause]

8/Quand le sort s'acharne

Je n'y croyais pas.....comment aurais-je pu tuer quelqu'un ? Je ne savais pas me défendre alors tuer quelqu'un.

Je restai interdit les yeux fixes tandis que le policier attendait ma réaction.

Budo râla car je ne revenais pas ce qui me fis sortir de mes pensées.

Budo : Shin ? Pourquoi tu ne reviens pas ? Qui est-ce ?

Il se mit à mes cotés, je voyais bien qu'il avait l'air surpris de voir le policier.

Budo : Bonjour ?

Policier : Vous devez être son complice....

Budo: Complice de quoi ?

Je lui expliquai toujours sous le choc, il fut aussi surpris que moi.

Budo : Écoutez...Shin ne ferait jamais de mal à qui ce soit.

Policier : Dite ça au juge. Nous avons retrouvé ses empreintes sur le couteau.

Shin : le.....couteau...? Lequel..?

Policier : Parce que vous en avez plusieurs !?

Shin : N-non...Juste... juste à quoi ressemble t-il ?

Je reconnu le couteau du rituel ,dans l'arme qu'il me décrivait.

J'étais celui qui devais s'en occuper. C'est-à-dire l'affuter, le nettoyer après chaque rituel ect....

Budo me lança un regard inquiet, il avait compris...

Budo : Vous devez faire erreur...

Policier : non..Les empreintes on parlées. Maintenant suivez moi sans faire d'histoire.

(NDA : Alors c'est l'histoire de trois petits cochons ils-

Policer : sans faire d'histoire on a dis)

Je regardai Budo avec un air désolé, il me sourit tristement.

Nous suivîmes tout deux le policier, Budo ne voulant pas me laisser seul. L'agent de l'ordre nous fit entrer dans sa voiture puis il parti vers le tribunal.

Apparemment tout avait déjà été prévu.

(NDA : Parce que.....Facilité scénaristique)

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Elispe du trajet et du procès

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Je ne comprenais pas....Le couteau du rituel avait servi à tuer Kokona, Saki, Mei, Yui, Koaru et Yuna et mes empreintes étaient sur l'arme et.....seulement les miennes...Comment..?

J'ai été condamné à la prison à vie...on m'a jugé trop dangereux pour rester libre....

J'étais anéanti, je savais que j'étais innocent mais tous était contre moi....

Juge : Nous vous laissons...deux jours mais votre maison sera sous surveillance, l'affaire est close.

Deux jours......avant d'être séparé de Budo....

Une fois sorti de la salle , je senti deux bras s'entourer autour de mon corps tremblant à cause de l'émotion.

Budo : Je sais que tu es innocent....Et je te le promet de le prouver.

Je savais que ça allait être dur mais il semblait déterminé alors je n'ai rien dis.

Si j'avais su...je l'en aurais empêché...
Mais je ne pensais pas à ce qui allais ce passer....à vrai dire je ne savais pas qui était derrière tout ça....