⚜️Chapitre 28⚜️

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J'en ai marre de lui. Il m'énerve. Pourquoi faut que je l'aime autant?
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Je suis allongé sur mon lit et essaye de dormir. J'ai pas trop envie de poster aujourd'hui. Flemme.

Je sens un poids se poser sur mon lit. Je sais très bien qui c'est. Je me retourne et plonge ma tête dans son cou. Il me caresse les cheveux et on reste un instant comme ça.

- Leonora?

- Oui?

- Je rêve ou c'est encore un de mes pulls?

- Euh...

- ~rire~ Tu m'énerve majmun.

- Mais je t'aime qen.

- Qen? Vas te faire foutre hein.

- Toi tu m'as dis majmun!

- Oue mais qen quoi! T'as crus j'étais un chien?

- Et majmun? T'as crus j'étais une singe?

- ~soupire~ Arrêtes.

- T'es obliger de gâcher un bon moment! Juste pour un pull putin!

- Mais pourquoi tu me dis qen alors?

-Mais c'était pas méchant! Je voulais juste rire!

Je me lève et vais prendre ma veste. Je mets mes chaussures et ouvre la porte.

- T'es sérieuse? Tu vas vraiment fuire?

- Je vais fumer.

- Non! T'as promis!

- Mais j'en ai marre!

- Tu fumes, toi et moi c'est finis.

Je sens mon cœur se serré, ma gorge se nouée et mes yeux me piqués. Des larlmes veulent sortirent mais je ne les laisse pas faire. Almir vois bien ce qu'il se passe et il s'approche pour me faire un câlin mais je le repousse et sors de la chambre.

Je marche dans la rue. Je suis entrain de vraiment beaucoup pleurer. Vous vous dites sûrement: mais pourquoi? Il t'a pas encore quitté. Il a dit si tu fumes.
Bah justement. J'en ai fumer une. Je sais pas comment vous dire que je regrette. Si il l'apprend, je suis dans la merde. Je l'aime trop pour que ça se termine.

Je marche je ne sais pas où. Je suis dans une rue sombre et pas très bien entretenue. Je presse le pas pour ne pas me faire attaquer. Je sors enfin de cette rue, mais je sais pas où je suis. Je fouille mon sac à main. Merde! J'ai oublié mon téléphone dans la chambre! Putin de merde! Je fais comment maintenant?

Mes pleures s'intensifient. Je continue à marcher en espérant arriver à un endroit que je connais ou bien trouver une personne et lui demander mon chemin. Je continue à marcher sans trop savoir où j'allais. Je ne regardait même pas où je marchais.

Je marche encore et encore jusqu'à sentir une odeur spéciale. Une odeur de nature. Je relève la tête et essaye d'arrêter de pleurer. Il fait hyper sombre mais je peux distinguer des tas d'arbres. Oh non... Je suis dans une forêt. Pourquoi j'ai fais ça?

Je continue à marcher tout droit pendant longtemps. J'avais souvent l'impression de tourner en rond. Mais finalement, je vois la sortie des bois. Je sors en vitesse et je me trouve devant un arrêt de bus. Une pesonne passe près de moi et je l'interpelle.

- Excusez-moi? Pourriez-vous m'appeler un taxi?

- Euh bien sûr. J'attendrai avec vous.

N'oublie jamaisOù les histoires vivent. Découvrez maintenant