Rédemptions

12 tia

Tia

Nous avons rouler environ 45 minute. Jet nous a emmener au bord d une falaise, c'est magnifique, l'eau s'étend à perte de vue. Nous nous sommes assis sur une table en bois ronde, devant chaque places est graver Jet, dob et dic. Je passe mes doigt sur celle de mon père . Jet est silencieux depuis notre arrivées, il se tient à côté de moi perdu dans ces pensée pendant que le polonais est resté en retrait à l affu de tout.

-doberman... ça vient d'une histoire complètement dingue tu sais. On était jeune à l'époque, la vingtaine, ton père essayait de dragué la petite minette du starbuck de notre université. Elle était tenace le petite.
Elle la fait trimer pendant des mois et des mois entiers . Un jour pour l impressionné il a décidé de s'habiller classe et de lui sortir le grand jeux. Nous l'avons accompagné jusque devant chez elle ce soir la, bouquet de fleur en main il a frappé et elle a littéralement craqué. Imagine un biker tatoué fort et musclé habillé comme un pingouin
- il a été comme toi? Enfin comme vous tous?
- oui, c'est à ta naissance qu'il a abandonné son titre pour vous garder toi et ta mère loin de tout ça. Bref, ils sont sortie au restaurant, il l'a emmener au cinéma et ils on flâner au bord de cette falaise comme deux amoureux transi, puis il la ramener en parfait gentlemen chez elle. Sauf que kate n'était pas vraiment une sainte ni touche. S exclafe t'il avant de reprendre d'un ton léger.
- elle lui a sauter dessus au même moment où son père, qui était le shérif à l'époque, a ouvert la porte d entrée pour allez promené brutus son doberman.
Ton père a flippé et c'est barrée en courant. Le shérif n'a pas eu le temps de retenir son chien, il l'a suivie sur 5 km jusqu'au club. Quand nous avons vue doryan avec son costume déchiré traverser la rue en hurlant qu'il avait eu la fille, nous avons tous éclaté de rire. Ce mec était aussi barrée que le chien qui lui courait après.

Jet rigole mais une larmes coule le long de ça joue. Je suis ému et touché, je ne connaissais pas cette personnalité de mon pere, lui qui était toujours soucieux de tout.

-je suis désolé jet
-Ne le soit pas, tu a perdu ton père, j'ai perdu mon meilleurs ami, sa nous met dans le même bateau.
-Est ce que la mort de mes parents est lié avec le club?
-Il n'aurai pas dû être là ce jour là Tia, il n'aurai pas dû. Ton père était sensée être chez lui car une jeune fille venait d avoir 17 ans et il voulait être là quand elle rentrerai du lycée. Nous avons retracé les appels que ton père a eu avant l accident. Le dernier appel provenait d un dénommé John Diken.
-Quoi?
-Nous ne savions pas qui il était à l'époque, une petite frappe des banlieues qui fricotait avec les sky. Mais il y'a peu nous avons compris que ce salopard avait pris du grade et qu'il était arrivé rayé de la carte la fille d un de nos frère.
-Les flics on dit que le chauffeur avait perdu le contrôle du camion et que mes parents non pas pu l'éviter.
-Non Tia, le camion était cerné par des sky. Il l on fait dévier plusieurs fois, tout était calculer. Je suis désolé mais il s'agit d'un meurtre. J était présent avec dic et plusieurs gars ce jour là, et ce que nous avons vue nous hantera toute notre vie. Théo a été le dernier a avoir vue ton père vivant, il lui a fait promettre de veiller sur toi. Ce môme ta chercher sans relâche pendant 7 ans guamine.

Je m'effondre dans les bras de jet, John c'est servie de moi pour atteindre mon père et ces amis.
J'ai été sa vengeance, il avait tout calculé, mais je ne comprend pas pourquoi il m'a gardé en vie tout ce temps.

Théo se sent redevable envers moi car il a fait une promesse à mon paternel. Ces sentiments ne peuvent pas être possible envers moi. Je suis juste une mission de plus pour lui, c'est tout.

Avant de rentrer nous nous arrêtons dans une petite cafétéria remplir nos estomac. Les salades sont divine, j'en ai marre de manger pizza, hamburger et autres trucs gras en tout genre.
Les bikers ne connaissent pas du tout les mots manger sainement et diversifier, suite à ça je me lève pour allé me rafraîchir.

Au moment où je m'enferme dans un box des toilettes, la porte d'entrée grince et des pas lourd se fond entendre, je n'ose plus bouger, il n y avait personne dans la cafète a part nous trois. L'ombre s arrête devant ma porte, je perçois un cliquetis, au moment où je prend conscience qu'il s'agit d'une arme une balle travers la porte et me transperce l épaule droite, je crie de douleur, l impacts ma projetée contre le mur, sans réfléchir je m'effondre au sol en boule. mon corps est assez menu pour passé sous les compartiments des boxes des toilettes, je me tortilles dans tout les sens du mieux que je peu, dû sang coule énormément de la blessure, je me retiens de hurler autant que je le peu.
le tireur est entrain de vider son chargeur sur la porte derrière laquelle je me trouvait à l'instant. Une fois arrivé au dernier box, je me lève difficilement et écoute ce qu'il se passe. Je me retrouve dans un toilette condamné qui sert de rangement pour les produits de nettoyage.
Que fond jet et le polonais, je craint le pire si il ne sont pas là. J'étouffe un sanglot, l'ombre est à présent devant ma porte, j entend plusieurs cliquetis et frottement , je n'y connais rien, mais sachant qu il vient de vider son chargeur je pence que maintenant il est entrain de le recharger.

Je m arme d un balai,mon dieux qui voudrai mourir de la sorte. J'ouvre aussi délicatement que je peu le loquet ce qui s avére très difficile vue dans l état que je suis et fonce sur l homme qui a la tête baissée sur son arme, je le percute de toute mes forces, sous l'effet de surprise son corps par en arrière il ce cogne la tête dans l essui main automatique. L armoire à glace devant moi s'effondre comme une loque, inerte.

Je n en croie pas mes yeux. Quel est la probabilité pour que moi j assomme un homme d'environ 100 kilos.

Des bruits de verre briser et des coups de feu retentisse dans la cafétéria. Je prend l'arme du motard assommé et fil au fond de là pièces ou je me laisse glisser contre le mur. Je pointe le revolver en direction de la porte, ma tête tourne, je tremble, j'ai mal, j'ai froid et une marre de sang s accumule sous moi. Mais je suis déterminée, le prochain qui entre je lui tire dessus. Le silence retenti, la porte s'ouvre avec fracas, je tire et crie en même temps. Je viens de tirer juste à côté de la tête de theo. Le grand brun se baisse d'incompréhension et me regarde une fraction de secondes choquée puis paniqué il court vers moi et appuie sur la blessure.

-Tia, merde.
-Je l'ai eu ta vue
-J'ai vue sweetheart, allez vient.

Théo me porte et enjambe le corps du sky. Il donne l'ordre à stitch de ce chargé de lui, j entend stitch siffler d approbation. J aperçoit le polonais et jet vivant mais aucun sky en vie. C'est le carnage ici, là baie vitrée est cassé, aucune table est à sa place, la serveuse qui nous a servie gît au sol dans une marre de sang, une balle logée dans sa tête. Je ferme les yeux et cale ma tête dans le cou de theo. Je ne veux plus rien voir.

Il nous installe dans un véhicule et me garde sur ces genoux. Il me sert trop fort mais je m'en fou, j'en ai besoin, je me sent en sécurité dans ces bras.

- ca va allez princesse, tient bon murmure Cole au volant

Je sent theo se raidir au surnom princesse mais je n'ai pas la force de parler.

-roule Cole, elle perd beaucoup de sang
-Putain c'est ce que je fait prè's.
-Tiens bon ma belle on arrive bientôt. Me glisse theo

Arriver à l'hôpital une infirmière passe un savon à Théo comme quoi elle ne voulait plus le revoir ici, mais au vue de la situation elle ne peu pas refuser. On m'allonge sur un brancard et on m'emmène loin de lui. Plusieurs heure plus tard je me retrouve dans une chambre avec le bras en écharpe et une perf. La balle a traversé le creux de mon épaule et est ressorti sans trop de dégât. 3 mois d écharpe et je devrais pouvoir me resservir de mon bras.