Chapitre 3 :

155 14 3
                                    

Sur ce je descendis donc rapidement les escaliers et m'installai confortablement sur une chaise au fond de la perm.

Point de vue de Léo :

La réaction d'Aurelie m'avais déjà étonné lorsque je lui avais pris ses écouteurs , mais je m'attendai a tout sauf ça ! Sa façon d'être entré comme une furie et d'avoir fermé le clapet de cette emerdeuse de Français , elle avait fait tous ses mouvements avec une telle grace , elle était magnifique. Malheureusement !!!!! NON mais essayer de comprendre Aurelie est mon souffre douleur depuis au moins 3 ans et ça risque pas de changer !

Elle s'etait habillé d'une façon qui pouvait paraïtre pretentieuse si on connaisait sa réputation sinon sa tenue lui allait à merveille. Elle etait très belle. Elle l'a toujours etait mais pendant l'été son caractère c'etait endurci et elle ne donnait plus vraiment l'impression quelle allait se laisser faire .

À mon plus grand regret ...

À ce rythme la elle aurait bientôt tout les mecs à ses pieds ! J'ai oublié de vous expliquer comment tous les mecs la mattaient, avec tant d'ambition comme si elle etait un trophé !! Et n'importe quel trophé est pour moi ...

MAIS ELLE !!!!!!

Qaund même j'ai envie de vomir rien que dit penser !

Il faut vraiment que je la remette a sa place celle la.

Elle est pas possible tellement pathétique .

Je comprends pourquoi elle a pas d'amis :

1/Elle a un caractère de merde

2/Elle rejette toutes les personnes qui essaye de lui parler

3/Elle a les cheveux bleu et une popularité incontesté...malheureusement de la mauvaise façon (sans vouloir me vanter mais c'est un peut grace à moi )

C'est vraiment marrant tout cela mais ce cour à la con m'ennui un max... Bonne nuit...

Ma tête entre mes bras je m'endormais sur le coup après avoir baillé.

Point de vue d'Aurelie :

Dring, dring, dring...

La sonnerie retentie en l'entendant je bondis de ma chaise , pris mon sac ,puis parti en courant .

Je me precipitais dehors lorsque je rentrais dans quelqu'un... c'était Tom et il fut renversé sur moi a cause de la force du choc. Il souriait bétement en me regardant d'un air pervers. En croyant que le choc lui avait causait une sorte d'amnésie quelconque, je pris l'initiative de le giflai. Ce que je fis avec force d'ailleurs.

Je suis bizarre je sais... Un peu folle aussi... Et suicidaire quand on y pense parce que pour frappé un mec aussi baraqué dans cette position il faut du cran, cran que je tiens de mon père d'ailleurs.

Cette fois il me regarda surprit et toucha sa pauvre joue rougie. Je vous explique je suis une pro en tous les arts martiaux car mon père me les a enseignés très tôt pour que je sache me defendre donc savoir gifler les gens et une de mes nombreuses qualités.

Encore sois le choc de ma fameuse gifle il me dit donc :

- Woua sa fait mal ! Au fait pourquoi j'ai eu le droit a une gifle de ta part ,j'ai du mal à comprendre ?

Et sur ce au lieu de lui répondre je me mis à rire comme une folle, sauf que en le voyant étonné et se tenant toujours la joue je rougis rapidement avant de reprendre mon sérieux et lui répondis :

- Tu me regardais vraiment bizarement donc je me suis dit que ça pourrait t'aider à reprendre tes esprits, lui expliquais-je en me retenant de rire.

- Et tu trouves que ça a marché ?me demanda-il.

- Oui énormément !

On partit ensuite dans un fou rire .

J'essayer de le repousser mais en vain .

Il était toujours sur moi .

Il était lourd.

Beacoup trop lourd pour moi .

Et en plus maintenant il rigolait et me regardait moqueur .

Son instinc de gentleman se réveilla enfin car il me demanda :

- Quelque chose ne va pas princesse ?

Voyant que je riais de plus belle il me glissa :

- Alors aucun problème ? Vraiment ?

- Si mon problème c'est toi ,Tom !

- À bon ?

- Oui ,Tom tu es sur moi !

Sur ce il se leva et me tendis la main pour m'aider à me relever. Je la pris sans me poser de questions et il me remonta .

Tout allait très bien .

Enfin jusqu'a que je me retrouve collé à lui.

Je rougis et lui me souris.

Nous étions téllement proche que je sentais son soufle chaud sur mon visage.

Il allait m'embrassé.

J'aurais voulue qu'il m'embrasse.

Il allait parler lorsque mon frère nous interpella :

- Aurelie , Tom !

En nous voyant ensemble il nous dit :

- Je dérange peut être ?

Son regard faisait des aller retours entre moi et Tom .

Tom lui avait une expression bornée et ne semblait pas vouloir lui repondre .

Teen and wolfOù les histoires vivent. Découvrez maintenant