Yaoi sanglant🧛‍♂️💉😍

Partie 7: les harceleurs💉🧛‍♂️

Flash d'une semaine

Avec Izayoi nous avons continués nos actes DS mais ce n'est vraiment jamais allez jusqu'au bout, des préliminaires tout au plus.
Il a du partir en urgence, un appel de ses parents ou quelques chose comme ça. cela fait déjà 3 jours qu'il n'est plus là, et je suis déjà en manque, c'est fou comme mon corps c'est habituer à lui.
Perdu dans mes pensées la sonnerie du fin du cours retenti, je me lève et me dirige vers mon dortoirs, après quelques mètres quelqu'un me retiens par le poignet.
Je me retourne et un groupe de jeunes me regarde comme si j'étais le diable 

Uzuki: oui ? J'aimerais rentrer dans ma chambre merci

Un des mecs rigole, celui qui me tiens le poignet.
Puis il m'attire vers lui et me donne un coup de poing dans le ventre qui me fait tomber au sol, putain il est fort.

Mec 1 : salut Uzuki... ça fait longtemps que j'attendais cela. Izayoi a enfin décider de t'abandonner pour trouver quelqu'un de son rang ?
Mais tu vois moi je suis un dominant, ça fait si longtemps que je veux te donner un ordre mon cher Uzuki...

Les mecs autour de lui rigolent, ils sont là pour le spectacle, moi ça me glace le sang, mais quel connard.
Si il me donne son ordre je serais à lui, son soumis.

Uzuki: Sache qu'il n'y a que Izayoi qui puisse me donner des ordres, et puis j'aimerais rajouter que moi au moins je le touche quand je veux contrairement à vous qui êtes destinés à le regarder de loin sans qu'il vous accorde la moindre attention.
Uzuki tu fous quoi la ?! on est dans la merde si tu n'avais pas remarqué.

Ce qui me semble être leur chef, qui me tenait par le poignet me lâche pour me donner une gifle qui fait rougir ma joue.

Mec 1 : Izayoi sera à moi et pas à une vulgaire sous classe comme la tienne, regarde toi tu es en état de manque, tu nous fais pitié !

Je ne peux rien lui dire, en ce moment sans la présence de Izayoi mon etait est pitoyable...
Il s'approche de moi, je recule jusqu'à me confronter à un mur, il est maintenant tout près de moi, je sens son souffle contre mon visage et contre tout attente je lui crache dessus.
Il s'essuie d'un geste en me regardant dans les yeux en souriant 

Uzuki...

Chef : Je ne sais pas quoi te dire... je veux prendre mon temps finalement, je comprend Izayoi, je t'aurais choisi si tu étais noble ça c'est sur...

Il pose sa langue sur mon bras puis avance mon visage à son cou.

Uzuki : degage connard !

Il me regarde avec un sourire sadique qui me met des frissons, il le remarque et rigole.
J'essaye de partir mais déjà deux jeunes hommes me retiennent par les poignets, c'est impossible pour moi de m'enfuir.
Il viens alors embrasser mon cou, puis passe à ma mâchoire et arrive bien vite à ma joue, puis mes lèvres qui rentre en contact avec les siennes.

Mec 1 : je vais peut être te prendre finalement tu ferais un bon soumis tu sais...

Je me débat pour ne plus avoir cette proximité avec lui qui me dérange au plus haut point, mais avec mon état de manque, le moindre geste m'épuise.

Uzuki bois mon sang

Sans que je puisse me retenir, ma tête s'approche lentement de son cou, d'où mes lèvres se colle, je lutte de toutes mes forces contre mon corps qui tente de me faire ouvrir la bouche.
Avec mon état de manque c'est autant plus dur, ma bouche s'ouvre et je sens mes crocs commençait à apparaître...

Uzuki: MERDE ! PUTAIN STOP !

Une larme s'échappe et coule le long de ma joue, il la lèche en souriant.

Mec 1 : putain tu es badant... je m'attendais pas à cela je t'avoue.
Sa main se dirige vers ma fesse et la touche beaucoup trop à mon goût, pendant que moi, je lutte contre ce maudis ordre.
Il bande ce connard !

Uzuki suce moi~

J'écarquille les yeux tout en essayant de partir, putain ça sent la merde...
Je lutte pendant qu'il se déshabille, toute mes forces me quittent, tandis que ceux qui me tiennent ne bouge pas d'un millimètre.
Je suis désespéré, alors je choisi de passer mes dernières énergies à crier à plein poumon

Uzuki: IZAYOI !!
Mec 1 : ferme ta gueule et obéis putain... Il ne viendra pas, tu es à moi... mon adorable petit soumis
Je pleure de plus belle, non c'est impossible
Uzuki: TA GUEULE !

Soumis dépêche toi enfin ~

Mes mouvements sont de plus en plus difficiles à stoppé, ma fièvre ne m'aide pas vraiment, je suis maintenant plus qu'à quelques centimètres de son érection.
J'ai perdu tout espoir et ferme les yeux derrière mes larmes.
Tout à coup leur chef s'écroule devant moi, j'ouvre les yeux, Izayoi est derrière lui.
Je le regarde quelques secondes et m'effondre, les mecs qui me tenaient m'on subitement lâché.
il a les yeux remplie d'une haine sauvage.
Il s'approche vers moi et malgré sa rage, il me caresse la joue et m'observe attentivement, il essuie les quelques larmes qui on coulé, et celle qui s'apprête à le faire, puis l'embrasse sur le front en se tournant vers les quelques mecs qui ne se sont pas enfuis en courant.

Izayoi: bonsoir, désoler j'arrive légèrement en retard...

Je le sens s'éloigner, il se dirige vers un jeune hommes au hasard et commence à le frapper, une fois k.o il se dirige vers un autre tel un robot.
J'essaie de me lever en vain, je suis trop épuisé pour l'arrêter.
Leur chef s'approche de moi, je le pousse de toutes mes forces mais rien n'y fait, il me prend par la taille et souris, putain je le déteste

Mec 1 : eh Izayoi ! Ton petit et badant tu me le prêtes je n'ai même pas commencé à jouer...
Il souris et approche sa bouche de mon cou, prêt à me mordre
Désoler izayoi je n'ai pas pus le repousser, finalement c'est peut être toi qui avait raison, j'aurais du rester dans les dortoirs à t'attendre...
Il me lâche lorsque Izayoi s'avance vers lui, je ne le reconnais pas, il me terrifie.
Une fois à sa hauteur Izayoi le rue de coup, dès le premier il perd connaissance, au bout du cinquième du sand c'est éparpillé un peu partout.
il est entrain de le tuer putain !

Uzuki: Arrête je t'en supplie Izayoi !
Il me regarde sans me regarder et continue.
J'arrive alors à empoigner son poing déjà sanglant

Uzuki : Izayoi putain !

Il m'écoute enfin et laisse l'homme qui s'effondre au sol dans son sang, ça me dégoûte.
Je me permet d'enfin fermer les yeux quand je sens qu'une odeur familière me porte, je suis enfin dans les bras d'Izayoi.
Il embrasse le dessus de ma tête en me caressant les cheveux.

Izayoi: ça n'arrivera plus jamais... je te le promet putain, plus personne ne te feras de mal.

Je sens sa voix rester dans sa gorge, j'ouvre les yeux, il a des larmes au yeux, je me serre un peu plus contre lui et m'endors totalement.

Je suis l'auteure de cette histoire !
Pour rappel si vous êtes harceler ou témoin n'hésitez pas à en parler ou à venir en aide
Si vous voulez rester anonyme vous pouvez toujours appeler téléphone SOS ou d'autres numéro de service pour en parler et faire avancer les choses.
Un seul geste peu faire la différence, je compte sur vous