Diecesca Love

Chapitre 16: incompréhension

J'étais encore dans ma chambre après le départ de Francesca et le baiser que je n'avais pas pu m'empêcher de lui donner. j'était encore plus confus dans ma tête et le pire c'est qu'elle me croyait amoureux de Violetta et je n'avais pas réussi à la contredire au risque de lui avouer mes sentiments . avouer mes sentiments incluais qu'il fallait que je trahisse un ami, et que je puisse perdre l'amitié de Francesca si mes sentiments n'étaient pas réciproques, donc pour l'instant ça me semblais impossible. pourtant ce baiser même si il avait très court avait était vraiment magique. j'avais envie d'appeler Francesca, de savoir ce qu'elle faisait ce qu'elle pensait mais je ne savais pas quoi lui dire non plus, donc j'abandonnais l'idée de toute manière je la verrais le lendemain au studio. la seule chose que je réussissait a faire c'était de finir ma chanson " Ser quien soy" celle que j'avais écris en pensant à Francesca et surtout en m'imaginant lui chanter.

Le lendemain j'arrivais au studio un peu en avance, même si je savais que Francesca avait l'habitude d'arriver tard je l'attendais devant quand je la vis arrivais au bras de Camilla et Violetta.

- Salut les filles, vous allez bien ? Dit je en me rapprochant des filles.

- Super merci , répondit Camilla. Et toi ?

- Ça va, dit je tout en voyant Violetta mal à l'aise et Francesca baissant les yeux. Francesca je peux te parler ?

- désolée on n'a pas le temps on a quelque chose a faire ensemble Diego, me dit Camilla et les filles s'en allèrent sans que Francesca ne me parle ou même ne me regarde.

Je me doutais que le baiser d'hier la ferais fuire et j'avais vraiment peur de la perdre. Je me demandais aussi pourquoi Violetta avais l'air gêné peut être que Francesca lui avais dit que j'étais amoureux d'elle alors que je ne l'étais pas du tout. Déjà que la situation avant était compliqué maintenant on touchais le fond.

Il était l'heure de rentrer en classe, je regardais en direction de Francesca qui me fit un sourire peiné, je crois qu'elle avais de la peine car elle était persuadée que j'aimais Violetta. A ce moment la Pablo rentra pour nous parler:

- Aujourd'hui j'aimerais que vous me prépariez un petit duo sur la chanson de votre choix je vous laisse libre cours, dit il . bon j'ai déjà choisi les duos alors : Ludmilla avec Maxi

- Oh non pas Maxi , se plaint Ludmilla

- Les couples sont déjà fait, je ne les changerais pas il faut faire avec les contraintes, répondit Pablo. Ensuite Camilla et Brodway , Marco avec Francesca, Léon avec Gery, Naty avec Federico et enfin Violetta avec Diego.

A ce moment la quand Pablo dit mon nom et celui de Violetta je ne pu m'empêcher de me retourner vers Francesca qui me regarda avec un air très triste. elle souffrais vraiment parce-qu'elle pensais que moi je souffrais ? Ou peut être qu'elle était jalouse c'était vraiment possible ? Dans tous les cas je ne pouvais pas voir Francesca souffrir pour ça que ça soit seulement par empathie pour moi ou parce qu'elle avais peut être des sentiments il fallais que j'éclaircisse la situation avec elle mais avant pour faire les choses bien il faudrait que je m'explique avec Marco car cette situation était insoutenable.

- Francesca, attends moi je voudrais te parler s'il te plait, lui dit je avant de commencer l'exercice

- A la fin des cours s'il te plait, la je n'ai pas le temps! Me dit elle avant de prendre le bras de Marco pour s'en aller.

- Attends Marco toi aussi j'ai besoin de te parler c'est important! Dit je alors que Marco et Francesca me regardèrent un peu inquiet.

- Oui oui si Francesca me laisse prendre une pause, tu la connais elle et son caractère, dit il en se moquant d'elle

- ahahahah ! Répondis-t-elle un peu touché

- oui un sale caractère mais sûrement la plus jolie de toute, dit je sans savoir pourquoi je l'avais dit

- Oui sa beauté compense son sale caractère, ironisa Marco.

- Bon on y va ! Dit alors Francesca qui avais l'air mal a l'aise ! on te laisse, bon courage me dit elle avant de vite s'en aller au bras de Marco. J'avoue que j'avais un pincement au cœur en voyant Marco et Francesca même si il n'étais que simple ami je ne pouvais m'empêcher d'être un peu jaloux.

Après la matinée avoir répéter avec Violetta dans une ambiance plutôt bizarre, nous décidions d'aller manger

- Violetta, commençais je, tu pourrais vraiment dire à Francesca que j'aimerai lui parler

- Oui! Allez à toute à l'heure me dit elle sur le même ton sec et distant qu'elle avais employé aujourdhui, en sortant de la salle de répétition.

Je sortais moi aussi pour prendre le déjeuner comme la plupart du temps chez moi vu que je n'habitais pas loin et cette fois ci accompagné de Marco.

- Dieguito alors comme ça hier t'as refusé de sortir avec la nouvelle ? Me dit il intrigué

- oui, je ne sais pas je ne la connais pas trop et je suis pas sûre que c'est mon style de fille, dit je.

- ça ne serais pas plutôt parce qu'il y'a une autre fille. Une qui s'appellerait Violetta, me dit il moqueur

- Non pourquoi tu dit ça ? Dit je surpris

- et bien c'est Francesca qui m'as dit ça tout à l'heure elle a cru que j'étais au courant

- Oh non! Dit je fatigué! Tout ça ce n'est qu'un malentendu! J'ai dit à Gery que je ne voulais pas sortir avec elle parce que j'étais amoureux d'une fille et elle est allais dire à Francesca que c'était Violetta et je ne comprends pas pourquoi ! Dit je un peu énervé

- Ok donc tu n'es pas amoureux de Violetta, me demanda-t-il

-bien sur que non ! Dit je

- Alors donc pourquoi si tu n'es pas amoureux tu ne veut pas de Gery?

- enfaites Marco, commençais je avec l'intention d'enfin lui dire ce que j'avais sur le cœur c'était le moment idéal pour lui dire en douceur que j'aimais Francesca. je suis amoureux oui mais pas de Violetta.

Alors que Marco me regarda surpris, nous fumes déranger en plein mileu de la conversation par mon père qui me demanda de l'aider et de venir dans le garage avec lui, Marco lui ne voulant pas être en retard s'en alla mais en me demandant de finir la conversation au plus vite.

Je ne savais pas si plus tard j'aurais le courage de dire ce que je m'étais apprêter a dire avant que je ne sois déranger par mon père.