Destins croisés

Chptr 19 Corrigé

    #_  *DESTINS CROISÉS*




      *CHAPITRE 19


On était assit dans la salle d'attendre quand un homme vint nous parler.

L'homme : bonjour Leinep je m'appelle Ayanne je suis l'ami d'Ivan. Quelles sont les nouvelles ?

Je le regarde sans rien dire.. remarquant cela Lyam lui répond

Lyam: bonjour Lyam enchanté. Euh excuse là elle est un peu sous le choc. Pour ce qui en est de l'état de ton ami on en sait rien ils nous ont juste dit d'attendre ici

Ayanne: ok je vais plus me renseigner

***
Ayanne: le docteur m'a dit qu'il est en soins intensifs et que son état n'était pas stable...

Quand il a dit ça j'ai recommencé à pleurer comme une madeleine. Il ne pouvait pas mourir non pas maintenant.

Lyam: Leinep tu es enceinte. Penses un peu à ton bébé et arrête de pleurer il va s'en sortir

Ayanne: elle est enceinte ?

Je relevais la tête pour le regarder le visage inondé de larmes. Il est surprit par cette nouvelle. Apparemment Ivan ne lui a rien dit sans doute parce qu'il n'en a pas eu le temps.

Lyam: oui elle est enceinte, dit Lyam pensif

On dirait qu'il n'a toujours pas digéré cette nouvelle...

Ayanne: ah félicitation Leinep. Qui est l'heureux père ?

Je le fixe mal et lui répond durement.

Moi: c'est ton ami l'heureux père !!!

Son visage se décomposa. Il a quoi lui? Peut-être le choc.
Je vis le docteur qui m'avait fait sortir de la chambre d'Ivan venir vers nous. Je me levais et me dirigeais vers lui.

Moi: docteur comment va t-il? Dites-moi qu'il va bien.

Docteur : calmez vous madame. Mise appart les nombreuses blessures et ses côtes facturés, il s'en est bien sorti. Pour le moment nous l'avons mis sous sédatifs.

Moi: merci docteur. Je peux aller le voir ?

Docteur : oui bien sûr suivez-moi.

Moi: ok merci .

On se dirigea vers sa chambre le docteur me laissa sur le pas de la porte. Quand je fis mon entrée ce que je vis me paralysa. Mes larmes recommençaient à couler de plus belle. Je m'assois à ses côtés. Il était tellement amoché.. il avait la tête et le torse bandé, des blessures sur ses lèvres , sur son arcade sourcilière, sur son bras...et j'en passe. Quand je pense qu'il avait failli mourir dans ce accident par ma faute, j'en est toujours le cœur lourd.

Ivan: tu vas continuer toujours par pleurer?


Je tipais et lui répondit.

Leinep: Ah tu es réveillé? Ce fut la seule phrase que j'ai pu sortir de ma bouche

Ivan: oui et j'ai soif peux-tu m'aider?

Leinep : oui

Je l'aidais à boire son eau et à se recoucher.

***
Je étais parti de l'hôpital dans l'aprem et le docteur a dis qu'Ivan pouvait sortir la semaine prochaine mais il a insisté pour sortir demain. Le docteur a accepté mais sous condition qu'il doit avoir une infirmière à la maison pour l'aider à prendre ses médicaments et changer ses pansements et vu que monsieur a catégoriquement refusé qu'une infirmière l'assiste je lui ai est proposé mon aide et là aussi il a osé poser une condition.
-J'accepte mais à une condition que tu viennes habiter avec moi . M'avait-il dit.
Et moi comme une petite conne j’étais tombé dans piège.



              Éclipse de six mois
J’étais à huit mois de grossesse et c'est un calvaire. Aujourd'hui je dois aller à une consultation avec Ivan.

Ivan: Bb descend y'a quoi? On va finir par être en retard

Moi: j'arrive!

    Ah oui vous n'avez pas fait d'erreur Ivan et moi on est ensemble depuis six mois, deux semaines après que je me suis installé chez lui.

Flashback
Aujourd'hui j'ai décidé de faire la cuisine puisque Ivan m'a informé qu'Ayanne passera. J'avoue que la dernière fois j’avais été désagréable avec lui à l'hôpital vu les circonstances mais je comptais bien me rattraper. Je couru dans ma chambre pour me doucher et me faire belle laissant ma nourriture cuire.
Ma douche prise, je me posai devant le miroir. Mon cœur rata un battement à la vue de mon ventre bien arrondi. Je n'arrivais toujours pas à le croire je suis enceinte en plus d'Ivan c'est tellement surréaliste.
Je m'habillais d'une robe de couleur jaune ample qui m'arrive aux genoux. J'espère qu'il appréciera aussi parce que moi ça me va. Je me maquillais légèrement séchais mes cheveux et les lissais. J'entendis des pas provenant du séjour, je descendis et me retrouvais devant Ivan et Ayanne qui restèrent tous deux bloquer devant moi. Je leur lançais un bref « salut, installé vous j'arrive » en me dirigeant vers la cuisine sentant leurs regards sur moi. Ma nourriture était cuite . J'installais la table vite fait et les invitais à prendre place.
On commença à manger dans un silence gênant alors j'essayai de faire la connaissance d'Ayanne.
Moi: alors Ayanne que fais-tu dans la vie?

Ayanne : je suis gynécologue dans mon propre cabinet et toi?
Me demande t-il en buvant son vin.

Moi: je suis une formation d'assistante personnelle dans une entreprise

Ayanne: c'est bien si tu veux quand tu finiras je peux t'aider à trouver du boulot.

Ivan qui depuis n'a pas prononcé un seul mots, se racla la gorge déposa son verre et dit à l'encontre de son ami en m'incendiant du regard.

Ivan: elle est enceinte elle ne travaillera ni pendant la grossesse ni après la grossesse

Moi: c'est à moi de décider et je pense que je suis tenter en partant Ayanne tu peux me laisser ton numéro pour plus en parler. Dis-je en ignorant le regard ardent que me lançait Ivan.

Ayanne: avec plaisir, me dit-il en esquivant un sourire que je lui rendis.

   Après le dîner Ivan et Ayanne s'installent dans le séjour et moi je me suis rendu dans la cuisine pour faire la vaisselle.  Ma vaisselle finie, je les rejoins dans le séjour où on reste ensemble plus de deux heures discutant parfois avec Ayanne qui au passage était très sympathique.

***
Ayanne décide de rentrer alors je le raccompagnais jusqu'à la porte, Ivan sur mes pas. Dès que je fermai la porte je sens Ivan me plaqua contre la porte sa main sur mon cou.
Moi: lâche moi tu me fais mal

Ivan: A quoi tu joues avec Ayanne?

Moi: mais rien je ne joue à rien

Ivan: aah ouais? Tu crois que je ne t'ai pas vu le draguer !

Moi: tu te trompes et puis je suis libre de faire ce que je veux on est pas ensemble toi et moi!
Je ne me suis même pas rendu compte que je criais

Ivan: oui t'as raison mais t'as mon fils  dans ventre alors attends qu'il sorte avant de te taper mon ami ! Me dit-il en criant à son tour

Quoi? Attentez il vient de dire quoi? Je ne savais même pas quand et comment ma main a fait pour atterrir sur sa joue. J'allais lui asséner une autre gifle quand il arrêta ma main en l'attrapant et en m'attirant vers lui. Ma poitrine vint cogner la sienne. Je levais ma tête et fixais mon regard au sien ce que j'y lu me procura mille frissons. Brusquement il plaqua ses lèvres sur les miennes. Oooh my God je fondais littéralement sous ses baisers torrides. Mais qu'est-ce que je disais moi? J'essayai de le repousser mais il en profita pour plus me maintenir fermement.
Ivan : laisse toi faire Leinep. Laisse moi te montrer et te faire revivre ce que je t’avais fais vivre ce soir là.

A ses mots je cessais toute résistance et m'abandonnais totalement à ses caresses en pressant plus mes lèvres contre les siennes.
   Je ne savais pas comment il a fait pour atterrir aussi rapidement dans sa chambre mais je sentis Ivan me pousser et je tombais sur son lit qui avait l'odeur de son doux parfum. Je n'ai pas eu le temps de m'attarder sur son odeur qu'Ivan vient se mettre sur moi m'incendiant de baisers dans le cou. Ses gestes n'avaient rien de doux mais ils étaient plutôt possessifs et j'avoue aimer ça. Il revint m'embrasser caressant l'un de mes seins, je me cambrais. Mes mains se posèrent sur son torse toujours habillé. J'ai voulu le déshabiller mais il m'arrêtait.
Ivan: laisse moi te montrer que te m'appartiens. Ne fais rien Leinep !
C'était plus qu'une simple affirmation c'était plutôt un ordre. J'hochais la tête l'incitant à continuer sa besogne avec mes seins. Il remplaça sa main par ses lèvres. De sa main libre il descendit ses caresses vers mon entrejambes et vint toucher mon intimité et y introduit un doigt. Je me cambrais et hurlais son nom. Il revint m'embrasser en me souriant tout en introduisant un autre doigt en moi. J'avais mon entrejambes humide. Il effectua des vas et viens rapides avec ses doigts je fermais les yeux n'en pouvant plus je soulevais son haut et le jetais dans un coin de la chambre. Je m'attaquais à son bas que j'enlevais en deux temps trois mouvements et commençais à le caresser à mon tour. Il
me gratifia d'un grognement roque m'incita à continuer. D'un coup, je sentis sa langue en moi ce qui me fait crier
Moi: IVAN j'en peux plus prend moi
Il intensifia ses coups de langue ce qui me fait bouger dans tous les sens. Et quand il sentit que j'aillais avoir un orgasme, il retira sa  langue, se débarrassa de son boxer et se glissa en moi en prenant de nouveaux possessions de mes lèvres et en me murmurant
Ivan: tu es à moi je vais de te le prouver.

Moi je lui répondis d'une façon qui me surprit moi même et qui était aussi à l'origine de notre relation
Moi: je t'aime Ivan .

Pour toute réponse de sa part il me sourit et intensifia ses coups de reins.

Fin du Flashback

J'étais maintenant couché sur le lit à l'hôpital attendant Ayanne pour vérifier si tout allait bien avec mes bébé car oui je n'attendais non pas un mais trois bébés. J'étais partagé entre deux sentiments, un sentiment de joie et un sentiment de peur et de stress. Il arrivait parfois que je pique des crises de panique. C'était le cas la dernière fois quand Ivan et moi on était en plein ébat sexuel..... Je me suis mis à pleurer pour je ne sais quelle raison Ivan s'était retiré de moi et m'avait pris dans ses bras. Je fus sorti de mes pensées par  la voix d'Ayanne.

Ayanne : alors comment va notre future Maman?
Je lui souris et lui réponds en caressant mon ventre
Moi: on va bien.


           Dans la peau d'Ayanne
Elle était là assise devant moi le ventre arrondi me gratifiant d'un sourire radieux. J’avais qu'une envie là prendre tout de suite sur tous les meubles de ce bureau. Et dire que c’était ce connard d'Ivan qu'elle aime. Mais cet amour ne serait qu'un vieux souvenir dans quelques mois hahahah. Et je comptais bien m'en assurer. Ils vont se détester après ce que je m’apprêtais à leurs faire....