Chapitre 18- Une nouvelle sur la montagne

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Sa peau collait à la mienne et sa respiration sacader soulevait violemment son magnifique torse musclé. Ma tête posé sur se dernier, ma respiration n'était pas en meilleure état que la sienne. Nous étions nue, allongé sur le marbre froid d'une chambre, à en regarder le plafond, serrant ou ce blottassant dans les bras de l'autre. Mais malgré cette position très intimes, je n'avais pas la sensation d'avoir rattrapé le temps perdu, mais de regretté toute ma vie d'avoir fait sa.

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Papa.

- Mmmmh...

-Papa, lève toi.

- Mmh ...

- Tu me bave sur les cheveux.

Je souflas. Ce grand truc colant de sueur c'était endormis avec moi après mon entraînement , sauf que mon père , quand il dort, il faut du bruit et bave comme une limace ... Paye ton dieu... Quand je suis arrivé dans se magnifique palais plein de marbre , j'était en mode " Whaaaa , c'est beeeeau ". Bon ok, l'Olympe , c'est pas mal du tous, mais après faut que je parle des habitants... Au de but, je me disais que j'allais faire tâche à coter de ces douze allégories de la perfection.

Sauf qu'enfaite , je fais presque courtisane française à coter de certains.

Tien, Dyonisos par exemple: le dieu de la teuf et de plein d'autres trucs, mais surtout de la pitanche. Il m'a appris plein de truc. Genre faire le poirier, touché mon nez avec ma langue , gobé des flancs ... J'en passe et des meilleurs. Après il y a Hérault. Elle ne m'a jamais adressé la parole. Elle est jalouse comme y a pas. Bon Zeus , bas .... Rien à ajouter puisque son mythe raconte tous très bien .

J'ai senti mon père me caressé la tête et remette une mèche derrière mon oreille .

- Tu as de beau yeux de serpent. murmurat il

- C'est pas beau , c'est flippant. ralai-je

Il souflat .

- Mais oui bien-sûr.

Il se leva et craquat sa nuque avant de me regarder.

- Tu te lève ?

J'ai sauté sur mes deux pieds et m'ettira .

- Je retourne dans ma chambre. dit papa en sortant.

Je lui fit un bisous volant quand il passa le pas de la porte. Après , je suis allé dans les bains et me plongea nue dans l'eau brillante jusqu'au cou. Deux femmes sont entré au bou d'une dizaine de minutes. Une m'a brosser les cheveux.

- Mademoiselle, le seigneur Thanatos est arriver, je l'ai laisser entrer dans le salon. me dit l'autre

Je l'ai remercié. Je me suis fais chouchouter pendant 20 minutes. Après être sortit, j'ai mit une petite robe olympienne et suis allé voir Thanatos. Je me suis avachis sur le fauteuil en face de lui. J'ai bailler à m'en décrocher la mâchoire.

- Eh ben , t'as dormi toi ?

- Ouais, pas bonne idée...

- Tu sais que cela ne te fatigue plus qu'autre chose cette sale habitude humaine. me dit-il

- Cette "salle habitude humaine" comme tu dis, c'est le boulot de ton frère. rigolai-je

Thanatos a rigolé, il se leva et carressa mon front avec son doigts.

- Je sais bien, mais vue que se n'est pas le mien , donc je m'en fiche un peu ...
Il me fut rire. Pour Thanatos, il n'y avait que trois personnes dans le monde: Hades, moi et ÉVENTUELLEMENT Hypnos., les autres, qu'ils soient dieux, humains ou spectres, c'est à peine si il connaît leurs prénoms.

Saintia Ofucius [Saint Seiya The Lost Canvas]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant