⑤
En traversant lentement le chemin de pavé, Marinette regarda de chaque coté et y vit de vaste jardin dont grâce au nombreuse lanternes dispersées partout et le ciel dégagé qui laissait passer le doux claire de lune, elle y voyait les nombreuse plantes, bosquets et arbres qui florissant annonçaient le début du printemps. En poursuivant sa route, elle senti le délicieux parfum de l'herbe humide, auquel se mélangeait celui de pomme de pain, et de fleur. Se contraste formait étonnamment un parfum délicieux. Les pas de Marinette était accompagnés par le chant des grillonsv apaisant. N'étant habitué qu'au bruit constant de Paris et a son boucant habituel, elle fut tout de suite plongée dans un calme inhabituelle, presque surnaturelle.
Au bout du chemin de pavés se distinguait un charmant château. On entendait les éclats de rire des convive situer à l'intérieur et la musique qui annonçait une soirée festive, le bruit de la soirée annoncé ramena Marinette de sa bulle et lui permit de se concentrer sur ce quelle avait à faire, c'est à dire trouvée le Comte de Montcourteau.
Elle n'avait pas le choix, car elle n'aurait pas d'autre chance après cette soirée. Son visage encore vierge, elle y plaça avec lenteur son masque parfaitement accorder à sa tenue. C'était étrange, elle n'était pas transformer en Ladybug et pourtant, elle se sentait plus déterminer et sur d'elle comme quand elle etait dans la peau de son alterego, surement la sécurité de l'anonymat se dit-elle.À peine entrée que Marinette fut frappée par le contraste entre le calme extérieur et l'ambiance festive intérieur. En face d'elle se trouvait une sorte de scène sur lequel les convives s'amusaient à danser dans la bonne humeur. Les hommes somptueusement habillées faisait glousser les dames à leur bras tout en suivant avec un synchronisation parfaite le rythme et les pas de la musique, tout cela ressemblait à un ballet de couleur, de rire et de mouvement. C'était aussi beau qu'hypnotisant.
Tout autour de la scène se trouvaient diverses personnes qui assisent ou non, discutaient un verre à la mains ou dégustaient des amuse bouches que leurs proposaient les différents serveurs.
Marinette se dirigea au fond de la pièce ou se situait un buffet et où plusieurs groupes d'hommes et de femmes discutaient, s'apostrophait et riaient. Elle pris au hasard un macaron qu'elle dégusta avec delice, elle en pris un deuxième conquise parle met, tout en se servant un verre de liqueur, elle le sirota avec lenteur sachant quelle ne supportait pas vraiment l'alcool.
Marinette observait à présent à travers son masque les convives, elle cherchait à travers cette foule une personne qui conrespondrait a la description du comte, c'est à dire une simple tenue bleu marine accompagné d'une canne.Au bout de plusieurs minutes, ses recherches n'étant pas concluante, elle décida de monter à la mezzanine ou d'autre convives s'y trouvaient afin d'avoir une meilleure vue d'ensemble. En montant les escaliers elle remarqua une homme. De l'extérieur il paraissait normal même si il contrastait différemment par sa tenue plus sombre que les autres convive qui quant à eux portait des couleur clair ou pastel, il avait un simple perruque brune sur la tête, des bas et une veste brunes et une chemise verte, il avait également une pair de chaussure avec un simple boucle d'argent mais surtout se qui avait attirer Marinette chez lui, c'était son allure il était raide et ne cherchait pas la compagnie. Il ne semblait tout simplement pas dans son élément, apparemment il cherchait quelqu'un vu sont regard qui se promenait à la ronde sur la salle. Un instant elle pensa que c'etait peut-être le comte, mais il ne portait pas la tenue prévue et si le comte dans ces lettres parraissait joyeux et taquin, l'homme en face d'elle avait le visage fermé et parraissait serieux et dure.
Cela aurait put s'arrêter là à la rigeur, mais il arrêta un jeune homme, surement celui qu'il cherchait, et lui demanda de le suivre. Marinette piqué par la curiosité et en proie a un mauvais pressentiment redessendit les marches de la mezzanine afin de les suivre vers les jardins.
De retour vers la fraicheur, Marinette se dirigea lentement et discrètement vers les deux inconnues qu'elles apercevait à travers la végétation, elle demanda si elle n'était pas juste ridicule de suivre deux hommes dans la nuit juste à cause d'une stupide intuition, mais elle continua tout de même de les suivre.
Ils s'étaient tellement éloignées qu'on n'entendait plus du tout les bruits venant de la fête.
D'ailleurs les deux hommes devant elle s'était arrêter et à présent t discutait. Marinette se rapprocha afin d'entendre se qu'il disent, le plus âgé à la chemise verte s'adressa avec une dureté surprenante au jeune homme en face de lui :
- Vous savez, je vous est amené ici car je sais se que vous faites lors de votre temps libres, vous n'êtes pas le libertin, irresponsable que vous laissez tout le monde croire,
Le dit non irresponsable, semblait ne pas comprendre l'accusation dont il etait l'auteur, il regarda autour de lui avec un air perdu semblant cherché si se n'était pas une blague qu'on lui faisait, Marinette se recroquevilla même si elle savait qu'avec l'obscurité présente, on ne pouvait pas la voir malgré sa robe pourtant toute sauf discrète, l'homme poursuivit :
- Nous savons que vous avez fouillée dans nos affaire et que vous avez questionner un de nos homme.
Marinette se figea, cette histoire lui rappela sa lettre, se pouvait-il que cet homme soit le Comte de Montcourteau ? Mais oui, elle ne l'avait pas remarquer à cause de l'autre qui l'avait intriguer par son attitude, mais elle se souviens que cet homme portait une tenue bleu marine et elle leva la tête et aperçue une cane qu'il tenait. Elle n'eu pas plus de temps de se pencher sur la question que l'homme continua son accusation envers le Comte qui semblait totalement perdue :
- Ne vous inquiété pas nous allons régler le problèmes que vous êtes, suite à cette menace, il sortit une épée de son fourreau en la pointant de façon inquiétante vers le Comte, se dernier sortit la sienne, sauf que quatre autre hommes armés d'épée sortir de l'ombre.
Le Comte réagi rapidement, sortant son épée de son fourreau, il s'attaqua au plus petit des hommes se trouvant derrière lui, en deux passe, il le désarma à une vitesse impressionnante, il lui frappa le crane du pommeau de son arme, son adversaire s'évanouis sous le coup. Les hostilités été annoncés.
Marinette hésita, elle devait l'aider mais ne pouvait pas se transformer puisqu'elle était trop proche. Les bruits de fers s'entrechoquant, lui donnèrent raison, n'écoutant que son courage, elle sortit de sa cachette sous les yeux surpris des hommes, elle pris l'épée qui gisait par terre à cotés de l'homme évanoui et s'élança dans la bagarre. Marinette remercia les quelque cours d'escrime quelle avait pris et ses reflexes qu'elle tenaient de Ladybug,
Les ravisseurs quelque peut étonnée de l'arrivée fraccassante de la jeune femme, permi au comte de se débarrasser avec agilite d'un ravisseur en plus, il en restait trois !
- Ne restez pas là ! Vous êtes folle ! Vous allez vous faire tuer !
A peine il avait-il fini sa phrase que Marinette avec une étonnante précision blessa un homme à la jambe gauche, l'éléminant des ravisseurs restant.
- Finalement je veux bien de votre aide.
Marinette souris. Le jeune homme avec une nouvelle dextérité était précis, rapide et ne tarda pas à éliminer l'hommes en face de lui, il ne restait plus que l'adversaire de Marinette. Le comte allait l'attaquer quant Marinette s'interposa :
- Non ! Il est à moi..
Seulement, si elle était doué, sa tenu encombrante et ses chaussures sans parler de son pouf qui tanguait l'empêchait de combattre correctement, au bout de quelque minute, elle s'écarta essoufler laissant le Comte finir son travaille.
- Wouaw, qu'elle combat ! Vous m'intriguer serieusement mademoiselle. .
VOUS LISEZ
Un saut dans l'Histoire
FanfictionImaginé que vous êtes coincé dans une autre époque... Vous êtes perdu, troublé, paniqué. Mais qu'en plus, lorsque vous avez enfin une piste pour vous en sortir, que d'autre problème s'ajoute, encore et encore. Et bien c'est exactement ce qui vas se...