C H A P I T R E S I X

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De retours à la soirée, Marinette et le Comte se dirigèrent vers un salon privé. Par chance, plusieurs jeux et différentes activités avaient été annoncer ce qui leur laissait le champ libre pour discuter en toute intimité.

Jusqu’à présent, Marinette s’était concentrée sur l’homme qui avait créer l’embuscade pour le comte, mais elle ne s’était jamais vraiment mis à détaillée le comte lui même. Il la deppasait bien d'une dizaine de centimètre, elle ne pouvait pas voir ses cheveux naturels car il portait une perruque blanche attacher par un ruban bleu marine au niveaux de sa nuque, mais elle pouvait imaginait une chevelure abondante brune ou encore blonde a la mode de l'époque. Le comte se tenait droit tel un mannequin, son allure respirait la confiance, mais pourtant, également une certaine douceur il s'exprimait par son doux sourire qu’il affichait, et le regard doux qu'il lui offrait. Mais elle y discernait curieusement une certaine anxiété dissimulé, elle pouvait le deviner par les traits de son visage légèrement crisper et par ses nombreux gestes qui témoignait sont inquiétude, mais cela pouvait peut être s’expliquer par leur combat d’il y a quelque minutes et par leur rencontre plus qu'original. En relevant sa tête, elle rencontra d'hypnotisant yeux, d'un vert émeraude même si ces derniers était dissimulés par son masque noir, elle fut pris d’une bouffée de chaleur.

Marinette pensa mélancoliquement que ses yeux, lui rappelait tellement de souvenir, et surtout son compagnon chat noir... Qu'est-ce qu'il lui manquait... Elle secoua brusquement la tête afin de remettre ses idées en place. Ce n’était absolument pas le moment de se laisser aller au sentiment !

À présent confortablement installés face à face dans deux fauteuils, ils attendirent pendant plusieurs secondes gênantes avant que le Comte ne se racle la gorge. Il débuta la discutions sur un ton reconnaissant :

- Je dois vous remercier de m'avoir sauver la vie, Marinette rougit légèrement, le comte poursuivi :
- vraiment je ne m'attendais pas à voir une charmante créature sortir des bois pour se lancer à corps perdu dans un duel d'escrime. Mais que faisiez vous là ?

- Je dois avouer que je vous cherchais, répondit Marinette gênée,

- vous me cherchiez ?

- Oui sauf que c'est totalement par hasard que je vous est suivit, j’avait tout d’abord vu l’homme qui vous avait accosté et puisque je le trouvais… disons étrange, je me suis mis à le suivre et par le même occasion à vous suivre,  je ne serais expliquer, une sorte d'intuition que j’avais décidé d’écouter.

- Et bien je remercie votre intuition, car sans elle je ne serais plus de se monde, répondit-il avec humour, il poursuivit en se penchant en avant intrigué :

- Cependant je ne sais toujours pas qui vous êtes...

Marinette se figea, son cerveau réfléchi à cent à l'heure, n'était il pas sensée la reconnaitre puisqu'il avait commander sa robe et qu'ils était normalement proche ? Etait il possible qu'elle se soit trompé de personne ? Non, elle avait bien entendu son nom à plusieurs reprise...

Le jeune homme la sortit de ces pensées.
- Excusez moi, mais je ne connais toujours pas votre nom.

- Vous ne savez vraiment pas qui je suis ? Vous êtes pourtant le Comte de Montcourteau ? Non ?

- Oui… Il avait répondu en se frottant la nuque dans geste de gène avant de demander avec délicatesse :

- Puis-je enfin connaître le nom de ma sauveuse ?

Un saut dans l'HistoireOù les histoires vivent. Découvrez maintenant