Partie 7

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          La phrase du blond fut comme un choc électrique pour nos deux protagonistes qui s'élancèrent l'un vers l'autre pour finalement ce retrouvé dans un baiser endiablé. Katsuki fit basculer son amant sur le canapé se retrouvant à califourchon sur lui, tout en continuant de l'embrasser de plus en plus passionnément après avoir passé sa langue dans sa bouche. Izuku enroula ses bras autour du cou du blond qui lui, passa ses mains sous son t-shirt pour commencer à caresser son torse. Il s'étonna d'y trouver une musculature bien plus développer qu'il y a des années ce qui n'était pas pour lui déplaire.

Il continua à redessiner les contours de sa musculature jusqu'à que ses vêtements devienne trop gênent et qu'il entreprit de les retirer. Le blond commença par retirer le t-shirt de son vis-à-vis, puis fait balader sa bouche sur la peau qui s'offrait à lui. Il embrassa sa mâchoire pour ensuite descendre dans son cou et y imposer sa marque.

Katsuki continua sa descente jusqu'aux tétons où il s'y attarda, il en prit un entre ses lèvres tout en s'amusant à taquiner l'autre avec sa main droite, le faisant rouler entre ses doigts. Le plus petit commençait à pousser de doux gémissements remplissant petit à petit la pièce de ses sons érotique. Après c'être assez amuser avec les tétons maintenant durs, le blond reprit sa descente et s'arrêta quand ses lèvres rencontrèrent comme barrière le pantalon d'Izuku qu'il retira rapidement. Le vert se retrouva alors en caleçon tandis que son amant avait toujours tous ses vêtements ce qui lui déplus fortement.

Il se redressa soudainement tout en disant « ce n'est pas drôle si je suis le seul déshabiller », puis il s'attela à retirer les vêtements du plus grand qui se retrouva lui aussi avec comme seule barrière a sa nudité complète son caleçon. Satisfais le vert se rallongea laissant son petit ami reprendre là où il s'était arrêté, ce qu'il ne tarda pas, il sentit une main attraper son membre à travers son vêtement commençant de lent vas et vient. Katsuki sentit alors une bosse gonflée, ce qui le fit sourire satisfait, puis il décida de faire monter le plaisir au niveau supérieur. Dans un geste souple et qui transpirais l'habitude, il retira le caleçon de son homme dévoilant son sexe à moitié irriguer avant de le prendre en bouche.

Il enroula sa langue autour du membre et l'englouti entièrement dans sa bouche puis le retira presque entièrement et recommença, commençant de lent mouvement torturant son amant. Il continua encore quelques minutes sa torture avent de finalement accéder aux suppliques du vert et d'accélérer. Ses mouvements étaient de plus en plus rapides, quand il sentit une main sur sa tête et une voix couper par les gémissements « je... je vais... », Izuku joui finalement dans sa bouche en un long râle de plaisir.

Katsuki remonta son visage à sa hauteur pour emprisonner de nouveau ses lèvres par un baiser, puis il se redressa pour chercher quelque chose dans un des tiroirs de sa table de nuit. Quand il trouva ce qu'il cherchait, il s'assit sur les hanches du vert puis s'enduisit les doigts de lubrifiant qu'il venait de récupérer. Il put voir qu'Izuku fixait sa main, impatient il commençait déjà à écarter les jambes, Katsuki se pencha alors puis passa sa main entre la fesse du vert et commença à caresser son entrée. Il vit qu'il était complètement détendu alors il décida de rentrer un doigt en lui récoltant un soupire. Il fit des petits va et vient et en voyant qu'il était à l'aise le blond entra un deuxième doigt dans l'antre de son amant puis continua de bouger tout en faisant des mouvements de ciseaux. Le vert était devenu une machine a gémissement criant à chaque va-et-vient du plus grand et quand il trouva ce point particulier en lui, il se retrouva au septième ciel, voyant les étoiles.

Le blond retira alors ses doigts puis fit voler son caleçon avant de se placer à son entrer, mais ne bougea plus ce qui étonna Izuku qui s'apprêtait à demander ce qu'il avait quand il fut coupé dans son élan.

- Tu es sûr ? Tu ne vas pas te casser demain ou regretter ?

- Il n'y a pas moyen. C'est si je fuis encore que je risque de regretter.

Erreur de jeunesseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant