Partie 3 : La nuit de la loose

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Enfin dehors !

Je n'en reviens pas, je l'ai eu ! Ok, ce n'est pas un prix Nobel. Mais on s'en fout ! Comme on dit, « c'est pas la cervelle qu'on suce ». Bien-sûr, j'aurais préféré l'avoir à jeun. Son état explique sa facilité d'emballage. Et il bouge comme un lapin électrocuté. Tant pis, je préfère me taper un dieu inapte de la bite, que rien du tout. Et puis ça fait du bien au moral. Par exemple, moi et mon petit ego malmené avons apprécié de retraverser toute la boîte en sentant son bras sur nos épaules.

— Grooouille. J'veux t'fourreeer.

Mouais. Sans le son, ce serait quand-même mieux.
Je le laisse me guider vers la plage. Une fois ma chatte bien ramonée, j'ai bon espoir de profiter d'un bain de minuit. Il s'écroule sur le sable et m'entraîne dans sa chute. Je lui tombe dessus, et m'apprête à profiter de la position. Et une chevauchée sauvage pour la demoiselle, une !

Ah, non. L'homme veut dominer la situation. Il me bascule sous lui et revient marteler mon entrecuisse comme si sa queue était un clou à planter coûte que coûte. Ce n'est pas super agréable. Surtout avec les relents alcoolisés qu'il me souffle au visage. J'espère qu'une fois à l'intérieur, il se montrera plus efficace, parce que là, je fais tout pour éviter qu'il me lèche la glotte.

Pressé de s'y mettre, il bataille quelques secondes contre sa braguette puis tente une première excursion touristique sous ma jupe en repoussant ma culotte. Visite que je stoppe en braillant « capote ! ». Il râle en affirmant être super clean. J'en doute, vu le marathon entrepris par sa bite en sept jours. Heureusement qu'il ne cherche pas à forcer le passage. S'il y a bien un truc que je ne supporte pas, c'est un type qui veut s'imposer par la force. Là, il attend en râlant que j'ai fini de le recouvrir de latex. Quel physique d'athlète, quand-même ! Bien proportionné. Et de partout ! Une petite claque sur les fesses réactive l'animal. Ah flûte ! Trop vite et trop fort.
Ouch ! Il a des actions chez Black & Decker, ou bien ?

J'essaie de le ralentir. Peine perdue. Quelle idée de faire ça sur la plage, aussi ! Entre le sable et le marteau piqueur, c'est ponçage party dans ma chatte ! Finalement, un petit équipement, c'est bien, aussi. Genre saucisse cocktail. Là, ça fait juste mal. Il va enfin venir, oui ou merde ? Je devrais lui dire qu'il s'y prend comme un manche. Ne serait-ce que pour épargner ça aux suivantes !

— Attends ! Arrête !

Évidemment, il reste sourd à ma requête... Allez dire à une locomotive lancée à pleine vitesse de piler net, pour voir ! Inutile d'insister. Il est parti vers son Graal éjaculatoire. J'aurais pu m'en sortir avec un coup de boule bien senti. Mais en misant tout sur le physique, c'est moi qui me suis fichue dans cette situation. Alors je le laisse finir en mode étoile de mer. Une fois sûre qu'il s'est vidé, je gigote pour me dégager. Il ne se pose aucune question. C'en serait presque désespérant pour son avenir sexuel, si j'en avais quelque chose à battre. Il se contente de se lever et m'abandonne là, sans plus de manière.

Le Superpouvoir du presque mocheOù les histoires vivent. Découvrez maintenant