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Comme tous les matins, je me réveille assez tôt pour aller préparer le petit déjeuner à mes parents ainsi qu'à mes frères. Étant la seule fille d'une lignée de quatre frère, il ne faut pas compter sur eux pour se bouger.
Je me lève donc, me douche, m'habille et descend dans la cuisine faire des pancake ainsi que tout le reste. Sucré, salé, tout y va.
Mes parents descendent en premier. Ma mère s'appelle Hizya, et a 45 ans. Mon père lui, se nomme Djamel, et à 47 ans. Ils me passent le Salem, que je prend et s'installent manger. Ensuite, c'est mon grand frère, Hakim qui descend. Il a 22 ans, et a un jumeau qui s'appelle Ilyes. Inutile de vous dire son âge. J'ai un plus grand frère, Samir. Il a 25 ans et est marié, mais il n'habite plus ici, logique.
Moi, j'ai 19 ans, toujours célibataire, et je m'appelle Safia. Mes frères me disent bonjour à leur tour, et mangent. Mes parents avaient l'air moins enthousiastes que d'habitude, mais je n'y prête pas plus attention que ça, ils ont deux moches en face d'eux, c'est normal qu'il ai peur en voyant la face de mes frères. Je mange à mon tour, et nettoie la cuisine, quand tout à coup, j'entends qu'on m'appelle depuis le salon. Les jumeaux, mes parents, Samir que je n'ai même pas vue venir et mon frère jumeau, Sofien.

- Viens, assis toi Safia. Dit doucement ma mère. Ils tiraient tous des têtes d'enterrement.
- Quelque chose ne va pas ? J'ai fait quelque chose de mal ? Vous me faites peur ! Articulais-je en les regardant tous un par un.
- Juste, assis toi et tais toi. M'ordonna sèchement Samir, alors j'obéis.
- Je suis tellement désolée ma fille.. Prononça mon père, qui avait l'air triste. Je ne l'avais jamais vue comme ça. En temps normal, mon père est un adorable homme qui a toujours le sourire au lèvre. Un sourire qui d'ailleurs est très réconfortant. ...mais j'avais des dettes. Poursuivis le même homme.
- Allez droit au but, je frôle l'arrêt cardiaque ! Lâchais-je alors.
- Safia.. Sofien me pris les mains. Ce soir, un homme viens demander ta main.
On entendus alors mon rire raisonner dans toute la maison.
- Punaise j'avais jamais autant ris de ma vie, c'est quoi, c'est le poisson d'avril ? Dis-je mais ils me regardaient tous extrêmement sérieux, alors je compris que ce n'étais pas une blague. Ma tête tournais, la colère prenait place. Pourquoi ? Avec qui !? Hurlais-Je.
- Ce soir tu as ta khtoba. Ton mari s'appel Karim.

ForcéeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant