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Safia

Je n'avais pas beaucoup mangé et je sortais tout juste de la salle de bain. Je m'étais habillée puis coiffée.
J'avais récupéré le plateau de ma chambre pour le descendre dans la cuisine, et c'est là que j'ai commencé à entendre des cris.
Je pris peur, quand soudain, des coups de feux ont retentis. J'ai laisser tomber le plateau et je me suis précipité en bas.
Karim, face à deux femmes et trois hommes.

- C'est elle ? Dit une femme.
- Attrapez la. Ordonna un homme. Les quartes se mirent à courir vers moi. Karim était  au sol et je crois même qu'il saignait. Je ne savait pas quoi faire je crois que j'étais seule à la maison. Je courais partout mais je ne savait pas où les couloirs menaient.

Je sent une main de attraper mon bras, et reçois un coup violent au visage. Je tombe au sol et perd connaissance.

—— Ellipse de 2 jours ——

J'ouvre difficilement les yeux. La faible lumière me fait mal aux yeux. J'essaye de regarder autour de moi : à première vue je dirait que je suis dans une.. cave ? Je me lever pour regarder aux alentours et trouver un moyen de sortir et commence à marcher mais une chaine me retiens les chevilles.
J'ai mal partout, je suis là depuis combien de temps ? Je regarde un peu mon corps et ce que je vois est horrible. J'ai des hématomes partout, des coupures des ouvertures, du sang séché partout.

La porte s'ouvre. Je tombe nez à nez avec l'homme qui m'a attrapé.

- T'es enfin réveillée toi. Il saisit mon visage, et m'observe un peu. T'es dans un putain de sale état. Il éclate de rire. Ton petit Karim est loin de venir te chercher. Je l'ai vue avec des keh chez vous. Il ris encore plus fort. Du bruit se fait entendre à l'étage, comme des gens qui se battent. Des coups de feux éclatés, et des gens hurlent. Merde... je le vois sortir une arme, et me regarde droit dans les yeux. C'était un plaisir de te connaître Safia. Il dirige le poignard vers mon corps.
- Non ! Stop ! S'il te plaît arrête je.. je hurle et continue de lui supplier de ne pas me faire de mal, mais je sent l'objet me pénétrer le corps et me couper. Je pleure et sent mon sang couler. Ma tête tourne, je m'évanouie.

ForcéeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant