6- mauvais passés

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8h45 je me gare devant le centre. Lisa et moi descendons de la voiture et nous dirigeons vers l'accueil, qui es le bureau ou Lisa passe ses journée. Je reste quelques minutes avec elle, salut les arrivants qui défilais les uns après les autres depuis que Lisa avait ouvert les porte à notre arrivé.

Gabriel : Bonjour bonjour, toujours à l'heure Lisa et toujours aussi charmantes mesdames.

Lisa : Et vous toujour aussi charmeur mais merci monsieur.

Gabriel : Un charmeur n'en n'est pas un si la personne en face ne mérite pas ces compliments très chère. (Répliqua t'il accompagné d'un client d'œil, en s'éloignant) 

Lou : toujour aussi lourd ton patron dit donc. (Chuchotât-je en rigolant)

Un nouvel arrivant fais sont entré, je sais que les inscriptions prennent du temps alors je fais signe à Lisa que je file en salle de rééducation pour retrouver les connaissances que je savais déjà arrivé à cette heure ci. Malheureusement il y as des choses qui ne change pas et les horaires sont toujours les mêmes pour certains.

C'est d'ailleurs le cas d'une jeune femme de mon âge, elle était arrivé quand je me déplaçais encore en fauteuil. Au début elle etait du genre très timide, puis a la connaître un peu, elle se dévoilait et exposait sont côté complètement fofolle et joyeuse mais si on l'as questionnais sur sont passé, elle se mettais sur la défensive automatiquement. 

A cette période nous avions en commun le désespoir de ne pas retrouver l'usage de nos jambes et ces ce qui m'as permis d'arriver à créer un lien spécial entre nous et je prenais à cœur de rester présente pour elle. Je n'es jamais vue personne la visiter, Lisa m'avais dit avoir vue ses parents une fois ou deux mais qu'ils étaient partie très rapidement après s'être disputé avec elle. Javais cherché à savoir mais elle restait toujour fermé sur sont histoire et là tristesses que je pouvais lire dans ces yeux ne me poussais pas à approfondir et nous changions toujour de sujet pour lui redonner le sourir. Je passe la voir au moins une fois par semaine depuis mon départ, il y as 2ans.

Je ne sait pas pourquoi mais le lien qu'on avait créer était fort. Je courais après mes souvenirs et elle, cherchait à les oublier. Elle avait l'air aussi blessé que moi mais avait l'avantage de savoir pourquoi et son désespoir me poussai a lui être une source de motivation. J'étais l'exemple que même après 8 ans dans un fauteuil, on pouvais de nouveau reprendre nos vie d'avant.(enfin presque, moi j'ai perdu la mémoire, alors ma vie d'avant...hein...)S'etait ca mon avantage à moi. 

Très souvent elle broyait du noir et perdait espoir, malgres la joie de vivre qu'elle voulais laisser paraître (mais pas à moi ma chérie) j'était passé par là et je pense être la seul de son entourage à pouvoir trouver les mots. Ces même sûrement pour ça que j'étais la seule à qui elle voulait bien s'ouvrir, enfin elle me confie surtout ces peines due à l'handicap, le reste est un mystère.

Lou : salut ma pupuce, ca vas aujourd'hui?

... : oh! Ma puce! Maintenant que je te voie, ca vas impec! T'es encore venue participer à ma torture?

Lou : si tu le voie comme ca, alors oui! 

Elle est installée sur une tables de massage et sont bourreau lui plie et déplie les jambes. Rémy, sont kinésithérapeute me connaît bien et me laisse la place à côté de lui, une jambe chacun, s'était notre habitude, il m'avait appris les gestes à faire, vu que je passe beaucoup de temps avec la belle et ca me permettai de les reproduire quand nous discution dans sa chambre.

Rémy : bonjour Lou. Notre victime es de bon poil aujourd'hui, tu tombe bien.

Lou : oh! alors c'est une journée au soin tendre alors, mince, moi qui pensai pouvoir passer mes nerf en malaxant ses jambes à chaques grognement. Zut alors!

Is it dream (love Colin, Matt, Adam, Owen???)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant