Les petits secrets de Marlène Scott

Introduction

Bonjour, je me présente, Marlène Scott, 29 ans. Journaliste de renommée.

Un jour, en faisant des recherches pour mon futur article, je suis tombée tout à fait par hasard, en m'infiltrante par effraction dans les archives de la ville, sur un endroit très particulier. Il s'avère que ce lieu se situe au centre de la planète. Exactement sous nos pieds. L'îlot fut engloutie par les fonds marins il y a de cela ... fort longtemps.

Dans l'impossibilité de contenir ma curiosité, je m'acharnai corps et âme, Il me fallait coûte que coûte en savoir davantage sur cet endroit si particulier.

En ces temps anciens, ce bout de terre n'était rien d'autre qu'une célèbre prison où étaient enfermer les briguants et les malfrats les plus dangereux. Un bloc de terre cuite, qui laissa s'étendre une légende, informant que toute personne y pénétrant un jour reviendrait jamais de cet endroit. En vie du moins. D'ailleurs, certains s'aimaient même à prétendre que les âmes elles-mêmes étaient condamnées à ne jamais quitter l'île. Qu'elles soient issues des prisonniers, tout comme des gardes qu'ils y avaient été transférés par la force. De quoi en donner des sueurs froides. Le seul fait de l'écrire me provoque la chair de poule.

D'après mes renseignements, l'établissement ne contiendrait qu'une seule entrée. La célèbre prison semblait s'étendre jusqu'à l'infini. Plus personne et plus aucune carte n'est capable d'indiquer avec exactitude s'il existe une seconde entrée. Évidemment, ce ne sont pas ces quelques détails qui allaient m'inciter à partir à la recherche de ces geôles et peut-être y sacrifier ma vie. Non ! Ce qui en première lieu m'a interpellé, ce sont les conditions de détention des misérables prisonniers qui n'allaient plus jamais revoir la lumière du jour.

D'après de nombreux parchemin, le Sultan qui y régissait d'une main ferme. s'habillait de vêtements colorés, variables selon son humeur. Son passe-temps favoris était le polo. Pas n'importe qu'elle polo ? Un polo ancestrale. Celui qui consistait à faire adroitement voler des têtes de prisonniers attacher, afin qu'elle s'éloignent le plus possible de leurs corps. Le Roi foncé, avec son fidèle destrier noir, contre sa proie déjà enlacer par des chaines en métal et tenu par un garde. Il va de soit que sa crosse n'était en rien en toc mais bel est bien en acier forgé de sorte à ce qu'elle ressemble à un fleuret d'escrime, mais en rien bien aiguisé. Arrivé vers sa proie il lui donnait deux coupe et son accoutrement jaune ce salissait, ce qui forcer le Chef-lieu à s'abattre sur une autre proie qui elle n'était pas attaché. Mais ce qui s'enfuyait aller recevoir une sentence telle qu'il préféra se donneraient la mort lui même en enfonce une fourchette à l'intérieur de son œil pour oublier les horreurs qu'il avait vu.

Mais le plus troublant, fut que ces pauvres esclaves étaient dévêtus en plein public. Des passants qui allèrent même jusqu'à payer pour avoir le droit d'assister à la torture qu'ils avaient demandés. Eux qui s'affichaient telles de mauvaise œuvres d'art. Le simple fait de m'imaginer parmi eux me retourna l'estomac je ne peux retenir mes larmes. Même si je supposai qu'ils le méritaient...

N'est-ce pas ?