Au porte de l'inconnu

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Au centre de toute âme se trouve un coeur, un coeur qui selon certaines personnes est bien dissimulé. Dans cette pompe on peut y trouver de la haine et parfois de la faiblesse, mais on est comme ça. Chaque être possède une pompe de sang. Que ça soit chez les animaux ou les êtres humains chaque un possède ce mécanisme. Et le plus importants, chaque un possède un cerveau, le cerveau, un univers très complexe qui fonctionne grâce à l'oxygène.

Pourtant, que ce passerait-il si une personne est très peu oxygéné ? Elle devient folle, complètement folle et ne se rend pas forcement conte de sa folie des plus avancée.Tic...et Tac le temps passe si lentement :

- Arght ! Qu'on m'enfonce un pieu dans le coeur ! Par pitié ! hurlais-je dans l'immense pièce.

- Vraiment ? Vous voulez vraiment ça mademoiselle la prisonnière ? questionne un homme tatoué. En taillant son bout de bois telle un personnage de western.

- Oui !!! Je m'ennuis !

Il se lève de sa chaise en métal et s'avance en ma direction. Il est très imposant. Il frappe deux fois dans ses mains et hurle :

- Quand vient la... chercher !!!

Deux jeune hommes se ressemblant apparaissent comme par enchantement. La seule chose qui les distingues est leurs couleurs de cheveux partant en pétard. Celui de droite à les cheveux noir bleuté alors que, l'autre à les cheveux roux avec en prime des mèches blonds. Ils ouvrent la porte de la cage et me prennent par les épaules pour me trainer comme une vulgaire serpillière sur le sol. Mes pieds nus touche le sol glacial remplient de défaut.

Arrivé au bureau de l'homme qui me retient en otage enfin je suppose. Je commence à paniquer et ne peux qu'observer la pièce encore jamais visitée à ma connaissance.

Les deux hommes en costume de scientifique se tiennent droit comme des piquets avec leurs lunettes ronds ils regardent droit devant eux. Le jumeau à la chevelure rousse est à ma gauche alors que l'autre se tient à l'au poser du fauteuil en cuir brun où je suis assise. La chaise en face de moi se retourne et je peux que sortir en tournant mes yeux :

- Pff...cliché !

- Alors miss Scott, tu ne te plais point en ces lieux ?

- Non ...je ne me plais point en ces lieux. De plus, je n'apprécie guère la façon dans vous me traité ! Lui dis-je en me questionnant de sa façon de parler aussi moyenâgeuse. Même façon d'ailleurs, que je parlais lors de mon arrivé croyant que bizarrement j'étais dans les années 1242.

- Allons, depuis tant d'année que nous nous connaissons, n'avez vous guère marre de se genre d'idiotie ? C'est à cause de votre ennui que vous on êtes là ! Marlène, regarder-moi. Il me prit les joues et m'oblige à le fixer. Sa main droite robotisée me serre tellement fort les joues que je commence à saigner. Son oeil de verre me scanne comme si j'étais un article à vendre.

Il enlève avec délicatesse ses mains et me dit de jouer à un jeu avec lui.

- Un jeu ?

- Oui, un jeu que vous appréciez tellement Marlène. D'ailleurs, à ma grande connaissance... c'est belle est bien vous qu'il l'avais créé pour votre ennuie c'est ironique non ? En prime, ma tendre amie, je suis convaincu, que cela aiderez fortement votre problème de mémoire. Il mit des guillemets en prononçant le dernier mot.

En lui crachant à la figure je ne pus que sortir en colère :

- Vous me prenez, vraiment pour une gourde ma parole ! Je suis point votre amie espèce de boîte de conserve. Il me prit par ma chevelure et me plaque contre sa bibliothèque. Il me regarde et hume mon parfum et sorti :

- N'oublie pas que tu m'appartiens.

Je le fixe droit dans les yeux et lui dit d'un ton à ne pas prendre à la légère :

- Je n'appartiens à personne ! Je lui donne un grand coup de poing dans son œil de verre. Celui-ci ce décolle petit à petit et finit par tomber à terre et se briser.

D'un geste brusque, l'homme m'envoie à terre près de l'oeil. Les jumeaux qui assister à la scène me prennent à nouveau. Ils me ramènent chez moi. Les hommes partis et je ne peux que m'éclater de rire. L'homme qui me retient prisonnière à une peur panique de moi.

Mais sur le coup, Cher Lecteurs, je croyais que c'étais la folie qui avait prit emprise sur moi.

De mes deux mains je tenais les barrières, je savais que quelque chose de terrible allait se produire. Même Gérard le sentait. En ouvrant, les yeux, une lumière m'aveuglais la rétine, mais cette lumière ne provenait pas du plafond...Mais du sous-sol. Mais cette flamme blanche m'aspire dans le creux du néant. Gérard mon journal et moi tombant. j'ai peur je suis certaine que c'est la fin !!!

Pense-je juste avant de faire mon grand envole.

Marlène Scott

Les petits secrets de Marlène ScottOù les histoires vivent. Découvrez maintenant