Final

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-Mallam, prends au moins une douche chaude, tu vas tombe malade, essaya de la raisonner Mariam.

Mallam avait tellement pleurer que ses yeux étaient devenus rouges et avait l'impression que son crâne allait exploser. Elle était arrivée un peu plutôt, complètement trempée et en pleure.

Sa belle mère eut peur en la voyant comme cela. Elle lui posa plusieurs questions, mais Mallam ne répondit à aucune.

- Mariam, apporte-moi une serviette et un peignoir, demanda sa mère qui venait d'entrer une tasse de thé à la main.

Elle les lui apporta et resta à regarder Mallam, se demandant qu'est-ce qui a bien pu la mettre dans ce état.

Difficilement, sa belle-mère était arrivée à la convaincre de se changer.

- Dis-moi, ce qui se passe, demanda t-elle en lui séchant les cheveux.

-Il m'a répudier, maman ! En plus il m'a empêché de prendre ma fille. Une douleur insupportable envahit son cœur.

-Quoi ? Il n'osait pas ,cria-t-elle, incrédule.

-Il m'a même donné le papier de répudiation. Maman, qu'est-ce que je lui ai fait pour mériter cela ?

- Mohamed, qu'as-tu fait encore ? Il est où le papier ? Reprit la maman de Mohamed.

-Dans la voiture, répondit Mallam en pleurant.

Sa belle mère regarda par la fenêtre, la pluie continuait à s'abattre violemment.

-On le récupéra après. Mieux vaut pour lui que je le vois pas sinon ...... À peine les deux familles se sont réconciliées qu'il crée encore un autre problème, dit-elle avec colère.

- J'ai mal à la tête, dit Mallam avec un effort surhumain.

Elle arrivait à peine à ouvrir les yeux, tellement son crâne lui faisait mal. Elle était fébrile, son corps était très chaud.

Sa belle-mère lui donna des médicaments et resta près d'elle jusqu'à ce qu'elle s'endorme. Elle quitta la chambre après avoir vérifié sa température.

- Maman, j'ai essayé d'appeler Mohamed mais il ne répond pas, déclara Mariam.

-Tout compte fait il va me trouver ici. Comment a t-il osé ? Tu as vu l'état dans lequel il a mis Mallam ? Que diraient ses parents quand il l'a verront dans cet état ? Heureusement, elle est venue ici au lieu d'aller  chez ses parents, finit-elle extrêmement en colère contre son fils.

- Clames-toi, je suis sûre que c'est un mal entendu. Mohamed ne peut pas la répudier aussi facilement, après tout ce qu'ils ont vécu ensemble, c'est impossible, soutint Mariam.

- Tu crois qu'elle va se mettre dans cet état pour un mal entendu ? Ne m'énerve pas encore plus, Mariam.

Mariam se tue, connaissant sa mère, elle était capable de déverser sa colère sur elle.

-Appelle-moi votre père, lui ordonna t-elle après avoir fini de l'engueuler.

- Je l'ai prévenu, il rentre demain de toutes les façons , répondit-elle prudemment.

- Il n'a cas venir parler à son fils, je suis fatigué de tous ces histoires, dit-elle en quittant la pièce.

Elles passèrent le reste de la nuit à veiller sur la pauvre Mallam dont la fièvre  refusa de tomber.

De son côté, Mohamed dormit merveilleusement bien, sa fille à ses côtés.

Au réveil, il eut un sourire mauvais en allumant son téléphone. Il avait plusieurs messages et des appels, principalement de son père et de sa mère.

En vers et contre tout Où les histoires vivent. Découvrez maintenant