Dans la peau de Fatima
J'étais allongée tranquille sans souffrance ni douleur je me sentais allégée bien dans ma peau tout d'un coup je sens l'angoisse m' envahit a oui je me rappelle de tout je commence à pleurer j'essaye de me souvenir de tout mais il y'a des détails qui m' échappent je crois qu'à cette heure là je dois être morte ban oui .
Mais où suis je au paradis ou en enfer je n'ai toujours pas ouvert les yeux .
Je grimace par ce que j'ai une malle de tête atroce qui me fait sortir de mes pensées puis j'entends des pas qui raisonnent de plus belle et je sens un poids lourd à côté de moi et des hurlements.
Inconnu : PAPAAaaaa je crois que la belle au bois dormant vient de se réveiller.
Un autre inconnu( mais avec la voix plus grave) : Sala j'arrive mais arrête de crier comme ça.Ensuite j'entends des pas et le même voix grave répliqua: sv ma fille aller ouvre doucement les yeux
J'hésite avant d'exécuté j'ouvre doucement les yeux et je constate que je ne suis ni au paradis ni en enfer aaaaazuis deux visages aussi joyeux l'un que l'autre m' accueillent .L'un c t' une jeune fille environ mon âge de teint clair des cheveux noir attachés en queue et de petits yeux marron l'autre c t' un monsieur d'environ la quarantaine de teint marroner
La jeune fille m'aide à m'asseoir puis à boire de l'eau .
La jeune fille: sv comment te sens tu ?
Moi : bien merci
La fille : bon je me présente moi c Sala Ndiaye
Moi: (timidement) je m'appelle Fatima Zahra Aidara
L'homme: eh Sala ne lui brouille pas la tête
Moi : non ce n'est rien
L'homme : on te laisse te reposer si tu as besoin de quelque chose appelle nous et fait comme chez toi
Moi : attendez qui êtes vous ?
L'homme : je suis un vieux ami de ta mère Matar
Moi: ma mère ne m'a jamais parlé de vous et puis ou suis je ?
Matar: vous êtes dans ma maison
Sala: papa je crois qu'elle parlait du monde où elle est enfin du pays quoi.
Matar :ah oui tu es au Sénégal
Moi : quoi mais comment ?? pourquoi ?? (en affolant)
Matar : calme toi je vais tout t' expliquer mais avant ça je pense que tu doit avoir fin .Bon Sala aide la à se preparer le repas est bientôt prêt
Le monsieur sort en me laissant avec une fille tout excitée
Sala : allons viens tu vas prendre ta douche pendant que je te cherche des habits
Je la regarde de haut en bas elle portait un Jean taille haute bleu ciel une chemise noir .Elle me regarde d'incompréhension puis fronce les sourcils
Sala : ban qu'est ce que t'as ?
Moi : où sont les toilettes
Sala : Ah oui que suis je bête (en tapant son front puis elle me montre la salle de bain)
Quelques heures plutard je sort des toilettes très propre et beaucoup mieux
Je n'avais pas remarquer la chambre elle est peinte en rose très grande d'ailleurs et bien aérée avec des placards peints en roses et en blancs fixés sur les murs et un grand balcon qui donne une vue sur la mer
C Sala qui me sortie de mes penséesSala: c beau non c la plage de Yoff
Je me retourne et elle me tend un jogging bleu nuit assez confortable
Sala :tient c tout ce que j'ai pu te trouver par ce que vu ton habillement tu ne porte ni de courtes robes ni de jeans serrés
Je lui souris et prends les habits pour me vêtir j'attache mes cheveux en petit chignon
Quand j'ai fini nous descendons pour aller prendre le déjeuner.
J'entre avec Sala dans la salle à manger et j'y trouve oncle Matar un jeune homme me sourit et une femme ça doit être la mère de Sala par ce que cette dernière lui saute dessus et la bombarde de bisou
Le jeune homme se lève puis m'aide à m'asseoir à côté de lui
La femme :comment vas tu ma fille bien dormi
Moi :oui (d'une petite voix)
Sala :Tima je te présente ma mère Rokhaya et mon frère Momodou
Je hoche la tête je leur gratifie un petit sourire qu'ils me rendent
Le déjeuner c bien passé on a fait connaissance et je trouve cette famille tellement accueillante que je me sens à l'aise
Momodou est très gentil mais aussi très drôle comme sa soeur
Tata Rokhaya est aussi charmante et belle que Sala je l'apprécie déjà avec oncle Matar.Après le déjeuner tante Rokhaya décide de nous amener Sala et moi au centre commercial (au Radison )pour faire un peut de shopping.
Je trouve que Dakar est une ville très belle les gens sont si accueillante j'avais entendu parler du Sénégal le pays de la teranga mais je ne savais pas que c'était si réel.
Nous avons acheté beaucoup de vêtements des parfums des chaussures et tout. On a mangé des glaces et elles me font visiter la ville et Yoff . On rentre vers 18 heures ,je prend une douche et je me pause dans le salon avec Sala et Momodou. On discute de tout et de rien . Momo nous racontait que des blagues et nos rires se faisaient entre dans toute la maison.
Tonton Matar et tata Rokhaya nous rejoignent et entre aussi dans la discutionTonton Matar : ma fille je pense que tu dois te poser des questions comme comment tu as atterri ici et qu'est ce qui c passé
Je ne fait qu'hocher
la tête et j'ai tellement le coeur qui bat cent à l'heure
Toton Matar: ta mère et moi nous étions des amis à l'époque elle venait ici en vacance chez sa mère maternelle yalla na souf sed si kawam (que la terre lui soit légère)
Après la mort de ta grande mère elle n'est plus revenu ici m'est n'empêche nous avons gardé nos contactes
Elle ma fait savoir qu'elle était mariée à un certain Samat Aidara elle ma fait aussi savoir qu'elle avait mis au monde deux enfants Souleymane l'homonyme de ton arrière grand père maternel et une fille FatimaMa fille je sais que votre vie est très dure le jour ou on devrait te.... te faire du mal c moi qui a persuadé à ta mère de te cacher ici
Pendant tout son discourt je faisait que pleurais Sala me prenait ma main en signe de réconfort
Moi :ma mère voulait me tuer ma propre mère snif
Tata et tonton se regarde un moment puis tata répliqua :tu sais tu peus rester ici on te considère comme un membre de la famille ça nous ferait plaisir que tu reste iciMoi: comment rester ici donc je ne vais plus rentrer chez moi je ..je ne verrai plus ma mère ni mon frère ( en pleur )
Tonton: hélas non si ils te retrouvent tu sais ce qui va t' arriver (il soupire et répliqua)ta famille ne veule plus de toi
Moi:quoi???
Tata :calme toi Fatima
Moi: vous... vous voulez dire que même ma propre mère ne veut plus de moi pourtant je n'ai rien fait je vous le jure (en pleure)Tata:calme toi Fatima toi aussi nous on te croit
Moi:si ma propre mère ne peut même pas me laisser bénéfice du doute comment les gens peuvent me croire
Je me lève et je me dirige vers ma chambre
Sala:Fatima mais attend
J'entends sa mère lui dire de me laisser seule
Dans la chambre je pleur je ne peut pas croire que ma propre mère m'a rejetée je pleurs de plus belleJe ne sais pas combien de temps j'ai pleuré je suis tellement déçu donc pour tout dire je suis seul au monde
***********************************SALUE LES FRIEND j'espère que vous aimerez cette histoire
Je viens de commencer à écrire une débutante quoi et désolé pour les fautes et la courte partie
VOUS LISEZ
Au Nom De La Liberté
RomanceAccusée d'adultère Fatima Zahra est obligée de fuir tout ceux qui lui reliaient à sa famille.Cette même famille qui lui a imposée un mariage dès le bas âge avec l'un des hommes les plus réputés de Dubaï. Mais est ce qu'elle réussira à fuir son des...