.IV.

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- Quinze dollars pour les frères O'Neil, c'est tous ce que je peu vous donner." Dit le shérif.
- Mais c'est trop peu !" S'exclama Bill.
" Vous pouvez pas nous donner QUE quinze dollars cela fait deux mois qu'on les traques !"
Mais malheureusement nous sommes repartis avec que quinze dollars pour les frères O'Neil.

Quand nous étions sortie du bureau du shérif nous sommes partie boire dans le saloon juste à côté.
- Quel salaud !" Me répéta Bill pour la centième fois. Je ne répondit pas, trop énervé par l'arnaque qu'on venait de subir par le shérif.
- Ah ils ont besoin de nous quand il faut les tuer mais quand il faut payer quand le boulot est fait, la y'a plus personne." S'exclama Bill complètement saoul.

Nous nous sommes tut pendant quelques instants.
- Je connais des gens qui sont dans le braquage." Me dit Bill d'un air sérieux. Au départ j'ai cru qu'il blaguait, ou qu'il était saoul.

- T'es malade." Lui avait je dis. Je déposais un billet d'un dollar chiffonné sur le comptoir et je sortit du bar laissant Bill seul. Je suis retourné chez moi et je ne vis plus Bill pendant une semaine. Quand je me suis rendus compte que j'avais plus que huit dollars en poche et que mes armoires était vide, je me suis finalement dis que l'idée du braquage de Bill n'était finalement que la seule solution.

DAKOTAOù les histoires vivent. Découvrez maintenant